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  • Mariages de saisons (Jean-Philippe Blondel)

    Mariages de saisons (Jean-Philippe Blondel)

    Toujours les mêmes conversations, les mêmes buffets, les mêmes belles-mères… Vidéaste de mariage, Corentin connaît par cœur le spectacle du bonheur. Tous les samedis d’été, il enfile sa cravate, attrape son matériel et part assister à l’union des autres – qu’il sait regarder, enregistrer comme personne. Personne, il l’est – à leurs yeux du moins. À force de vivre en marge, sans s’engager, Corentin fait du surplace sans le savoir. Il est grand temps qu’il passe de l’autre côté de la caméra. Du côté de la vie, enfin…

  • Marx et la poupée (Maryam Madjidi)

    Marx et la poupée (Maryam Madjidi)

    Depuis le ventre de sa mère, Maryam vit de front les premières heures de la révolution iranienne. Six ans plus tard, elles rejoignent le père en exil à Paris.
    À travers ses souvenirs d’enfance, Maryam dit l’abandon du pays, l’éloignement de sa famille, l’effacement progressif du persan au profit du français.
    Maryam Madjidi raconte avec humour et tendresse les racines comme fardeau, comme rempart, comme moyen de socialisation, et même comme arme de séduction massive.

    Depuis le ventre de sa mère, Maryam vit de front les premières heures de la révolution iranienne.
    Six ans plus tard, sa mère et elle rejoignent le père en exil à Paris.

    À travers les souvenirs de ses premières années, Maryam raconte l’abandon du pays, l’éloignement de sa famille, la perte de ses jouets – donnés aux enfants pauvres de Téhéran sous l’injonction de ses parents communistes -, l’effacement progressif du persan sans cesse en opposition avec le français, qu’elle va tour à tour rejeter, puis adopter frénétiquement, au point de laisser enterrée de longues années sa langue natale.

    Maryam Madjidi raconte avec humour et tendresse les racines comme fardeau, comme rempart, comme moyen de socialisation, et même comme arme de séduction massive.

  • Méditation heureuse sous un cerisier du Japon (Franck Audriat)

    Méditation heureuse sous un cerisier du Japon (Franck Audriat)

    Et si vivre l’instant présent était la clé de l’harmonie ? L’univers de Grégoire s’effondre le jour où Lorena le quitte. Pour se reconstruire, il va devoir trouver un sens aux gestes du quotidien. Au cours de ses méditations, « accompagné » par un cerisier du Japon, il apprend que la sérénité résulte d’un subtil équilibre entre les ombres et la lumière. Après sa terrible rupture, il retrouve la confiance et l’amour. Ne cherchez pas dans ce livre une histoire à rebondissements qui vous tienne en haleine… Au fil de ses pages, vous suivrez Grégoire dans sa quête de lui-même. De silence en silence, d’émerveillement en émerveillement, de moments de doute en moments de grâce, il apprend à vivre avec conscience les événements de la vie de tous les jours. Par la voix de Grégoire, Frank Andriat nous parle, avec la sensibilité et la délicatesse qu’on lui connaît, de nos vies fragiles en quête d’amour et de lumière.

  • Mémé dans les orties (Aurélie Valognes)

    Mémé dans les orties (Aurélie Valognes)

    Ferdinand Brun, 83 ans, solitaire, bougon, acariâtre – certains diraient : seul, aigri, méchant –, s’ennuie à ne pas mourir. Son unique passe-temps ? Éviter une armada de voisines aux cheveux couleur pêche, lavande ou abricot. Son plus grand plaisir ? Rendre chèvre la concierge, Mme Suarez, qui joue les petits chefs dans la résidence. Mais lorsque sa chienne prend la poudre d’escampette, le vieil homme perd définitivement goût à la vie… jusqu’au jour où une fillette précoce et une mamie geek de 93 ans forcent littéralement sa porte, et son cœur.
    Un livre drôle et rafraîchissant, bon pour le moral, et une véritable cure de bonne humeur !

  • Même les méchants rêvent d'amour (Anne- Gaëlle Huon)

    Même les méchants rêvent d’amour (Anne- Gaëlle Huon)

    Jeannine a 85 ans passés. Elle aime : les bals musette, les costumes des patineuses artistiques et faire un six aux petits chevaux. Elle n’aime pas le sucre sur le pamplemousse, les films d’horreur et les gens qui postillonnent. Le jour où on lui annonce que sa mémoire s’apprête à mettre les voiles, Jeannine est déterminée à ne pas se laisser faire. Alors elle fait des listes. Toutes sortes de listes. Et elle consigne dans un carnet tous les bonheurs qui ont marqué sa vie. Quand Julia, sa petite-fille, la rejoint en Provence, elle découvre ce que sa grand-mère n’a jamais osé raconter. L’histoire d’un secret, d’un mensonge. Entourée d’une bande de joyeux pensionnaires, Julia va tenter de faire la lumière sur les zones d’ombre du récit. Et s’il n’était pas trop tard pour réécrire le passé ?

  • Mémoire de soie (Adrien Borne)

    Mémoire de soie (Adrien Borne)

    Ce 9 juin 1936, Émile a vingt ans et il part pour son  service militaire. C’est la première fois qu’il quitte la  magnanerie où étaient élevés les vers à soie jusqu’à la fin  de la guerre. Pourtant, rien ne vient bousculer les habitudes  de ses parents. Il y a juste ce livret de famille, glissé au fond  de son sac avant qu’il ne prenne le car pour Montélimar.
    À l’intérieur, deux prénoms. Celui de sa mère, Suzanne, et  un autre, Baptistin. Ce n’est pas son père, alors qui est-ce ?  Pour comprendre, il faut dévider le cocon et tirer le fil,  jusqu’au premier acte de cette malédiction familiale.

    Ce premier roman virtuose, âpre et poignant, nous  plonge au coeur d’un monde rongé par le silence. Il explore  les vies empêchées et les espoirs fracassés, les tragédies  intimes et la guerre qui tord le cou au merveilleux. Il raconte  la mécanique de l’oubli, mais aussi l’amour, malgré tout,  et la vie qui s’accommode et s’obstine.

  • Mémoire de soie (Adrien Borne)

    Mémoire de soie (Adrien Borne)

    Ce 9 juin 1936, Émile a vingt ans. Il part pour son service militaire. C’est la première fois qu’il quitte la magnanerie, où étaient élevés les vers à soie jusqu’à la fin de la Grande Guerre. Glissé au fond de son sac, le livret de famille. À l’intérieur, deux prénoms. Celui de sa mère, Suzanne, et un autre, Baptistin. Ce n’est pas son père… Pour comprendre, il faut dévider le cocon et tirer le fil, jusqu’au premier acte de cette malédiction familiale.
    Ce premier roman, âpre et poignant, nous plonge au cœur d’un monde rongé par le silence, explore les tragédies intimes et la guerre qui tord le cou au merveilleux. Il dépeint la mécanique de l’oubli, mais aussi l’amour, malgré tout, et la vie qui s’accommode et s’obstine.

  • Mes soeurs n'aimaient pas les marins (Grégory Nicolas)

    Mes soeurs n’aimaient pas les marins (Grégory Nicolas)

    Un grand roman d’amour et d’aventure, qui rend un hommage bouleversant à ces femmes à qui la mer a tout pris et qui ne renoncent jamais.

    D’abord, ça a été François, parti pour les grands bancs ; puis Jean, que lui non plus la mer n’a pas rendu. Son mari et son fils : à Perrine, la mer a tout pris. Ce n’est pas faute d’avoir été prévenue.
    Sur les côtes bretonnes, les femmes le savent, qu’il ne faut pas trop aimer les marins. Pour l’avoir compris à ses dépens, Paulette, sa bru, s’en ira le plus loin possible : le petit Pierre, le dernier des Cadoret, grandira à la montagne. Mais l’appel du large est parfois le plus fort…

     » Ce roman bouleverse avec pudeur, simplicité. Un récit humain, à la hauteur de ces vies que l’on n’oubliera pas.  » Paris Normandie
     » Un roman fort et émouvant qui rend la parole aux mères et épouses de marins.  » Le Trégor
     » Un choc ! Un roman d’une force qui donne le frisson. Un grand moment de littérature !  » La Griffe Noire (Saint-Maur-de

  • Miroir de nos peines (Pierre Lemaître)

    Miroir de nos peines (Pierre Lemaître)

    Avril 1940. Louise, trente ans, court, nue, sur le boulevard du Montparnasse. Pour comprendre la scène tragique qu’elle vient de vivre, elle devra plonger dans la folie d’une période sans équivalent dans l’histoire où la France toute entière, saisie par la panique, sombre dans le chaos, faisant émerger les héros et les salauds, les menteurs et les lâches… Et quelques hommes de bonne volonté.
    Il fallait toute la verve et la générosité d’un chroniqueur hors pair des passions françaises pour saisir la grandeur et la décadence d’un peuple broyé par les circonstances.
    Secret de famille, grands personnages, puissance du récit, rebondissements, burlesque et tragique… Le talent de Pierre Lemaitre, prix Goncourt pour Au revoir là-haut, est ici à son sommet.

  • Miss Islande (Audour Ava)

    Miss Islande (Audour Ava)

    Islande, 1963 – cent quatre-vingt mille habitants à peine, un prix Nobel de littérature, une base américaine, deux avions transatlantiques, voilà pour le décor. Hekla, vingt et un ans, emballe quelques affaires, sa machine à écrire, laisse derrière elle la ferme de ses parents et prend le car pour Reykjavík avec quatre manuscrits au fond de sa valise. Il est temps pour elle d’accomplir son destin : elle sera écrivain.

    Avec son prénom de volcan, Hekla bouillonne d’énergie créatrice, entraînant avec elle Ísey, l’amie d’enfance qui s’évade par les mots – ceux qu’on dit et ceux qu’on ne dit pas –, et son cher Jón John, qui rêve de stylisme entre deux campagnes de pêche…

    Miss Islande est le roman, féministe et insolent, de ces pionniers qui ne tiennent pas dans les cases. Un magnifique roman sur la liberté, la création et l’accomplissement.

    Explorant avec grâce les troublantes drôleries de l’inconstance humaine, Auður Ava Ólafsdóttir poursuit, d’un roman à l’autre, une œuvre d’une grande finesse.

  • Miss Jane (Brad Watson)

    Miss Jane (Brad Watson)

    Jane Chisolm vient au monde en 1915, dans une petite ferme du Mississippi. Quelques instants après sa naissance, le Dr Thompson saisit un carnet et commence à prendre des notes. Jane est née avec une malformation  : un handicap qu’elle devra surmonter sa vie durant.
    Les premières années à la ferme, au milieu d’une nature éblouissante, sont joyeuses et innocentes. Ce n’est qu’à l’approche de ses six ans que la petite Jane prend conscience de sa singularité. Mais sa soif d’apprendre est plus forte que les réticences de ses proches. Elle entre à l’école, se plonge dans les livres. Puis arrive l’adolescence et le Dr Thompson devient son principal confident, y compris lorsque celle-ci tombe amoureuse…
    Miss Jane est un grand roman de formation et d’émancipation. Une histoire de désir, d’espoir et de courage portée par une langue sensuelle. Malgré la différence, elle franchit chaque étape de sa vie avec une force et une poésie qui lui permettent de poursuivre sa quête insatiable du bonheur, dans cette Amérique rurale que le xxe siècle est en train de bouleverser.

  • Miss Jane (Bratt Watson)

    Miss Jane (Bratt Watson)

    Jane Chisolm vient au monde en 1915, dans une petite ferme du Mississippi. Quelques instants après sa naissance, le Dr Thompson saisit un carnet et commence à prendre des notes. Jane est née avec une malformation  : un handicap qu’elle devra surmonter sa vie durant.
    Les premières années à la ferme, au milieu d’une nature éblouissante, sont joyeuses et innocentes. Ce n’est qu’à l’approche de ses six ans que la petite Jane prend conscience de sa singularité. Mais sa soif d’apprendre est plus forte que les réticences de ses proches. Elle entre à l’école, se plonge dans les livres. Puis arrive l’adolescence et le Dr Thompson devient son principal confident, y compris lorsque celle-ci tombe amoureuse…
    Miss Jane est un grand roman de formation et d’émancipation. Une histoire de désir, d’espoir et de courage portée par une langue sensuelle. Malgré la différence, elle franchit chaque étape de sa vie avec une force et une poésie qui lui permettent de poursuivre sa quête insatiable du bonheur, dans cette Amérique rurale que le xxe siècle est en train de bouleverser.

  • Mon enfant, ma soeur (Eric Fottorino)

    Mon enfant, ma soeur (Eric Fottorino)

    chaque 10 janvier de sa vie depuis soixante ans maman reste couchée elle te remet au monde c’est de ça que je veux parler de ça et de rien d’autre » Dans Dix-sept ans, Éric Fottorino évoquait le fantôme qui hantait le début de son roman familial : une petite fille née trois ans après lui et aussitôt arrachée à sa mère, Lina, puis adoptée dans la clandestinité d’une institution religieuse bordelaise. Mon enfant, ma soeur est d’abord la quête de cette inconnue. Ce monologue sensible, long poème en prose, se transforme peu à peu en une sidérante enquête qui conduira le narrateur sur la trace de sa soeur disparue. Éric Fottorino continue sa bouleversante recherche d’identité entamée en 1991 avec Rochelle, et poursuivie depuis avec Korsakov et L’homme qui m’aimait tout bas.

  • Mon fils va venir me chercher (Patrick Breuzé)

    Mon fils va venir me chercher (Patrick Breuzé)

    En Haute-Savoie, dans les années 50. Camille, une jeune parisienne malmenée par la vie, vient s’installer dans un village de la vallée du Haut-Giffre. Elle a acheté une masure que le propriétaire a quittée en y laissant tous ses biens.
    Quand elle découvre des carnets écrits de la main de l’occupant précédent, elle comprend qu’il était guide de haute montagne et que, au-delà de ce métier, il a vécu le pire drame que peut connaître un homme.
    Camille se renseigne auprès d’anciens du pays, des guides pour la plupart, qui d’abord se méfient d’elle puis la prennent en amitié. Ce qu’elle va découvrir bouleversera sa vie à jamais…

  • Mon traître (Sorj Chalandon)

    Mon traître (Sorj Chalandon)

    Il trahissait depuis près de vingt ans. L’Irlande qu’il aimait tant, sa lutte, ses parents, ses enfants, ses camarades, ses amis, moi. Il nous avait trahis. Chaque matin. Chaque soir… S. C.

    Un roman fort et transi. Jean-Marc Parisis, Le Figaro Magazine.

    Un livre rugueux d’une beauté terrible. Bernard Géniès, Le Nouvel Observateur.

    Un livre fascinant pour ce qu’il dit de l’amitié, de la solidarité. Et de leur fragilité si humaine… Delphine Peras, L’Express.

  • My absolute darling (Gabriel Tallent)

    My absolute darling (Gabriel Tallent)

    A quatorze ans, Turtle Alveston arpente les bois de la côte nord de la Californie avec un fusil et un pistolet pour seuls compagnons. Elle trouve refuge sur les plages et les îlots rocheux qu’elle parcourt sur des kilomètres. Mais si le monde extérieur s’ouvre à elle dans toute son immensité, son univers familial est étroit et menaçant : Turtle a grandi seule, sous la coupe d’un père charismatique et abusif. Sa vie sociale est confinée au collège, et elle repousse quiconque essaye de percer sa carapace. Jusqu’au jour où elle rencontre Jacob, un lycéen blagueur qu’elle intrigue et fascine à la fois. Poussée par cette amitié naissante, Turtle décide alors d’échapper à son père et plonge dans une aventure sans retour où elle mettra en jeu sa liberté et sa survie.