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  • La fracture (Nina Allan)

    Le jour où Julie réapparaît, 20 ans après sa mystérieuse disparition, l’histoire qu’elle raconte semble impossible…

    Le 16 juillet 1994 dans la région de Manchester, Julie Rouane, dix-sept ans, prétexte un rendez-vous avec une copine pour s’absenter du domicile familial… et disparaît pendant plus de vingt ans.
    Longtemps après l’abandon de l’enquête par la police, son père, Raymond Rouane, continue à explorer seul toutes les pistes possibles. En vain. La mère de Julie et sa soeur cadette, Selena, tentent elles aussi de faire front, chacune à sa manière.
    Puis un soir, 20 ans après, une femme qui prétend être Julie contacte Selena. Alors qu’on avait soupçonné que l’adolescente ait pu être enlevée et assassinée – un homme de la région ayant avoué plusieurs meurtres de femmes -, l’histoire que Julie raconte à sa sœur est tout à fait différente, extravagante, impossible…

  • La goûteuse d’Hitler (Rosella Postorino)

    1943. Reclus dans son quartier général en Prusse orientale, terrorisé à l’idée que l’on attente à sa vie, Hitler a fait recruter des goûteuses. Parmi elles, Rosa.

    Quand les S.S. lui ordonnent de porter une cuillerée à sa bouche, Rosa s’exécute, la peur au ventre : chaque bouchée est peut-être la dernière. Mais elle doit affronter une autre guerre entre les murs de ce réfectoire : considérée comme « l’étrangère », Rosa, qui vient de Berlin, est en butte à l’hostilité de ses compagnes, dont Elfriede, personnalité aussi charismatique qu’autoritaire.

    Pourtant, la réalité est la même pour toutes : consentir à leur rôle, c’est à la fois vouloir survivre et accepter l’idée de mourir.

    Couronné en Italie par le prestigieux prix Campiello, ce roman saisissant est inspiré de l’histoire vraie de Margot Wölk. Rosella Postorino signe un texte envoûtant qui, en explorant l’ambiguïté des relations, interroge ce que signifie être et rester humain.

  • La gouvernante suédoise ( Marie Sizun)

    « Dans le grand salon, ce matin baigné de soleil, ils sont là tous les trois, Léonard Sèzeneau, sa femme, et elle, Livia, un peu comme trois acteurs sur une scène, encore ignorants de leurs rôles. »

    Qui est Livia, la gouvernante suédoise engagée par Léonard pour seconder sa jeune femme Hulda dans l’éducation de leurs enfants ? De la lumière radieuse de Stockholm aux lueurs crépusculaires de Meudon, cette famille va connaître une réussite fulgurante avant le déclin, loin des conventions de la fin du XIXe siècle. Dans ce roman de secrets, d’amours et de fascination mutuelle, Marie Sizun retisse les liens perdus de son étonnante histoire familiale.

  • La grande épreuve (Etienne de Montety)

    Un couple sans histoire, Laure et François Berteau. Leur fils adoptif, David, adolescent enjoué qui se pose des questions sur ses origines. Le père Georges Tellier, un prêtre qui s’arc-boute à sa foi, dans une Eglise qui s’étiole. Frédéric Nguyen, flic résolu à l’action et au silence, pour préserver sa vie privée. Hicham, que le goût du risque et de la frime finit par conduire en prison. Des remarques blessantes, de mauvaises rencontres. Une emprise croissante de l’islamisme et une colère de plus en plus radicale.

    Et tout se précipite. Vers cette petite église d’un village du Sud-Ouest de la France, la tragédie attire comme un aimant explosif des hommes que rien ne prédestinait à se rencontrer.

    Le sujet de La Grande Epreuve nous concerne tous. La violence peut surgir au coin de la rue, comme ce fut le cas pour le père Hamel assassiné dans son église de Saint-Etienne du Rouvray. Etienne de Montety s’en inspire librement, en romancier. Car ce que seul un roman peut nous faire comprendre, par son souffle, ses échos et son irrésistible accélération, c’est la dimension inéluctable de tels événements. Le courage, la prudence, la peur, l’amour ou le désarroi, rien ne pourra arrêter une religion devenue folle.

  • La grande idée (Anton Beraber)

    Son nom parcourt le livre comme une incantation, et pourtant Saul Kaloyannis reste une énigme. Qui était-il, cet homme aux yeux emplis de ténèbres : un idéaliste, un traître, ou le dernier des héros ? Dans les années 70, un étudiant part à la recherche de ce survivant d’une guerre perdue un demi-siècle auparavant. Les témoins qu’il retrouve, tous des laissés-pour-compte de l’Histoire, se succèdent pour retracer le destin de Kaloyannis, son voyage sans retour des confins de l’Orient à la baie de New York. En des temps où les régimes répriment l’extraordinaire, la légende galopante du contestataire embrase déserts, îles des Cyclades, forêts de sauges géantes, villes sous les vagues… Ce roman d’aventures déployant un imaginaire infini est porté par une écriture magnifique, ample, visionnaire, qui dans son fleuve obstiné allie le trivial et le précieux, le réalisme et la poésie.

  • La grande idée (Anton Beraber)

    Son nom parcourt le livre comme une incantation, et pourtant Saul Kaloyannis reste une énigme. Qui était-il, cet homme aux yeux emplis de ténèbres : un idéaliste, un traître, ou le dernier des héros ? Dans les années 70, un étudiant part à la recherche de ce survivant d’une guerre perdue un demi-siècle auparavant. Les témoins qu’il retrouve, tous des laissés-pour-compte de l’Histoire, se succèdent pour retracer le destin de Kaloyannis, son voyage sans retour des confins de l’Orient à la baie de New York. En des temps où les régimes répriment l’extraordinaire, la légende galopante du contestataire embrase déserts, îles des Cyclades, forêts de sauges géantes, villes sous les vagues… Ce roman d’aventures déployant un imaginaire infini est porté par une écriture magnifique, ample, visionnaire, qui dans son fleuve obstiné allie le trivial et le précieux, le réalisme et la poésie.

  • La jeune fille et la nuit (Guillaume Musso)

    Un campus prestigieux figé sous la neige Trois amis liés par un secret tragique. Une jeune fille emportée par la nuit. Côte d Azur – Hiver 1992 Une nuit glaciale, alors que le campus de son lycée est paralysé  par une tempête de neige, Vinca Rockwell, 19 ans, l’une des  plus  brillantes élèves de classes prépas, s’enfuit avec son professeur  de philo avec qui elle entretenait une relation secrète. Pour la jeune fille, « l’amour est tout ou il n’est rien ». Personne ne la reverra jamais. Côte d Azur – Printemps 2017 Autrefois inséparables, Fanny, Thomas et Maxime les meilleurs  amis de Vinca ne se sont plus parlé depuis la fin de leurs études.  Ils se retrouvent lors d une réunion d’anciens élèves. Vingt-cinq  ans plus tôt, dans des circonstances terribles, ils ont tous les trois  commis un meurtre et emmuré le cadavre dans le gymnase du lycée. Celui que l’on doit entièrement détruire aujourd’hui pour  construire un autre bâtiment. Dès lors, plus rien ne s’oppose à ce qu éclate la vérité. Dérangeante Douloureuse  Démoniaque…

  • La joueuse de go (Shan Sa)

    Depuis 1931, le dernier empereur de Chine règne sans pouvoir sur la Mandchourie occupée par l’armée japonaise. Alors que l’aristocratie tente d’oublier dans de vaines distractions la guerre et ses cruautés, une lycéenne de seize ans joue au go. Place des Mille Vents, ses mains infaillibles manipulent les pions. Mélancolique mais fiévreuse, elle rêve d’un autre destin. «Le bonheur est un combat d’encerclement.» Sur le damier, elle bat tous ses prétendants.Mais la joueuse ignore encore son adversaire de demain : un officier japonais dur comme le métal, à peine plus âgé qu’elle, dévoué à l’utopie impérialiste. Ils s’affrontent, ils s’aiment, sans un geste, jusqu’au bout, tandis que la Chine vacille sous les coups de l’envahisseur qui tue, pille, torture.

  • La langue des choses cachées (Cécile Coulon)

    À la tombée du jour, un jeune guérisseur se rend dans un village reculé. Sa mère lui a toujours dit :  » Ne laisse jamais de traces de ton passage.  » Il obéit toujours à sa mère. Sauf cette nuit-là.

    Cécile Coulon explore dans ce roman des thèmes universels : la force
    poétique de la nature et la noirceur des hommes. Elle est l’autrice
    de Une bête au Paradis, Prix littéraire du Monde, Trois saisons d’orage, prix des Libraires, et du recueil de poèmes Les Ronces, prix Apollinaire.
    Avec La Langue des choses cachées, ses talents de romancière et
    de poétesse se mêlent dans une oeuvre littéraire exceptionnelle.

  • La libraire des rêves ensevelis (Madeline Martin)

    Août 1939. Grace Bennett a toujours voulu s’installer à Londres, mais le travail qu’elle décroche dans une petite librairie est bien loin du glamour dont elle rêvait. Les étagères croulent sous les livres où s’entasse la poussière, le propriétaire est aussi austère que son établissement exigu, et dehors, la guerre gronde déjà. Pourtant, entre les black-out et les évacuations, Grace trouve dans la lecture un trésor insoupçonné.Lorsque le Blitz ravage la ville et que la panique gagne les abris, Grace puise dans les merveilles de la littérature pour apporter aux autres, et à elle-même, l’espoir de jours meilleurs.Un roman inspirant et vibrant sur le pouvoir des livres.

  • La librairie du Caire (Nadia Wassef)

    Dans les rues du Caire résonne une étrange musique : l’écho des appels à la prière, les insultes furieuses lancées entre les conducteurs, les cris des vendeurs ambulants. Nadia Wassef connaît cette chanson par cœur. C’est là qu’elle a grandi, et c’est là, dans le quartier de Zamalek, cette île fluviale entourée d’un désert que, le 8 mars 2002, avec sa sœur Hind et son amie Nihal elle a inauguré Diwan, la première librairie moderne et indépendante d’Égypte.
    Alors que la culture traversait une mauvaise passe, les trois femmes décidèrent de tenter l’impossible et se jurèrent de redonner aux Cairotes le goût de la lecture. Sans formation ni expérience professionnelle dans ce domaine, elles durent affronter la censure, le patriarcat, les clients excentriques, les employés rebelles et donner tort à tous les tristes sires qui leur serinaient qu’elles ne réussiraient pas et feraient mieux de rester dans leur cuisine.
    Vingt ans après, avec plus d’une dizaine de succursales à travers le pays, 150 employés et des clients assidus, Diwan est une véritable institution en Égypte. Comment en sont-elles arrivées là ?
    Nadia Wassef nous raconte ici l’incroyable histoire de cette aventure entrepreneuriale, humaine, et littéraire. Au fil de ses mémoires, on croise des habitués hauts en couleur, comme l’exigeant docteur Medhat, Samir le chauffeur qui a un avis sur tout, et on tombe à notre tour sous le charme des trois femmes de Diwan : Nihal la sérieuse contemplative, Hind la taiseuse pleine de sagesse et Nadia, la perfectionniste aux accents parfois dictatoriaux.
    La Libraire du Caire  est le portrait détonnant d’une Égypte moderne, loin des guides touristiques, un cri de ralliement féministe, ainsi qu’une magnifique déclaration d’amour aux librairies du monde entier.
  • La ligne bleue (Ingrid Betancourt)

    Buenos Aires, années 70. Julia a hérité de sa grand-mère Josefina un don précieux et encombrant : parfois des scènes de l’avenir lui apparaissent, vues à travers le regard de l’autre. À charge pour elle d’interpréter sa vision. Dès l’âge de cinq ans, elle doit intervenir pour empêcher le déroulement d’événements malheureux. L’histoire de Julia va basculer lors du retour de Perón en Argentine. Sympathisants du mouvement des Montoneros, elle et son compagnon vont connaître le destin de cette jeunesse idéaliste et révolutionnaire d’Amérique latine, fascinée tout autant par la figure du Christ que par celle de Che Guevara et confrontée à la réalité de la dictature militaire. Capturés par des escadrons de la mort, ils réussiront à s’évader… On retrouve ici certains des thèmes qui traversaient Même le silence a une fin, le grand récit d’Ingrid Betancourt relatant ses années de captivité dans la jungle : la privation de liberté et ses conséquences, le courage individuel et la servilité collective, l’espoir en l’avenir de l’humanité considéré comme un acte de foi. Mais de ce dilemme entre le choix de la vengeance et celui de la vie, elle a d’abord fait la matière d’un vrai roman d’aventures.

  • La Louisiane (Julia Malye)

    Pour la première fois depuis trois mois, elles discernent enfin le sable que leur cachait l’eau lors de la traversée de l’Atlantique, ce fond de l’océan qu’elles ont brièvement aperçu ce matin en débarquant de La Baleine. Personne ne leur a expliqué où elles seraient logées ce soir, dans combien de temps elles seraient fiancées. On ne dit pas tout aux femmes.
    Paris, 1720. Marguerite Pancatelin, la Supérieure de la Salpêtrière, est mandatée pour sélectionner une centaine de femmes « volontaires » qui seront envoyées en Louisiane afin d’y épouser les colons français.Parmi elles, trois amies improbables : une orpheline de douze ans à la langue bien pendue, une jeune aristocrate désargentée et rejetée par sa famille ainsi qu’une femme condamnée pour avortement. Comme leurs compagnes à bord de La Baleine, Charlotte, Pétronille et Geneviève ignorent tout de ce qui les attend au-delà des mers. Et n’ont pas leur mot à dire sur leur avenir. Ces étrangères réunies par le destin devront braver l’adversité – maladie, guerre, patriarcat –, traverser une vie faite de chagrins d’amour, de naissances et de deuils, de cruauté et de plaisirs inattendus. Et d’une amitié forgée dans le feu.
    Un roman d’une profondeur et d’une émotion saisissantes, qui nous transporte au cœur d’une terre impitoyable, aux côtés d’héroïnes animées d’une extraordinaire soif d’amour et de vie.

  • La maison au bord de la nuit (Catherine Banney)

    Castellamare. C’est un caillou perdu, au large de Syracuse. Une île de légendes et de malédictions. Là, le jeune médecin Amadeo Esposito trouvera son premier poste. Et posera pour toujours ses valises. Malgré les tranchées de 1914, malgré le fascisme, les ragots, les scandales, celui qui naquit à Florence sans parents ni famille y fondera la sienne – les siennes… C’est ici, dans la Maison Au Bord de la Nuit, que trois générations d’Esposito vont vivre, mourir, aimer, se déchirer, s’effondrer et se relever, sous le regard de la sainte patronne locale, Sant’Agata, toujours prompte à réaliser quelques miracles…

  • La maison de Bretagne (Marie Sizun)

    « Au-delà, on n’apercevait de la mer et du ciel qu’une seule masse grise, informe, agitée de profonds remous. J’aurais aimé peindre cela. Cette informité. Cette force aveugle. Ce chaos. »En route pour le Finistère, Claire est décidée à vendre la vieille maison de l’Île-Tudy où, depuis l’enfance, elle passait ses vacances. À son arrivée, une bien mauvaise surprise l’attend, et la police doit ouvrir une enquête. Les souvenirs attachés à cette maison remontent alors : l’énigme d’une mère, la disparition d’un père, une soeur détestée… Autant de silences et questions en suspens qui trouveront peu à peu leurs réponses sur cette île du bout des terres.

  • La maison de l’orchidée (Lucinda Riley)

    Wharton Park… Julia Forrester n’a jamais oublié les étés idylliques de son enfance, passés à arpenter la somptueuse propriété où son grand-père prenait soin des plantes exotiques, si rares dans cette région du Norfolk. Aussi est-ce tout naturellement qu’elle vient y chercher refuge après le terrible drame qui a bouleversé sa vie.

    Mais si ces terres sont chargées de souvenirs, Julia ne tarde pas à découvrir qu’elles abritent également bien des secrets. C’est dans le journal intime tenu dans les années 1940 par son aïeul qu’elle perce peu à peu le mystère d’une histoire d’amour qui a presque détruit le domaine plus de cinquante ans auparavant…

    À travers les destins croisés de deux familles ravagées par la guerre, un roman étourdissant entre Europe et Asie, comme sait si bien nous les offrir Lucinda Riley.

    « Envoûtant, bouleversant et intense. »