Affichage de 17–32 sur 92 résultats

  • Ils ont tué ma femme et mon fils ( Jean Vuarnet)

    En décembre 1995, la femme de Jean Vuarnet, Édith et son fils cadet, Patrick, 27 ans, périssent dans le massacre de la secte de l’Ordre du Temple solaire. Jean Vuarnet, champion de ski, raconte l’emprise de la secte et témoigne pour qu’un tel drame ne se reproduise plus.

    Jean et Édith Vuarnet forment un couple de légende. Il est médaille d’or de descente aux JO de Squaw Valley en 1960, elle aussi est championne de ski. Jean a fondé la station d’Avoriaz et la marque Vuarnet, qu’il a contribué à créer, prospère sur tous les continents. Ils ont trois enfants.
    Leur bonheur a duré plus de trente ans, jusqu’à ce jour d’octobre 1994 où tout a basculé.
    Ce jour-là, Jean apprend que son ls Patrick et sa femme Édith appartiennent tous deux à l’Ordre du temple solaire, dont cinquante-trois membres viennent de mourir dans d’atroces circonstances. Terri fiés par ce massacre, Édith‑et Patrick Vuarnet jurent de quitter la secte. Pourtant, juste avant Noël 1995, ils disparaissent. Une semaine après, leurs corps sont retrouvés calcinés avec des impacts de balles, dans le Vercors, aux côtés de quatorze autres membres de la secte. Suicide collectif ou assassinat ?
    Après cette mort tragique, Jean Vuarnet, avec Henri Haget et Renaud Leblond, alors journalistes à L’Express, décrit les ressorts de l’emprise sectaire et tente de comprendre.
    Le récit d’une longue descente aux enfers.

     » Un document bouleversant de vérité  »
    Gala

     » Cri du coeur, cri de l’âme, toute l’horreur de l’Ordre du Temple Solaire apparaît dans ce livre. Un grand témoignage  »
    Télé 7 jours

     » Un livre qui fera date dans les annales de la lutte contre les sectes  »
    Le Dauphiné Libéré

     » Au fil de cette chronique de deux morts annoncées, on se dit: cela aurait pu nous arriver…  »
    L’Equipe

     » Dans ce livre, Jean Vuarnet crie sa douleur et sa hargne  »
    Le Pèlerin

     » Jean Vuarnet dénonce un mécanisme infernal « 

  • Impact (Olivier Norek)

    Face au mal qui se propage
    et qui a tué sa fille

    Pour les millions de victimes passées
    et les millions de victimes à venir

    Virgil Solal entre en guerre,
    seul, contre des géants.

  • Impossible (Eri de Luca)

    On part en montagne pour éprouver la solitude, pour se sentir minuscule face à l’immensité de la nature. Nombreux sont les imprévus qui peuvent se présenter, d’une rencontre avec un cerf au franchissement d’une forêt déracinée par le vent. Sur un sentier escarpé des Dolomites, un homme chute dans le vide. Derrière lui, un autre homme donne l’alerte. Or, ce ne sont pas des inconnus. Compagnons du même groupe révolutionnaire quarante ans plus tôt, le premier avait livré le second et tous ses anciens camarades à la police. Rencontre improbable, impossible coïncidence surtout, pour le magistrat chargé de l’aaire, qui tente de faire avouer au suspect un meurtre prémédité. Dans un roman d’une grande tension, Erri De Luca reconstitue l’échange entre un jeune juge et un accusé, vieil homme « de la génération la plus poursuivie en justice de l’histoire d’Italie » . Mais l’interrogatoire se mue lentement en un dialogue et se dessine alors une riche réflexion sur l’engagement, la justice, l’amitié et la trahison.

  • it raison (Alexandre Jardin)

    Ce roman vrai est la pierre d’angle de la grande saga des Jardin. Après le portrait du père merveilleux (Le Zubial), du sombre grand-père (Des gens très bien), du clan bizarre et fantasque (Le roman des Jardin), voici l’histoire de la mère d’Alexandre. On y découvre une femme hors norme, qui ose tout, et qui s’impose comme l’antidote absolu de notre siècle timoré.
    Elle est dans les yeux de son fils l’héroïne-née, la tisseuse d’aventures, l’inspiratrice des hommes, la source jaillissante de mille questions – elle est le roman-même.
    Un roman qui questionne, affole, vivifie et rejoint la joie du fils. Mais la magicienne, hélas, n’est pas éternelle.
    Certaines femmes, pourtant, ne devraient jamais mourir.

  • Jardin public (Thierry Tanter)

    Ils sont tous là, à un moment du jour ou de la nuit dans le jardin public. Ils y passent ou y restent, errent ou s’arrêtent, chacun enfermé dans son histoire et ses monologues, affichant son passé sur son visage, l’enfouissant au fond de son sac ou tentant de le laisser s’échapper dans la légèreté d’une fumée. Tous les moyens sont bons pour dissimuler failles et fissures qui révèlent malgré elles les secrets, la cruauté ou la tendresse que la vie livre aux uns et aux autres. Une vision de l’humanité sans concession avec ses cruelles machinations et ses frêles élans. Avec la mort comme trait d’union.

  • Je n’ai pas su voir, ni entendre (Mémona Hintermann)

    Comment faire face à la tentative de suicide d’un proche ?

    « Pourquoi tant de gens sont-ils tentés un jour, un instant, de tourner brutalement la page de leur vie. »
    Mémona Hintermann

    Mémona Hintermann, grand reporter, – elle a couvert la plupart des grands conflits de la planète dans les années 80-90-, raconte comment son mari, le journaliste Lutz Krusche, correspondant
    pour le célèbre hebdomadaire allemand Der Spiegel, a réchappé de justesse à une tentative de suicide, retrouvé sur un parking un matin après avoir disparu des radars pendant une vingtaine d’heures (multipliées par 3600 secondes !)

    Ce témoignage (à deux voix) accompagné d’une enquête sur la dépression, les tentatives de suicide, et les moyens de les prévenir, concerne chaque année en France + de 200 000
    cas déclarées ! (40 pour cent des personnes qui font une TS ne vont pas à l’hôpital. Imagine-t-on le nombre de personnes «impactées» par de tels gestes ?
    Mené de manière personnelle et humaine, ce document à travers lequel victimes et proches pourront se reconnaître, vise à alerter l’opinion sur les questions liées à « la santé mentale »
    parent pauvre de la psychiatrie et de la médecine en France.

  • L’ami (Tiffany Tavernier)

    Une quête bouleversante et hypnotique : Thierry, assiste sidéré à l’arrestation de son voisin et unique ami, Guy Delrie, un samedi matin en apparence ordinaire. Il est sous le choc quand il apprend que son ami est accusé d’être le tueur de fillettes qui sévit depuis des années dans la région. Oscillant entre colère, déni…

  • L’amour après (Marceline Loridan-Ivens)

    «  Le téléphone sonne. C’est Charlotte qui m’appelle d’Israël. Nous étions dans la même classe à Montélimar. Elle a été arrêtée après moi, mais je ne l’ai pas croisée à Birkenau.

    ―  Qu’est-ce que tu fais en ce moment  ? demande-t-elle.
    ―  Je travaille sur l’amour.
    Un silence alors, comme si le mot amour s’égarait, se cognait dans sa tête. Elle ne sait qu’en faire.
    ―  L’amour au camp ou quoi  ?
    ―  Après les camps.
    ―  Ah, c’est mieux. L’amour au camp, j’en ai pas vu beaucoup.  »

    Comment aimer, s’abandonner, désirer, jouir, quand on a été déportée à quinze ans  ?
    Retrouvant à quatre-vingt-neuf ans sa «  valise d’amour  », trésor vivant des lettres échangées avec les hommes de sa vie, Marceline Loridan-Ivens se souvient…
    Un récit merveilleusement libre sur l’amour et la sensualité.

  • L’année du flamand rose (Anne de Kinkelin)

    C’est sans doute la réaction de son mari à l’achat de ce flamant rose empaillé qui va faire réaliser à Louise que leur relation est terminée. Âme fantasque et étincelante, elle en a presque perdu l’inspiration. Mais la rupture va marquer un nouveau départ, avec l’indéfectible soutien d’Ethel et de Caroline, ses sœurs de cœur et de création depuis dix ans. Le genre de lien qui tient quand tout le reste fout le camp. Ensemble, dans le passage abritant leurs ateliers, le flamant rose en totem, les trois artisanes vont vivre et partager les amours, l’amitié, les saisons, les vacillements, les espoirs, les doutes, les hasards, les surprises et les complications, sortir du rang pour revenir à soi.

  • L’Elysée au féminin de la III ème à la V ème République (Joëlle Chevé)

    Alors que le débat sur le statut de l’épouse du président de la République reste d’actualité, l’historienne Joëlle Chevé retrace les destins exceptionnels des Premières dames sur plus de deux siècles. De Theresa Tallien, Joséphine Bonaparte, Élise Thiers ou Henriette Poincaré, à Brigitte Macron, en passant par Michelle Auriol, Germaine Coty, Yvonne de Gaulle ou Danielle Mitterrand… une trentaine de portraits officiels et intimes dévoilent comment chacune a vécu ce redoutable honneur, entre nostalgies monarchiques, égalitarisme républicain, évolution de la condition féminine et violence médiatique.D’une plume vivante, qui mêle analyses historiques, anecdotes émouvantes ou tragiques et traits d’humour, Joëlle Chevé interroge l’avenir à la lumière du passé. La Première dame doit-elle s’en tenir à des rôles traditionnellement féminins : accompagner le Président, accueillir les hôtes de la République, représenter la haute couture française, s’investir dans l’humanitaire ? Peut-elle s’en inventer d’autres ? A-t-elle vocation à représenter plus spécifiquement les femmes ? Bref, à quoi sert-elle et doit-elle servir à quelque chose ? Autant de questions qui ouvrent un nouveau débat sur la notion même de « couple présidentiel ».

  • L’embuscade (Emilie Guillaumin)

    Nuit d’août. Dans la chambre flotte le parfum de Cédric. Un mois et demi que ce soldat des forces spéciales est en mission et que Clémence attend son retour avec leurs trois garçons.
    Au petit matin, une délégation militaire sonne à la porte. L’adjudant Cédric Delmas est tombé dans une embuscade avec cinq de ses camarades.

  • L’épaisseur d’un cheveu (Claire Berest)

    C’est implacable. C’est glaçant. C’est réussi ! » ELLE

    « Il était alors impossible d’imaginer que trois jours plus tard, dans la nuit de jeudi à vendredi, Etienne tuerait sa femme. »

    Etienne est correcteur dans l’édition. Avec sa femme Vive, délicieusement fantasque, ils forment depuis dix ans un couple solide et amoureux. Parisiens éclairés qui vont de vernissage en concert classique, ils sont l’un pour l’autre ce que chacun cherchait depuis longtemps.

    Mais quelque chose va faire dérailler cette parfaite partition.

    Ce sera aussi infime que l’épaisseur d’un cheveu, aussi violent qu’un cyclone qui ravage tout sur son passage.

     

    Implacable trajectoire tragique, L’Épaisseur d’un cheveu ausculte notre part d’ombre. Claire Berest met en place un compte-à-rebours avec l’extrême précision qu’on lui connaît pour se livrer à la fascinante autopsie d’un homme en route vers la folie.

  • L’étrange pouvoir des calamités (Hélène le Bris)

    Une étrange maladie au nom imprononçable, appelée « Peste » par commodité, s’abat sur le pays. Mor-tifère et hautement contagieuse, elle intervient par vagues successives, bouleverse l’économie et les rapports sociaux, renverse la démocratie. Elle finit par se replier sur Paris, placé en confinement.

    De part et d’autre du cordon sanitaire, une mère et son grand fils observent des événements contrastés, elle dans son village que repeuplent les petits citadins écartés du virus, et lui prisonnier d’un Paris sinistré. Leur passé les oppose, leurs présents les éloignent aussi. Sous l’effet du fléau, un rapprochement inattendu s’opère peu à peu.

  • L’inconnu de la poste (Florence Aubenas)

     » La première fois que j’ai entendu parler de Thomassin, c’était par une directrice de casting avec qui il avait travaillé à ses débuts d’acteur. Elle m’avait montré quelques-unes des lettres qu’il lui avait envoyées de prison. Quand il a été libéré, je suis allée le voir. Routard immobile, Thomassin n’aime pas bouger hors de ses bases. Il faut se déplacer. Je lui ai précisé que je n’écrivais pas sa biographie, mais un livre sur l’assassinat d’une femme dans un village de montagne, affaire dans laquelle il était impliqué. Mon travail consistait à le rencontrer, lui comme tous ceux qui accepteraient de me voir.  »

    F. A.

    Le village, c’est Montréal-la-Cluse. La victime, c’est Catherine Burgod, tuée de vingt-huit coups de couteau dans le bureau de poste où elle travaillait. Ce livre est donc l’histoire d’un crime. Il a fallu sept ans à Florence Aubenas pour en reconstituer tous les épisodes – tous, sauf un. Le résultat est saisissant. Au-delà du fait divers et de l’enquête policière, L’Inconnu de la poste est le portrait d’une France que l’on aurait tort de dire ordinaire. Car si le hasard semble gouverner la vie des protagonistes de ce récit, Florence Aubenas offre à chacun d’entre eux la dignité d’un destin.

  • L’océan bleu d’Erzeroum (Ian Manook)

    L’odyssée tragique et sublime de deux petites filles rescapées du génocide arménien.

    1915, non loin d’Erzeroum, en Arménie turque. Araxie, dix ans, et sa petite soeur Haïganouch, six ans, échappent par miracle au massacre des Arméniens par les Turcs. Déportées vers le grand désert de Deir-ez-Zor et condamnées à une mort inéluctable, les deux fillettes sont épargnées grâce à un médecin qui les achète comme esclaves, les privant de leur liberté mais leur laissant la vie sauve.

    Jusqu’à ce que l’Histoire, à nouveau, les précipite dans la tourmente. Séparées, propulsées chacune à un bout du monde, Araxie et Haïganouch survivront-elles aux guerres et aux trahisons de ce siècle cruel ? Trouveront-elles enfin la paix et un refuge, aussi fragile soit-il ?

    C’est autour de l’enfance romancée de sa propre grand-mère que Ian Manook, de son vrai nom Patrick Manoukian, a construit cette inoubliable saga historique et familiale. Un roman plein d’humanité où souffle le vent furieux de l’Histoire, une galerie de personnages avides de survivre à la folie des hommes, et le portrait poignant des enfants de la diaspora arménienne.

    « Un envoûtant roman consacré aux destins de deux orphelines. » La Croix

  • L’univers sous mes pieds (Blandine Pluchet)

    Partagez un bout de chemin avec Blandine Pluchet, écrivaine et scientifique ayant une sensibilité artistique. Laissez-la vous raconter ses marches dans la nature, ce qu’elles lui apportent en expériences de vie et en réflexions personnelles.
    A travers ce récit intimiste qui mêle connaissances scientifiques et regard poétique sur la nature et l’histoire de l’Univers découvrez une approche originale qui jette un autre regard sur les flâneries dans la nature à l’écoute de ses sensations et en découvrant ou redécouvrant les liens profonds entre la vie sur Terre et ce qui nous entoure là, parfois très loin. Laissez-vous porter par une auteure sensible à la nature, du minuscule à l’infiniment grand, et à la beauté qui en émane.