Affichage de 65–74 sur 74 résultats

  • Soif (Amélie Nothomb)

    Soif (Amélie Nothomb)

    « Pour éprouver la soif, il faut être vivant. » Amélie Nothomb « On n’apprend des vérités si fortes qu’en ayant soif, qu’en éprouvant l’amour et en mourant : trois activités qui nécessitent un corps. » Avec sa plume inimitable, Amélie Nothomb donne voix et corps à Jésus Christ, quelques heures avant la crucifixion. Elle nous fait rencontrer un Christ ô combien humain et incarné, qui monte avec résignation au sommet du Golgotha. Aucun défi littéraire n’arrête l’imagination puissante et fulgurante d’Amélie Nothomb, qui livre ici un de ses textes les plus intimes.

  • Soif de musique ( Roman Romel))

    Soif de musique ( Roman Romel))

    Comment devient-on pianiste concertiste multimillionnaire à vingt ans ?
    L’histoire d’Hector stupéfie. On suit le jeune prodige depuis son plus jeune âge : père chef d’orchestre et mère pianiste, professeurs rocambolesques, concours internationaux les plus exigeants… Hector se surpasse à chaque fois et surprend son entourage. Son don et sa force de travail de démiurge le mèneront jusqu’aux plus hauts sommets. Mais que faire lorsqu’à vingt ans on a déjà obtenu tous les honneurs et l’admiration de ses pairs ? Que reste-t-il du génie lorsqu’on l’a usé jusqu’à la corde ?

  • Tant que le café est encore chaud (Toshikazu Kawaguchi)

    Tant que le café est encore chaud (Toshikazu Kawaguchi)

    Dans une petite ruelle de Tokyo se trouve Funiculi Funicula, un petit établissement au sujet duquel circulent mille légendes. On raconte notamment qu’en y dégustant un délicieux café, on peut retourner dans le passé. Mais ce voyage comporte des règles : il ne changera pas le présent et dure tant que le café est encore chaud. Quatre femmes vont vivre cette singulière expérience.

    Vendu à plus d’un million d’exemplaires au Japon, traduit dans plus de trente pays, le roman de Toshikazu Kawaguchi a touché les lecteurs du monde entier.

  • Un animal sauvage (Joël Dicker)

    Un animal sauvage (Joël Dicker)

    Braquage à Genève
    2 juillet 2022, deux malfaiteurs sont sur le point de dévaliser une grande bijouterie de Genève. Mais ce braquage est loin d’être un banal fait divers…

    Vingt jours plus tôt, dans une banlieue cossue des rives du lac Léman, Sophie Braun s’apprête à fêter ses quarante ans. La vie lui sourit. Elle habite avec sa famille dans une magnifique villa bordée par la forêt. Mais son monde idyllique commence à vaciller.

    Son mari est empêtré dans ses petits arrangements.

    Son voisin, un policier pourtant réputé irréprochable, est fasciné par elle jusqu’à l’obsession et l’épie dans sa vie la plus intime.

    Et un mystérieux rôdeur lui offre, le jour de son anniversaire, un cadeau qui va la bouleverser.

    Il faudra de nombreux allers-retours dans le passé, loin de Genève, pour remonter à l’origine de cette intrigue diabolique dont personne ne sortira indemne. Pas même le lecteur.

  • Un homme sans titre (Xavier Le Clerc)

    Un homme sans titre (Xavier Le Clerc)

    Si tu étais si attaché à ta carte d’ouvrier, c’est sans doute parce que tu étais un homme sans titre. Toi qui es né dépossédé, de tout titre de propriété comme de citoyenneté, tu n’auras connu que des titres de transport et de résidence. Le titre en latin veut dire l’inscription. Et si tu étais bien inscrit quelque part en tout petit, ce n’était hélas que pour t’effacer. Tu as figuré sur l’interminable liste des hommes à broyer au travail, comme tant d’autres avant toi à malaxer dans les tranchées. »En lisant Misère de la Kabylie, reportage publié par Camus en 1939, Xavier Le Clerc découvre dans quelles conditions de dénuement son père a grandi. L’auteur retrace le parcours de cet homme courageux, si longtemps absent et mutique, arrivé d’Algérie en 1962, embauché comme manoeuvre à la Société métallurgique de Normandie. Ce témoignage captivant est un cri de révolte contre l’injustice et la misère organisée, mais il laisse aussi entendre une voix apaisée qui invite à réfléchir sur les notions d’identité et d’intégration.

  • Un si long après-midi (Inga Vesper)

    Un si long après-midi (Inga Vesper)

    Dans sa cuisine baignée de soleil californien, Joyce rêve à sa fenêtre. Elle est blanche, elle est riche. Son horizon de femme au foyer, pourtant, s’arrête aux haies bien taillées de son jardin. Ruby, elle, travaille comme femme de ménage chez Joyce et rêve de changer de vie. Mais en 1959, la société américaine n’a rien à offrir à une jeune fille noire et pauvre. Quand Joyce disparaît, le vernis des faux-semblants du rêve américain se craquelle. La lutte pour l’égalité des femmes et des afro-américains n’en est qu’à ses débuts, mais ces deux héroïnes bouleversantes font déjà entendre leur cri. Celui d’un espoir brûlant de liberté.

  • Une affaire française (Raphaëlle Bacqué)

    Une affaire française (Raphaëlle Bacqué)

    Il aura fallu plus de dix ans. Dix ans pour voir un mythe s’autodétruire sous nos yeux.

    Il y a d’abord eu des récits, sur le ton de la blague. Des incidents balayés au nom de son génie. Des scandales étouffés du fait de sa puissance. On l’admiraitil avait tous les droits. Gérard Depardieu incarnait la France, puisqu’il était Cyrano.

    Et puis, sont venues les plaintes en justice. Les premiers témoignages. L’aveuglement volontaire du milieu du cinéma, l’argent et les obscénités, l’« ami Poutine » et les dictateurs, les coulisses des tournages…

    Dans cette enquête explosive, Raphaëlle Bacqué et Samuel Blumenfeld lèvent pour la première fois le voile sur cette affaire si française qui voit même, au paroxysme du scandale, le président s’en mêler.

    Un tableau sidérant de notre société.

    Raphaëlle Bacqué, grand reporter au Monde, est notamment l’auteure de Kaiser KarlRichieLe dernier mort de Mitterrand et, en collaboration avec Ariane Chemin, des Strauss-Kahn et de La femme fatale.

  • Une croix sur l'enfance (Jean-Pierre Sautreau)

    Une croix sur l’enfance (Jean-Pierre Sautreau)

    Je viens d’avoir 11 ans cet avril 1960, et j’apprends que je vais partir au Séminaire de Chavagnes-en-Paillers rejoindre des dizaines d’autres enfants. Comme eux, on m’a découvert la vocation sacerdotale. J’ai soi-disant reçu un mystérieux appel à être prêtre. En réalité, cette élection ne résulte ni d’un événement extraordinaire, ni d’un choix personnel, mais de la conjuration d’adultes : enseignant, abbés de la paroisse, recruteur spécial autour du bon élève d’une famille catholique modèle plus ou moins subjuguée. Je deviens ainsi l’agneau sacrifié d’une Église en mal de troupes pour assurer son développement. Mon enfance va m’être arrachée, ma singularité piétinée. Je vais connaître l’humiliation et la souillure, la solitude et la mélancolie avant d’être chassé six ans plus tard du troupeau et revenir vers des parents déçus et incompréhensifs. Bousculé dans ma construction d’être, privé notamment d’adolescence, je resterai marqué à vie par ces années, blessé en particulier par la distension du lien avec une mère qui m’a alors laissé partir.

  • Une vie française (Jean- Paul Dubois)

    Une vie française (Jean- Paul Dubois)

    Paul Blick a huit ans lorsque son frère meurt brutalement, le jour où la France entérine la Ve République. De Charles de Gaulle à Jacques Chirac, des premiers baisers aux premiers cheveux blancs, Blick hésite entre désir de révolte, confort bourgeois et recherche d’un absolu désillusionné. Cette vie française, à laquelle chacun peut s’identifier, est inscrite dans une Histoire en marche et subit le monde autant qu’elle le construit.

  • Vous n'aurez pas ma haine (Antoine Leiris )

    Vous n’aurez pas ma haine (Antoine Leiris )

    Antoine Leiris a perdu sa femme, Hélène Muyal-Leiris, le 13 novembre 2015, assassinée au Bataclan. Accablé par la perte, il n’a qu’une arme : sa plume.
    À l’image de la lueur d’espoir et de douceur que fut sa lettre « Vous n’aurez pas ma haine », publiée au lendemain des attentats, il nous raconte ici comment,
    malgré tout, la vie doit continuer.
    C’est ce quotidien, meurtri mais tendre, entre un père et son fils, qu’il nous offre. Un témoignage bouleversant.

    Ancien chroniqueur culturel à France Info et France Bleu, Antoine Leiris est journaliste. Vous n’aurez pas ma haine est son premier livre.