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Une jeune femme part rejoindre son amant à Istanbul. En nous invitant dans le parcours de cette femme, Valérie Manteau nous entraîne dans un tourbillon immobile où se fondent une histoire d’amour et une ville qui joue avec le chaos. À un moment où tout s’effondre, quel destin choisir? Quand une ville devient le point de friction entre Orient et Occident, comment fermer les yeux ?
» Je rêve de chats qui tombent des rambardes, d’adolescents aux yeux brillants qui surgissent au coin de la rue et tirent en pleine tête, de glissements de terrain emportant tout Cihangir dans le Bosphore, de ballerines funambules aux pieds cisaillés, je rêve que je marche sur les tuiles des toits d’Istanbul et qu’elles glissent et se décrochent. Mais toujours ta main me rattrape, juste au moment où je me réveille en plein vertige, les poings fermés, agrippée aux draps ; même si de plus en plus souvent au réveil tu n’es plus là. «
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La lignée des Scorta est née d’un viol et du péché. Maudite, méprisée, cette famille est guettée par la folie et la pauvreté. A Montepuccio, dans le sud de l’Italie, seul l’éclat de l’argent peut éclipser l’indignité d’une telle naissance. C’est en accédant à l’aisance matérielle que les Scorta pensent éloigner d’eux l’opprobre. Mais si le jugement des hommes finit par ne plus les atteindre, le destin, lui, peut encore les rattraper.
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Carpe Diem.
Sur la couverture du carnet qui abrite ses pensées, les mots en lettres brillantes narguent Alexia. À 14 ans, le temps où elle pouvait « cueillir le jour » lui semble très loin. Depuis l’accident de voiture qui lui a arraché sa mère, son beau-père et ses deux demi-frères, elle vit au fin fond de la Dordogne chez son père, Greg, qu’elle connaît à peine.
Quand ses copains d’école se rêvaient pompier ou footballeur, Greg n’avait déjà qu’une idée en tête : construire des cabanes dans les arbres. Un rêve d’éternel enfant qu’il est resté – alors comment pourrait-il en élever un, d’enfant, surtout cette adolescente carapacée dans son deuil et son malheur ?
Peut-être avec l’aide d’Ida, une retraitée au verbe haut, et de Solène, cette jeune femme solaire et bienveillante qui a la manie étrange de répertorier les boîtes à livres de France…
Un roman émouvant et lumineux porté par des personnages que tout oppose, mais qui vont apprendre à se découvrir, à se soutenir et à avancer ensemble.
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Salvatore Roncone, vieux paysan calabrais attaché à sa terre et à ses traditions, doit se rendre à l’évidence. Pour combattre cette bête qu’il nomme la « Rusca » et que les médecins appellent le cancer, qui lui dévore peu à peu le ventre et le tue, il doit quitter son village natal et partir en convalescence chez son fils à Milan. Milan que le Calabrais déteste, Milan et sa fureur, sa solitude, sa laideur aussi et sa vie sans goûts ni odeurs. Milan et son fils, qu’il croit ne plus connaître et sa belle-fille qui ne vient pas du même monde. Milan ou l’enfer. Cet enfer qui va pourtant lui offrir son dernier amour – un amour franc et total, plus fort que tout – en la personne de son petit-fils Bruno qu’il ne connaît pas… L’écriture de José Luis Sampedro est d’une douceur infinie. Il aborde dans ce roman touchant l’approche de la mort, la remise en question et développe le thème de l’apprentissage dans un langage d’une clarté limpide. Nourri de ce talent de la simplicité, Le Sourire étrusque est l’œuvre de la transcendance, celui de la mort par l’amour. –Hector Chavez
Le Mot de l’éditeur : Le sourire étrusque
Un vieux paysan calabrais arrive chez son fils à Milan pour y subir des examens et… découvrir son dernier amour, son petit-fils Bruno.
Dans ce roman plein de tendresse, d’humour et d’émotion, l’approche de la mort et la vieillesse offrent encore de formidables moments de bonheur et d’apprentissage.
« Le Sourire étrusque touche comme ces choses qui frôlent la tête pour mieux atteindre plus sûrement le cœur. »
Le Monde
« Bouleversant de justesse et de talent, empreint d’une grande humanité, Le Sourire étrusque visite les réalités d’une Italie à plusieurs vitesses. Une histoire d’amour, de résistance et de mort qui se joue du temps. »
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De nos jours, un logiciel bouleverse les moeurs du monde moderne : le programme informatique TimeWise propose à ses utilisateurs de connaître la date exacte de la fin de leur histoire d’amour. Victor et Lola forment un jeune couple idéaliste, fous amoureux l’un de l’autre. Par envie pour l’un, par moquerie pour l’autre, ils y ont recours. Avant de découvrir, stupéfaits, qu’il ne leur reste que deux mois avant de se séparer. Quelle est la meilleure façon de vivre les derniers jours d’une histoire d’amour ? Salomé Baudino nous plonge dans l’histoire d’amour contrariée d’un couple hautement attachant, tout en se moquant avec malice et intelligence des travers de notre époque.
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De nos jours, un logiciel bouleverse les moeurs du monde moderne : le programme informatique TimeWise propose à ses utilisateurs de connaître la date exacte de la fin de leur histoire d’amour. Victor et Lola forment un jeune couple idéaliste, fous amoureux l’un de l’autre. Par envie pour l’un, par moquerie pour l’autre, ils y ont recours. Avant de découvrir, stupéfaits, qu’il ne leur reste que deux mois avant de se séparer. Quelle est la meilleure façon de vivre les derniers jours d’une histoire d’amour ? Salomé Baudino nous plonge dans l’histoire d’amour contrariée d’un couple hautement attachant, tout en se moquant avec malice et intelligence des travers de notre époque.
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Quand la vie prend un virage aussi terrible qu’inattendu, comment se réinventer et garder espoir dans l’avenir ?
Léa a 16 ans, un talent immense et un rêve à réaliser. Entraînée par son père, qui est à la fois son modèle, son meilleur ami et son confident, elle avance avec confiance vers cet avenir tout tracé.
À 17 ans, Anthony, obligé de faire face à l’absence de son père et aux gardes à vue de son frère, ne rêve plus depuis longtemps.
Ils se sont croisés une fois par hasard ; ils n’auraient jamais dû se revoir.
Pourtant, lorsque la vie de Léa s’écroule, Anthony est le seul à pouvoir l’aider à se relever.
Leurs destinées s’en trouvent à jamais bouleversées.
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Relizane, pendant la guerre d’Algérie. Lorsqu’en pleine nuit, on frappe à la porte, Marcel, le grand-père d’Olivia Elkaim, craint pour sa vie et celles de sa femme et de leurs deux enfants. On lui enfile une cagoule sur la tête, il est jeté dans un camion et emmené dans le désert. Va-t-il être condamné à mort ou gracié ? Il revient sain et sauf à Relizane trois jours plus tard, et ses proches se demandent quel est le secret de ce sauf-conduit. A quoi a-t-il collaboré ? Quels gages a-t-il donné et à qui ? Viviane, son épouse, ses frères, sa mère, ses voisins, tous questionnent le tailleur juif. Mais il garde le silence. Quand un jeune apprenti arabe se présente devant son échoppe, Marcel comprend que tôt ou tard, il lui faudra quitter son pays natal.
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Le roman de trois femmes sur trois générations, qui s’interrogent sur l’identité, l’amour et la féminité. Des questions qui se heurtent au silence de Nicole : jeune amoureuse moderne et émancipée en conflit silencieux avec sa famille, elle disparait brutalement d’un accident de voiture. Quel est le prix à payer de la liberté ? Comment survivre au choc d’une mort prématurée?
Un roman à trois voix: celle de Fleur, la grand-mère qui pleure sa fille, celle de Nicole sa fille qui nous emporte dans sa jeunesse fougueuse, et celle de Lila, enfant né après le drame, qui reconstitue le puzzle de la dérive.
» Le cœur de la cellule familiale a cessé de battre avec la disparition de Nicole. Un silence assourdissant qui continue de retentir. Mes parents, qui vivaient depuis trois ans en Australie la quittent précipitamment et définitivement. Ils viennent épauler mes grands-parents, s’installent chez eux pour les consoler. Ils font ce qu’ils peuvent, et tous s’interrogent : pourquoi ? […]
Parce qu’il n’y a rien à dire, un faux mouvement peut tout arrêter. Je ne l’ai pas fait exprès, j’étais fatiguée, j’avais trop peu dormi. Il est presque midi, j’avais promis à papa d’être avec lui pour déjeuner et suis encore à Pont l’Evêque. Une route à deux voies sous une pluie drue, on n’y voit pas grand-chose, j’ai la tête collée au pare-brise, mes essuie-glaces grincent et mes yeux plissés fixent l’horizon. Je roule beaucoup trop vite mais je suis en retard et je n’ai pas envie de présenter un mot d’excuse qui m’entraine dans trop de justifications, cet enfant que j’ai laissé en Angleterre m’a fait perdre toutes mes eaux, même mes larmes que je peine à sortir depuis.
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Été 1989. La Corse, presqu’île de la Revellata, entre mer et montagne. Sur cette route de corniche, au-dessus d’un ravin de vingt mètres, une voiture roule trop vite et bascule dans le vide. Une seule survivante : Clotilde, quinze ans. Ses parents et son frère n’ont pas eu la même chance.
Été 2016. Clotilde revient pour la première fois sur les lieux du drame, accompagnée de son mari et de sa fille adolescente. Elle veut profiter de ces vacances pour exorciser le passé. C’est au camping dans lequel elle a vécu son dernier été avec ses parents que l’attend une lettre… de sa mère. Vivante ?
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Naples, 1946. Amerigo quitte son quartier pour monter dans un train. Avec des milliers d’autres enfants du Sud, il traversera toute la péninsule et passera quelques mois dans une famille du Nord : une initiative du parti communiste vouée à arracher les plus jeunes à la misère après le dernier conflit mondial. Loin de ses…
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Antonio José Bolivar connaît les profondeurs de la forêt amazonienne et ses habitants, le noble peuple des Shuars. Lorsque les villageois d’El Idilio les accusent à tort du meurtre d’un chasseur blanc, le vieil homme se révolte. Obligé de quitter ses romans d’amour – seule échappatoire à la barbarie des hommes – pour chasser le vrai coupable, une panthère majestueuse, il replonge dans le charme hypnotique de la forêt.
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Tous les lundis à midi et demi, elle le voit s’installer à la table 10 et commander son bœuf-carottes, derrière ses verres fumés. Qui est donc ce vieil homme pour lequel Clara, la serveuse, sent d’emblée une tendresse infinie ? Leurs deux solitudes, silencieuses et meurtries, se sont déjà reconnues. Elle, étouffée par une histoire qui la hante, lui, prisonnier d’un passé qui l’isole, s’échangeront les mots qu’il faut, les pardons qu’ils attendent, le plaisir de l’instant – une amitié pour la vie et le bonheur en héritage…
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Massoumeh a 16 ans, et un rêve : poursuivre ses études. Sur le chemin du lycée, elle rencontre Saiid, avec lequel elle partagera un amour innocent… mais ses frères les découvrent. Battue par sa famille, elle est mariée de force à Hamid, de 14 ans son aîné. Par chance, il la respecte et l’encourage à se libérer de la tyrannie et de la tradition. Mais entre la chute du shah, la montée de l’intégrisme religieux et la guerre, le couple est rattrapé par l’histoire mouvementée de son pays.
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A une époque de ma vie où j’étais avant tout l’épouse de Hugh et la mère de Dee, l’une de ces femmes pas ambiguës pour deux sous, n’ayant aucune envie de troubler l’ordre du monde, je suis tombée amoureuse d’un moine bénédictin… Ainsi commence l’histoire de Jessie, qui voit sa vie bouleversée à quarante-deux ans, en retournant sur l’île de son enfance, au large de la Caroline du Sud. Après Le Secret des abeilles, son incroyable best-seller qui s’est vendu à plus de cinq millions d’exemplaires aux États-Unis, Sue Monk Kidd décrit dans ce beau roman les désirs d’une femme qui doute, nous révélant ainsi le véritable sens de l’amour, la tentation du risque, et le pouvoir du pardon.
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« Sept fois ils se sont dit oui. Dans des consulats obscurs, des mairies de quartier, des grandes cathédrales ou des chapelles du bout du monde. Tantôt pieds nus, tantôt en grand équipage. Il leur est même arrivé d’oublier les alliances. Sept fois, ils se sont engagés. Et six fois, l’éloignement, la séparation, le divorce…
Edgar et Ludmilla… Le mariage sans fin d’un aventurier charmeur, un brin escroc, et d’une exilée un peu « perchée », devenue une sublime cantatrice acclamée sur toutes les scènes d’opéra du monde. Pour eux, c’était en somme : « ni avec toi, ni sans toi ». À cause de cette impossibilité, ils ont inventé une autre manière de s’aimer. Pour tenter de percer leur mystère, je les ai suivis partout, de Russie jusqu’en Amérique, du Maroc à l’Afrique du Sud. J’ai consulté les archives et reconstitué les étapes de leur vie pendant un demi-siècle palpitant, de l’après-guerre jusqu’aux années 2000. Surtout, je suis le seul à avoir recueilli leurs confidences, au point de savoir à peu près tout sur eux. Parfois, je me demande même s’ils existeraient sans moi. »
Jean-Christophe Rufin