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  • « Il faut laisser les cactus dans le placard » (François Kerymer)

    Trois sœurs, trois personnalités différentes, trois voix entrelacées : Marie, libraire et mère de famille épanouie, Anne, l’artiste, et Lise, solitaire et fragile. Toutes trois ont été marquées par la séparation de leurs parents et la figure d’un père taciturne et froid. Chacune a suivi son chemin, emportée par le cours de sa vie. Et les voilà aujourd’hui réunies à nouveau autour de ce père, décédé.
    Mais une quatrième personne s’invite à la lecture du testament : un homme qui reçoit l’entreprise familiale. Qui est ce légataire ? Et qui était vraiment leur père ? Un héritage familial lourd de secrets qui va donner aux trois sœurs l’opportunité de choisir leur destin.

  • « Le bruit du silence » (Léa Wiazemsky))

    Laure, une jeune artiste peintre d’une trentaine d’années, ne s’est jamais entendue avec son père, un écrivain à succès misanthrope qui vit en reclus. Loin de les rapprocher, la mort de sa mère dix années plus tôt a creusé davantage encore le gouffre affectif qui les sépare. Aussi, quand une tempête de neige la contraint à passer la nuit chez lui, appréhende-t-elle ce tête-à-tête qu’ils n’ont jamais eu. Si elle peut compter sur la douce Simone, la gouvernante de la maison qui l’aime comme sa fille, son père, lui, est bien décidé à jouer les hôtes hostiles. À moins que le temps soit venu pour Laure de confronter cet homme au silence et au désamour qu’il lui a toujours imposé… Et si cette nuit de tempête était l’occasion pour ces trois âmes en perdition et en mal d’amour de baisser leur garde et de se réconcilier avec eux-mêmes ?

  • A l’encre russe (Tatiana de Rosnay)

    L’Enveloppe a valu au jeune romancier Nicolas Kolt un succès international et une notoriété dans laquelle il tend à se complaire. C’est en découvrant la véritable identité de son père et en fouillant jusqu’en Russie dans l’histoire de ses ancêtres qu’il a trouvé la trame de son premier livre. Depuis, il peine à fournir un autre best-seller à son éditrice. Trois jours dans un hôtel de luxe sur la côte toscane, en compagnie de la jolie Malvina, devraient l’aider à prendre de la distance avec ses fans. Un week-end tumultueux durant lequel sa vie va basculer…

    La romancière multiplie les clins d’oeil sur le monde de l’édition et ses requins, sur le miroir aux alouettes d’une notoriété vertigineuse dont elle n’est pas dupe. Delphine Peras, L’Express.

    Une belle réflexion sur l’identité. Et sur l’écriture. Un roman à tiroirs, marqué, comme très souvent chez T. de Rosnay, du sceau des secrets. Palpitant. Questions de femmes.

  • Au-delà de l’impossible (Didier Van Cauwelaert)

    Et si nous avions la preuve absolue que la conscience, après la mort, continue à transmettre des sentiments et des informations ? Et si cette preuve nous était apportée par les deux plus grands génies de la science ? C’est l’incroyable aventure dans laquelle s’est trouvé plongé Didier van Cauwelaert, suite au succès des deux tomes de son Dictionnaire de l’impossible.

    Avec ses enquêtes minutieuses, tout son humour, sa passion du merveilleux et sa distance critique, Didier van Cauwelaert nous livre une aventure à couper le souffle. Un véritable jeu de piste qui nous entraîne du savoir sans fin des civilisations disparues aux dernières découvertes de la physique, du mode d’emploi de l’espace-temps aux secrets d’une énergie inépuisable, non-polluante et gratuite qui, demain, pourrait être mise à la disposition de l’humanité.

    C’est toute notre vision du monde et de l’avenir qui bascule enfin dans le sens de l’espoir, au fil des confidences et des révélations en provenance (apparente) d’Albert Einstein et Nikola Tesla – deux esprits toujours libres que ni la censure des vivants ni le silence de la mort n’auront réussi à faire taire.

  • Autoportrait d’un fils, d’un peintre et d’un fou (Gérard Darouste)

    Une édition grand format, entièrement enluminée par Gérard Garouste, comprenant quatre gouaches originales en couleurs – dont trois présentées en triptyque – une vingtaine de dessins à l’encre noire, et un CD du texte lu par Jacques Weber.

    Une édition grand format, entièrement enluminée par Gérard Garouste, comprenant quatre gouaches originales en couleurs – dont trois présentées en triptyque – une vingtaine de dessins à l’encre noire, et un CD du texte lu par Jacques Weber.

  • Bertrand et Lola (Angélique Barbérat)

    Pourquoi Lola a-t-elle sonné à cette porte ? Pourquoi Bertrand a-t-il ouvert à cette inconnue ? Comment peut-on tomber fou amoureux de quelqu’un en dix secondes ?Ce jour chaud du mois de juin va tout changer. Durant quelques heures de bonheur et d’insouciance, Bertrand et Lola oublient tout : elle, qu’elle va se marier dans une semaine ; lui, qu’il est reporter-photographe et ne supporte aucune attache.Malgré cette passion inattendue, tous deux prennent la plus sage et la pire des décisions : continuer leurs chemins respectifs et retourner à leur vie d’avant. Lola se marie et reprend son métier d’hôtesse de l’air. Bertrand s’envole pour un pays lointain… Mais chacun demeure prisonnier de cet amour fou. Même s’ils ont voulu vivre l’un sans l’autre, le hasard semble prendre un malin plaisir à les faire se croiser. Et puis… et puis Bertrand est capturé, pris en otage par un groupe armé lors d’un de ses reportages en Afrique.Auront-ils la moindre chance de se retrouver un jour ?

  • C’est arrivé la nuit (Marc Lévy)

    Ils sont hors-la-loi
    Mais ils œuvrent pour le bien

    Ils sont amis et partagent leurs secrets, affrontent les mêmes dangers,
    Et pourtant ils ne se sont jamais rencontrés…

    C’est arrivé la nuit, une course folle et terrifiante dans les rues d’Oslo, Madrid, Paris, Tel-Aviv, Istanbul et Londres.
    Et un pari dangereux : s’attaquer à la vilenie du monde.

  • Ce que tu as fait de moi (Karine Giebel)

    Personne n’est assez fort pour la vivre.
    Personne n’est préparé à l’affronter, même si chacun la désire plus que tout.
    La passion, la vraie…
    Extrême.
    Sans limites.
    Sans règles.

    On se croit solide et fort, on se croit à l’abri. On suit un chemin jalonné de repères, pavé de souvenirs et de projets. On aperçoit bien le ravin sans fond qui borde notre route, mais on pourrait jurer que jamais on n’y tombera. Pourtant, il suffit d’un seul faux pas. Et c’est l’interminable chute.
    Aujourd’hui encore, je suis incapable d’expliquer ce qui est arrivé. Si seulement j’avais plongé seul…

    Cette nuit, c’est le patron des Stups, le commandant Richard Ménainville, qui doit confesser son addiction et répondre de ses actes dans une salle d’interrogatoire. Que s’est-il réellement passé entre lui et son lieutenant Laëtitia Graminsky ? Comment un coup de foudre a-t-il pu déclencher une telle tragédie ?

    Si nous résistons à cette passion, elle nous achèvera l’un après l’autre, sans aucune pitié.

    Interrogée au même moment dans la salle voisine, Laëtitia se livre. Elle dira tout de ce qu’elle a vécu avec cet homme. Leurs versions des faits seront-elles identiques ?

    Si nous ne cédons pas à cette passion, elle fera de nous des ombres gelées d’effroi et de solitude.
    Si nous avons peur des flammes, nous succomberons à un hiver sans fin.

  • Certains coeurs lâchent pour trois fois rien (gilles Paris)

    Une dépression ne ressemble pas à une autre. Gilles Paris est tombé huit fois et, huit fois, s’est relevé. Dans ce récit où il ne s’épargne pas, il tente de comprendre l’origine de cette mélancolie qui l’a tenaillé pendant plus de trente ans. Une histoire de famille, un divorce, la violence du père. Il y a l’écriture aussi, qui soigne autant qu’elle appelle le vide après la publication de chacun de ses romans. Peut-être fallait-il cesser de se cacher derrière les personnages de fiction pour, enfin, connaître la délivrance.Avec ce témoignage tout en clair-obscur, l’écrivain nous offre un récit à l’issue lumineuse. Parce qu’il n’existe pas d’ombre sans lumière. Il suffit de la trouver.

  • Charles Draper (Xavier de Moulins)

    À la demande de Mathilde, Charles a quitté Paris et son appartement de la rue de Vaugirard pour s’installer à la campagne avec leurs deux filles, le rêve d’une vie. Une vie au vert, rythmée par ses allers-retours vers la capitale pour s’occuper de sa société. Le bonheur de Mathilde n’a pas de prix, tout le monde le sait, Charles ferait tout pour sa famille.
    Alors pourquoi Mathilde est-elle de plus en plus distante ?
    Est-ce le regret de Paris, de sa vie d’avant ? Le voisin, Clément, qui lui a montré la voie d’un ailleurs possible ? Ou bien ce reflet dans le miroir, ces quelques kilos en trop qui ont surgi sur la balance, ce profil d’homme mûr, moins ferme que dans leur jeunesse ?
    Il y a forcément quelque chose. Si seulement Charles pouvait comprendre…

    Apparence, apparences, mensonges et faux-semblants : chez Xavier de Moulins, les héros ont tous cette beauté éclatante, solaire, qui cache les plus noirs secrets

  • Chercher la femme (Alice Ferney)

    Serge est brillant, entreprenant, narcissique. Marianne est sincère, ardente, déterminée au bonheur. Cherchez la femme raconte « l’histoire totale » de leur couple. Sous les yeux du lecteur, il se forme, s’établit, procrée, s’épanouit, subit l’épreuve du temps et la déchirure de l’infidélité… Nos destinées affectives sont-elles libres ? De quel poids pèsent les rêves et les échecs de la génération précédente ? Quelles forces obscures (le passé, l’enfance, l’origine sociale, l’argent, la carrière professionnelle, les convictions, les valeurs) sont à l’oeuvre dans la vie conjugale et menacent cet entrelacs fragile de deux solitudes engagées l’une envers l’autre ? En forme d’étude de caractères, Cherchez la femme est un livre captivant, plein d’intelligence et d’humour, qui démonte a posteriori les mécanismes délicats d’un mariage et, ce faisant, dévoile à ses personnages les secrets de leur modeste épopée. Avec une écriture passionnée, Alice Ferney observe le stupéfiant voyage du couple, ses ravissements et ses dépressions, ses défenses et ses décompositions. Elle retrouve les mots de l’illusion et ceux de la querelle, ceux du rapprochement et ceux de la défaite. Ceux surtout qui permettent de répondre à la question que l’état de grâce renvoie toujours aux lendemains : qu’est-ce que « s’aimer » veut dire ?

  • Deux soeurs ( Madeleine Chapsal)

    Sara voue à sa sœur aînée une jalousie terrifiante qui la pousse à la calomnie et à la violence. « Pourtant nous nous aimions tant quand nous étions enfant… », s’afflige Emma qui ne comprend pas pourquoi sa petite sœur, devenue sa pire ennemie, s’acharne à la détruire. Longtemps elle va espérer la désarmer par un excès de patience et de générosité, mais rien n’y fait : plus elle lui cède plus sa sœur s’enflamme…
    C’est au décès de leur mère puis de leur père que Sara achève d’exploser : au mépris de la loi et même du bon sens, elle commet l’impensable pour arriver à dépouiller sa sœur, quitte à en pâtir elle-même…

        Bien des familles se déchirent ainsi au moment des héritages, par jalousie fraternelle plus encore que par appât du gain : elles ne peuvent que se reconnaître dans ce nouveau roman de Madeleine Chapsal, si juste qu’il en paraît vrai.

  • Entre ciel et Lou (Lorraine Fouchet)

    Jo vient de perdre l’amour de sa vie, son souffle, son rire et son appétit : Lou. Il est désormais seul sur l’île de Groix, leur île, celle qu’il a choisie et qu’elle a épousée en même temps que lui. Lors de ses funérailles, entouré de ses enfants, Cyrian et Sarah, avec qui il nourrit des rapports distendus, le notaire lit le testament. Jusqu’à cette annonce fracassante : Jo l’a trahie. Stupeur ! Ce dernier comprend que Lou, mère dévouée et épouse amoureuse, n’a pas dit son dernier mot et lui lance un ultime défi. Son  » piroche  » aura deux mois pour renouer avec Cyrian et Sarah, et surtout, les rendre heureux. Mais entre une belle-fille acariâtre et jalouse, un fils sur la défensive, une petite-fille en mal de père et une fille cabossée par l’amour, Jo a du pain sur la planche… Haut les cœurs !

    Chaque famille a son lot de secrets, de colères tues et de sourires entendus. Lou, Jo et leurs enfants ne dérogent pas à la règle. Mais est-il jamais trop tard pour se retrouver et rattraper le temps perdu ? Avec Entre ciel et Lou on rit, on pleure, on s’engueule, et surtout, on s’aime ! Un roman aux effluves iodées à dévorer emmitouflés face à la mer.

  • Femmes en colère (Mathieu Ménégaux)

    Cour d’assises de Rennes, juin 2020, fin des débats : le président invite les jurés à se retirer pour rejoindre la salle des délibérations. Ils tiennent entre leurs mains le sort d’une femme, Mathilde Collignon. Elle est accusée d’un crime barbare, qu’elle a avoué, et pourtant c’est elle qui réclame justice. Dans cette affaire de vengeance, médiatisée à outrance, trois magistrats et six jurés populaires sont appelés à trancher : avoir été victime justifie-t-il de devenir bourreau ? Neuf hommes et femmes en colère doivent choisir entre punition et pardon.
    Au cœur des questions de société contemporaines, un suspense haletant porté par une écriture au scalpel.

    L’alternance des récits est particulièrement réussie. Un roman aussi glaçant que captivant, tant d’un point de vue légal que moral, et qui suscite l’émotion et la réflexion. Page des libraires.

    Une fine analyse sur la place des femmes dans la société française et un révélateur très pédagogique d’un des rouages de la justice, par un auteur déjà triplement primé. Challenges.

  • Grégoire et le vieux libraire (Marc Roger)

    Marc Roger, l’auteur de ce livre, est un amoureux des mots, un lecteur public qui va de librairie en bibliothèque. Dans ce premier roman émouvant et drôle, il communique son enchantement pour la lecture, cet horizon infini qui nous relie les uns aux autres.

    Grégoire et le vieux libraire, c’est la rencontre inattendue et merveilleuse entre un adolescent et un vieux libraire. L’un n’a jamais aimé lire, l’autre a pour seule richesse sa passion des livres. Ce trésor enfoui, Grégoire va peu à peu le découvrir en faisant, chaque jour, la lecture au vieil homme atteint de la maladie de Parkinson. Et tandis qu’à la musique des mots celui-ci renaît, Grégoire s’éveille à leur pouvoir mystérieux.

    Dans cet hommage à la littérature et à l’amitié, on assiste émerveillé à la naissance d’un lecteur, à l’émancipation d’un jeune homme, et au bonheur retrouvé d’un passeur d’histoires

  • Ici, les femmes ne rêvent pas (Rana Ahmad)

    Rana, dix ans, fonce sur son vélo flambant neuf, un vent de liberté lui caresse le visage.
    Quinze jours plus tard, c’est terminé. Son vélo est donné à l’un de ses oncles. Encore quelques mois et elle devra porter l’abaya noire sur son corps, le tarha sur sa tête et ses épaules, le niqab sur son visage. Ensuite, ses parents lui trouveront un mari et elle sera condamnée à ne plus rien faire que la cuisine, le ménage et ses cinq prières par jour. C’est la loi.
    Il ne reste à Rana que ses yeux pour pleurer et contempler son monde : l’Arabie saoudite des années 2000. Mais Rana n’a jamais oublié le vent de liberté de ses dix ans et est prête à tout pour le retrouver et en jouir, et, cette fois, en adulte.