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  • Madelaine avant l’aube ( Sandrine Colette)

    C’est un endroit à l’abri du temps. Ce minuscule hameau, qu’on appelle Les Montées, est un pays à lui seul pour les jumelles Ambre et Aelis, et la vieille Rose.
    Ici, l’existence n’a jamais été douce. Les familles travaillent une terre avare qui appartient à d’autres, endurent en serrant les dents l’injustice. Mais c’est ainsi depuis toujours.
    Jusqu’au jour où surgit Madelaine. Une fillette affamée et sauvage, sortie des forêts. Adoptée par Les Montées, Madelaine les ravit, passionnée, courageuse, si vivante. Pourtant, il reste dans ses yeux cette petite flamme pas tout à fait droite. Une petite flamme qui fera un jour brûler le monde.

    Avec Madelaine avant l’aube, Sandrine Collette questionne l’ordre des choses, sonde l’instinct de révolte, et nous offre, servie par une écriture éblouissante, une ode aux liens familiaux.

    « Sandrine Collette s’élève au sommet de son art. » Le Parisien

    « Tout simplement impressionnant » Lire Magazine littéraire

    « Un roman intense et terrible » – Femme Actuelle

    « La romancière est au sommet de son art. » – Version Femina

    « Eblouissant » – Point de Vue

    « Artisane d’une écriture mêlant tournures incantatoires et mots rugueux, sensations précises comme des coupures, images vives, nature puissante, Sandrine Collette fait tourbillonner les éléments du décor et les pantins qui l’habitent en un ballet macabre, captivant, tandis que les planètes s’alignent pour précipiter ce petit monde dans le chaos. » Le Point

    « Un génial tour de force » La Vie

    « Ce texte déborde de vie » Télérama

    « Une écriture magnifique » Madame Figaro

    « Notre Goncourt à nous. » Le Parisien

    « Une grande réussite » Le Monde des Livres

    « Un talent hors pair de raconteuse d’histoires » L’OBS

  • Magnifique (Jean-Félix de la Ville Baugé)

    Un roman choc sur la possibilité de construire une histoire d’amour après avoir survécu à l’abomination

    Magnifique vit au bord du lac de Genève. Elle s’apprête à subir une opération bénigne, mais,  » au cas où « , décide d’écrire à son mari ce qu’elle lui a toujours caché. Le récit de ce qui a précédé leur rencontre, il y a vingt-huit ans, dans les collines du Rwanda.
    La voix d’une héroïne d’exception s’élève.

     » Il y a des livres comme ça qui écrasent tous les autres.  » Gérard
    Collard – Sud Radio
     » J’ai adoré.  » Olivia de Lamberterie – France Inter
     » Ce livre s’envole et nous élève. A-t-on vu déjà un roman et une héroïne si bien nommés ?  » David Lelait-Helo – Femme Actuelle
     » Un petit bijou écrit avec pudeur et justesse, à lire absolument.  » Sandrine Bajos – Le Parisien
     » Un roman puissant et sombre.  » Armelle Le Goff – Le Point
     » Puissant, délicat et bouleversant à bien des égards.  » Librairies de Port Maria (Quiberon)
     » Un roman d’une très grande force évocatrice.  » Librairie Petites histoires entre amis (Chennevières-sur-Marne)

  • Mahmoud ou la montée des eaux (Antoine Wauters)

  • Maikan (Michel Jean)

    À quatorze ans, Virginie, Marie et Thomas sont arrachés à leurs familles sur ordre du gouvernement canadien. Avec les autres enfants innus du village, ils sont conduits dans un pensionnat, à près de mille kilomètres de chez eux, pour y être éduqués. Là-bas, il leur est interdit de parler leur langue, leurs cheveux sont rasés, leurs objets personnels confisqués. Ils ne sont désormais plus qu’un numéro.

    Soixante-dix ans plus tard, l’avocate Audrey Duval cherche à comprendre ce qu’il est advenu des trois jeunes Innus mystérieusement disparus…

    Écrivain et journaliste à Montréal, Michel Jean est issu de la communauté innue de Mashteuiatsh. Il est notamment l’auteur de Kukum, roman vendu à plus de 200 000 exemplaires au Québec, traduit en plusieurs langues et couronné des prix littéraires France-Québec, Vleel et Nature nomade.

  • Maïmaï (Aki Shimazaki)

    La mort subite de la séduisante Mitsuko prend tout le monde par surprise, y compris les clients de sa librairie. Alors que des visiteurs se présentent pour rendre un dernier hommage à sa mère, Tarô, son fils sourd et muet, est préoccupé par certains détails de son histoire familiale. Mais qu’importe. Il est charmé par la beauté naturelle d’une jeune femme venue lui offrir ses condoléances. Tous deux éprouvent rapidement des sentiments si vifs qu’ils désirent s’épouser. Ce bonheur semble complet, rien ne pourrait le compromettre.

  • Mamma Roma (Luca Di Fulvio)

    Tous les chemins mènent à Luca Di Fulvio

    Un orphelin qui veut changer le monde avec son appareil-photo.

    Une artiste de cirque passionnée de politique.

    Une comtesse aux aspirations républicaines.

    Trois personnes que le destin conduit à Rome en 1870, cœur battant de l’Italie. Leurs chemins se croisent au milieu de cette ville prometteuse, et leurs rêves apparaissent comme un lien magique. Mais Rome l’éblouissante, l’insaisissable, présente des défis inattendus à ses nouveaux admirateurs.

    Jusqu’au jour où un événement dramatique secoue la Ville éternelle…

  • Marche blanche (Claire Castillon)

    Hortense, une fillette de quatre ans, a disparu. Ses parents survivent au drame, entre enquête, espoir et résignation. Dix ans après, de nouveaux voisins emménagent dans la maison d’en face. Leur fille a quatorze ans, exactement l’âge qu’aurait Hortense, et une petite cicatrice sur la lèvre, comme celle de la fillette disparue… Il n’en faut pas plus à la mère pour reconnaître sa fille. Un roman haletant, d’une grande justesse psychologique. Le style implacable de Claire Castillon impose de bout en bout la logique glaciale d’une mère délirante d’amour.

  • Marguerite (Jacky Durand)

    Elle sait que les femmes dans la guerre sont toujours regardées comme des êtres vulnérables, des proies faciles, même si elles remplacent les hommes. »Août 1939. Qui peut se douter de ce qui va se déchaîner, dévaster tant de vies ? Marguerite est à son bonheur, son mariage avec Pierre, dans leur petite maison de l’est de la France. Un mois s’écoule avant que Pierre ne soit mobilisé. Pour survivre dans la France occupée, Marguerite prend un emploi à la poste. Elle doit affronter la solitude et la dureté d’un monde de plus en plus hostile. Mais elle découvre aussi, peu à peu, sa propre force, celle de l’amitié, et des émotions qui l’agitent. Lorsqu’elle rencontre Franz, un soldat allemand, toutes ses certitudes vacillent. Quel que soit le prix à payer, Marguerite se veut maîtresse de sa vie, de son corps et de ses sentiments.Révélé avec Les recettes de la vie, Jacky Durand livre ici son premier roman, porté par une écriture sensuelle et des personnages aussi émouvants qu’attachants.

  • Mariage en douce (Ariane Chemin)

    À l’automne 1963, deux inconnus grimpent la petite route en lacets qui mène au village de Sarrola, en Corse. Romain Gary, le héros de la résistance et de la littérature, épouse Jean Seberg, la star de la Nouvelle Vague, loin des paparazzis. De cette cérémonie secrète, il ne reste que deux photographies en noir et blanc, encore auréolées d’un parfum de secret et de maquis.

    « Ils se cachent sans se cacher, amoureux, désinvoltes. »

    Ariane Chemin est grand reporter au Monde.

    « Une façon fugace et gracieuse de revenir sur un moment clé de l’après-guerre, dans une France en transition vers notre modernité. »

    Henri Gibier, Les Échos

    « Il a fallu attendre cinquante-trois ans pour connaître enfin la vérité sur ce Mariage en douce. Ariane Chemin triomphe en musique. »

  • Mariages de saisons (Jean-Philippe Blondel)

    Toujours les mêmes conversations, les mêmes buffets, les mêmes belles-mères… Vidéaste de mariage, Corentin connaît par cœur le spectacle du bonheur. Tous les samedis d’été, il enfile sa cravate, attrape son matériel et part assister à l’union des autres – qu’il sait regarder, enregistrer comme personne. Personne, il l’est – à leurs yeux du moins. À force de vivre en marge, sans s’engager, Corentin fait du surplace sans le savoir. Il est grand temps qu’il passe de l’autre côté de la caméra. Du côté de la vie, enfin…

  • Marx et la poupée (Maryam Madjidi)

    Depuis le ventre de sa mère, Maryam vit de front les premières heures de la révolution iranienne. Six ans plus tard, elles rejoignent le père en exil à Paris.
    À travers ses souvenirs d’enfance, Maryam dit l’abandon du pays, l’éloignement de sa famille, l’effacement progressif du persan au profit du français.
    Maryam Madjidi raconte avec humour et tendresse les racines comme fardeau, comme rempart, comme moyen de socialisation, et même comme arme de séduction massive.

    Depuis le ventre de sa mère, Maryam vit de front les premières heures de la révolution iranienne.
    Six ans plus tard, sa mère et elle rejoignent le père en exil à Paris.

    À travers les souvenirs de ses premières années, Maryam raconte l’abandon du pays, l’éloignement de sa famille, la perte de ses jouets – donnés aux enfants pauvres de Téhéran sous l’injonction de ses parents communistes -, l’effacement progressif du persan sans cesse en opposition avec le français, qu’elle va tour à tour rejeter, puis adopter frénétiquement, au point de laisser enterrée de longues années sa langue natale.

    Maryam Madjidi raconte avec humour et tendresse les racines comme fardeau, comme rempart, comme moyen de socialisation, et même comme arme de séduction massive.

  • Méditation heureuse sous un cerisier du Japon (Franck Audriat)

    Et si vivre l’instant présent était la clé de l’harmonie ? L’univers de Grégoire s’effondre le jour où Lorena le quitte. Pour se reconstruire, il va devoir trouver un sens aux gestes du quotidien. Au cours de ses méditations, « accompagné » par un cerisier du Japon, il apprend que la sérénité résulte d’un subtil équilibre entre les ombres et la lumière. Après sa terrible rupture, il retrouve la confiance et l’amour. Ne cherchez pas dans ce livre une histoire à rebondissements qui vous tienne en haleine… Au fil de ses pages, vous suivrez Grégoire dans sa quête de lui-même. De silence en silence, d’émerveillement en émerveillement, de moments de doute en moments de grâce, il apprend à vivre avec conscience les événements de la vie de tous les jours. Par la voix de Grégoire, Frank Andriat nous parle, avec la sensibilité et la délicatesse qu’on lui connaît, de nos vies fragiles en quête d’amour et de lumière.

  • Mémé dans les orties (Aurélie Valognes)

    Ferdinand Brun, 83 ans, solitaire, bougon, acariâtre – certains diraient : seul, aigri, méchant –, s’ennuie à ne pas mourir. Son unique passe-temps ? Éviter une armada de voisines aux cheveux couleur pêche, lavande ou abricot. Son plus grand plaisir ? Rendre chèvre la concierge, Mme Suarez, qui joue les petits chefs dans la résidence. Mais lorsque sa chienne prend la poudre d’escampette, le vieil homme perd définitivement goût à la vie… jusqu’au jour où une fillette précoce et une mamie geek de 93 ans forcent littéralement sa porte, et son cœur.
    Un livre drôle et rafraîchissant, bon pour le moral, et une véritable cure de bonne humeur !

  • Même les méchants rêvent d’amour (Anne- Gaëlle Huon)

    Jeannine a 85 ans passés. Elle aime : les bals musette, les costumes des patineuses artistiques et faire un six aux petits chevaux. Elle n’aime pas le sucre sur le pamplemousse, les films d’horreur et les gens qui postillonnent. Le jour où on lui annonce que sa mémoire s’apprête à mettre les voiles, Jeannine est déterminée à ne pas se laisser faire. Alors elle fait des listes. Toutes sortes de listes. Et elle consigne dans un carnet tous les bonheurs qui ont marqué sa vie. Quand Julia, sa petite-fille, la rejoint en Provence, elle découvre ce que sa grand-mère n’a jamais osé raconter. L’histoire d’un secret, d’un mensonge. Entourée d’une bande de joyeux pensionnaires, Julia va tenter de faire la lumière sur les zones d’ombre du récit. Et s’il n’était pas trop tard pour réécrire le passé ?

  • Mémoire de soie (Adrien Borne)

    Ce 9 juin 1936, Émile a vingt ans et il part pour son  service militaire. C’est la première fois qu’il quitte la  magnanerie où étaient élevés les vers à soie jusqu’à la fin  de la guerre. Pourtant, rien ne vient bousculer les habitudes  de ses parents. Il y a juste ce livret de famille, glissé au fond  de son sac avant qu’il ne prenne le car pour Montélimar.
    À l’intérieur, deux prénoms. Celui de sa mère, Suzanne, et  un autre, Baptistin. Ce n’est pas son père, alors qui est-ce ?  Pour comprendre, il faut dévider le cocon et tirer le fil,  jusqu’au premier acte de cette malédiction familiale.

    Ce premier roman virtuose, âpre et poignant, nous  plonge au coeur d’un monde rongé par le silence. Il explore  les vies empêchées et les espoirs fracassés, les tragédies  intimes et la guerre qui tord le cou au merveilleux. Il raconte  la mécanique de l’oubli, mais aussi l’amour, malgré tout,  et la vie qui s’accommode et s’obstine.

  • Mémoire de soie (Adrien Borne)

    Ce 9 juin 1936, Émile a vingt ans. Il part pour son service militaire. C’est la première fois qu’il quitte la magnanerie, où étaient élevés les vers à soie jusqu’à la fin de la Grande Guerre. Glissé au fond de son sac, le livret de famille. À l’intérieur, deux prénoms. Celui de sa mère, Suzanne, et un autre, Baptistin. Ce n’est pas son père… Pour comprendre, il faut dévider le cocon et tirer le fil, jusqu’au premier acte de cette malédiction familiale.
    Ce premier roman, âpre et poignant, nous plonge au cœur d’un monde rongé par le silence, explore les tragédies intimes et la guerre qui tord le cou au merveilleux. Il dépeint la mécanique de l’oubli, mais aussi l’amour, malgré tout, et la vie qui s’accommode et s’obstine.