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J’ai vécu ce que j’avais à vivre et aimé du mieux que j’ai pu. Si je n’ai pas eu de chance ou si je l’ai ratée d’un cheveu, si j’ai fauté quelque part sans faire exprès, si j’ai perdu toutes mes batailles, mes défaites ont du mérite – elles sont la preuve que je me suis battu.Algérie, 1914. Yacine Chéraga n’avait jamais quitté son douar lorsqu’il est envoyé en France se battre contre les « Boches ». De retour au pays après la guerre, d’autres aventures incroyables l’attendent. Traqué, malmené par le sort, il n’aura, pour faire face à l’adversité, que la pureté de son amour et son indéfectible humanité.Les Vertueux est un roman majeur, la plus impressionnante des oeuvres de Yasmina Khadra.
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Parfois, on pense trouver le soleil en août, mais c’est la lune qu’on trouve en mars.
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Un roman choc sur la possibilité de construire une histoire d’amour après avoir survécu à l’abomination
Magnifique vit au bord du lac de Genève. Elle s’apprête à subir une opération bénigne, mais, » au cas où « , décide d’écrire à son mari ce qu’elle lui a toujours caché. Le récit de ce qui a précédé leur rencontre, il y a vingt-huit ans, dans les collines du Rwanda.
La voix d’une héroïne d’exception s’élève.
» Il y a des livres comme ça qui écrasent tous les autres. » Gérard
Collard – Sud Radio
» J’ai adoré. » Olivia de Lamberterie – France Inter
» Ce livre s’envole et nous élève. A-t-on vu déjà un roman et une héroïne si bien nommés ? » David Lelait-Helo – Femme Actuelle
» Un petit bijou écrit avec pudeur et justesse, à lire absolument. » Sandrine Bajos – Le Parisien
» Un roman puissant et sombre. » Armelle Le Goff – Le Point
» Puissant, délicat et bouleversant à bien des égards. » Librairies de Port Maria (Quiberon)
» Un roman d’une très grande force évocatrice. » Librairie Petites histoires entre amis (Chennevières-sur-Marne)
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Tous les chemins mènent à Luca Di Fulvio
Un orphelin qui veut changer le monde avec son appareil-photo.
Une artiste de cirque passionnée de politique.
Une comtesse aux aspirations républicaines.
Trois personnes que le destin conduit à Rome en 1870, cœur battant de l’Italie. Leurs chemins se croisent au milieu de cette ville prometteuse, et leurs rêves apparaissent comme un lien magique. Mais Rome l’éblouissante, l’insaisissable, présente des défis inattendus à ses nouveaux admirateurs.
Jusqu’au jour où un événement dramatique secoue la Ville éternelle…
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Je l’ai décrite comme si je la filmais, caméra à l’épaule, afin que mes lecteurs comprennent d’emblée qui elle était. J’ai décrypté ses livres, sa voix, son regard, sa façon de marcher, son rire. J’ai écouté ses enfants, ses petits-enfants. Autour des maisons qu’elle aimait avec passion, j’ai dressé le portrait d’une écrivaine atypique et envoûtante, méprisée des critiques parce qu’elle vendait des millions de livres. Son univers macabre et fascinant a engendré une œuvre complexe, étonnamment noire, à l’opposé de l’étiquette « eau de rose » qui lui fut si injustement attribuée.
Ce livre se lit comme un roman, mais je n’ai rien inventé. Tout y est vrai.
C’est le roman d’une vie.
Tatiana de Rosnay
Le portrait d’une Daphné du Maurier révoltée, libre et entière. Marine de Tilly, Le Point.
Une biographie passionnante, fouillée et incarnée de l’écrivaine. Olivia de Lamberterie, Elle.
Tatiana de Rosnay s’est rendue au plus près de cette femme ultramoderne. Pierre Vavasseur, Le Parisien.
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Avril 1940. Louise, trente ans, court, nue, sur le boulevard du Montparnasse. Pour comprendre la scène tragique qu’elle vient de vivre, elle devra plonger dans la folie d’une période sans équivalent dans l’histoire où la France toute entière, saisie par la panique, sombre dans le chaos, faisant émerger les héros et les salauds, les menteurs et les lâches… Et quelques hommes de bonne volonté.
Il fallait toute la verve et la générosité d’un chroniqueur hors pair des passions françaises pour saisir la grandeur et la décadence d’un peuple broyé par les circonstances.
Secret de famille, grands personnages, puissance du récit, rebondissements, burlesque et tragique… Le talent de Pierre Lemaitre, prix Goncourt pour Au revoir là-haut, est ici à son sommet.
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Il trahissait depuis près de vingt ans. L’Irlande qu’il aimait tant, sa lutte, ses parents, ses enfants, ses camarades, ses amis, moi. Il nous avait trahis. Chaque matin. Chaque soir… S. C.
Un roman fort et transi. Jean-Marc Parisis, Le Figaro Magazine.
Un livre rugueux d’une beauté terrible. Bernard Géniès, Le Nouvel Observateur.
Un livre fascinant pour ce qu’il dit de l’amitié, de la solidarité. Et de leur fragilité si humaine… Delphine Peras, L’Express.
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A quatorze ans, Turtle Alveston arpente les bois de la côte nord de la Californie avec un fusil et un pistolet pour seuls compagnons. Elle trouve refuge sur les plages et les îlots rocheux qu’elle parcourt sur des kilomètres. Mais si le monde extérieur s’ouvre à elle dans toute son immensité, son univers familial est étroit et menaçant : Turtle a grandi seule, sous la coupe d’un père charismatique et abusif. Sa vie sociale est confinée au collège, et elle repousse quiconque essaye de percer sa carapace. Jusqu’au jour où elle rencontre Jacob, un lycéen blagueur qu’elle intrigue et fascine à la fois. Poussée par cette amitié naissante, Turtle décide alors d’échapper à son père et plonge dans une aventure sans retour où elle mettra en jeu sa liberté et sa survie.
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C’est une histoire française, une histoire d’immigration aussi.
Comme des dizaines de milliers de Marocains, en 1963 le père de Mariame Tighanimine a été débauché par un agent recruteur, Félix Mora, au service des houillères du Nord et du Pas de Calais. Il fallait remplir les mines de France. Lahcen Tighanimine est alors envoyé à la mine à Lens. Avec une paie de 250 francs reçue tous les quinze jours en liquide, avec un logement et le charbon gratuit, le quotidien, loin de sa famille et de son pays, est loin d’être facile. Aucune de ces gueules noires, à qui on avait apposé un tampon vert pour rentrer en France comme du bétail, n’imagine rester. Une génération plus tard, dans l’hexagone, leurs descendants sont des centaines de milliers.
Avec force et passion Mariame Tighanimine retrace ce pan de l’histoire encore méconnu ; cet « angle mort du récit national », comme l’a écrit la journaliste Ariane Chemin. Elle raconte aussi la venue de sa mère, par le regroupement familial, le travail à l’usine, à Flins, chez Renault, après la fermeture des mines de charbon, l’installation de la famille à Mantes la jolie… Un destin arrimé à la France, où l’autrice, son frère et ses quatre soeurs sont nés.
Notre histoire de France est un récit intime, un portrait familial émouvant, qui, au fil des pages, se transforme en un antidote puissant contre les poisons identitaires de notre époque.
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« Du camp de concentration au sommet de la haute couture française, voici le voyage de Tomi, sa vie miraculeuse, déviée par l histoire, sauvée par la beauté. »
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Très improbable, cette amitié entre un paludier misanthrope, ex-Parisien installé près de Guérande, et un agent immobilier ambitieux, prêt à tout pour « réussir ». Le premier mène une vie quasi monacale, déconnecté avec bonheur de toute technologie, tandis que le second gare avec fierté sa Porsche devant les boîtes de nuit.
Liés à la fois par une promesse absurde et par une fascination réciproque, ils vont passer une semaine à tenter de s’apprivoiser, au coeur des marais salants.
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Florence, 1557. Le peintre Pontormo est retrouvé assassiné au pied des fresques auxquelles il travaillait depuis onze ans. Un tableau a été maquillé. Un crime de lèse-majesté a été commis. Vasari, l’homme à tout faire du duc de Florence, est chargé de l’enquête. Pour l’assister à distance, il se tourne vers le vieux Michel-Ange exilé à Rome.
La situation exige discrétion, loyauté, sensibilité artistique et sens politique. L’Europe est une poudrière. Cosimo de Médicis doit faire face aux convoitises de sa cousine Catherine, reine de France, alliée à son vieil ennemi, le républicain Piero Strozzi. Les couvents de la ville pullulent de nostalgiques de Savonarole tandis qu’à Rome, le pape condamne les nudités de le chapelle Sixtine.
Perspective(s) est un polar historique épistolaire. Du broyeur de couleurs à la reine de France en passant par les meilleurs peintres, sculpteurs et architectes, chacun des correspondants joue sa carte. Tout le monde est suspect
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En 1939, Jun est étudiant au Conservatoire de Paris. Mais le conflit sino-japonais le contraint à rentrer au Japon. En quittant la France, il laisse derrière lui son grand amour, sa « reine de coeur », la jeune Anna. L’épreuve de la guerre sera d’une violence monstrueuse.Des années plus tard, Mizuné, une jeune altiste parisienne, découvre un roman qui lui rappelle étrangement le parcours de ses grands-parents, Jun et Anna, qu’elle n’a jamais connus. Bouleversée par la guerre et la folie des hommes, leur histoire d’amour, si intimement liée à la musique, pourrait bien trouver un prolongement inattendu.Le passé récent du Japon et les atrocités commises au nom de la grandeur nationale, la musique vécue comme ce que l’humanité porte en elle de meilleur, la transmission du passé malgré les silences familiaux, l’amour de la langue française : dans ce roman à la fois émouvant et captivant,
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« Il semble que je vivrai et mourrai en prison pour avoir commis le crime de me marier avec mon amant, seulement parce qu’Elisabeth n’a pas pu épouser le sien. C’est le degré ultime de la jalousie. Qui amène à un destin funeste. Et je crains de ne trouver la délivrance que dans l’au-delà. Digne de ses aïeux, elle invoque la mort partout où elle passe. Sa sœur a tué ma sœur. Elle mettra fin à mes jours. Cela ne peut se terminer que dans la mort : la mienne ou la sienne. »
Jane, Catherine et Mary Grey sont trois sœurs qui ne souhaitent rien d’autre que profiter des beautés de ce monde, de leur jeunesse, et de trouver l’amour. Mais leur héritage royal fait d’elles des cibles aux yeux de leurs cousines : Marie et Élisabeth qui se partageront successivement la couronne d’Angleterre et redoutent plus que tout de la perdre. Chacune d’entre elles est cependant déterminée à prendre les rênes de leur propre destin pour être la dernière Tudor même si cela signifie risquer sa vie et vivre ses derniers instants à la Tour de Londres. Dans ce jeu de pouvoir, qui sera la dernière Tudor ?
Cinq héritières présomptives, cinq femmes pour perpétuer la lignée des Tudor.
Une lutte de pouvoir sans merci.
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Evidemment, je m’y attendais puisque j’en suis l’auteur mais… à ce point-là! Quelle vision, c’est à peine croyable… Son mari n’est plus que l’ombre de lui-même. Les vertèbres ont dû être salement touchées. Il doit maintenant peser dans les quarante-cinq kilos. Il est tassé dans son fauteuil, sa tête est maintenue à peu près droite par une minerve. Son regard est vitreux, son teint jaune comme un coing. Et il est tout à fait conscient. Pour un intellectuel, ça doit être terrible. Quand on pense que ce type n’a pas trente ans, on est effaré… Quant à elle, elle pousse le fauteuil avec une abnégation admirable. Elle est calme, son regard est droit. Je trouve sa démarche un peu mécanique mais il faut comprendre: cette fille a de gros soucis… En tout cas, elle ne tombe pas dans la vulgarité: pas d’attitude de bonne sœur ou d’infirmière martyre. Elle serre les dents et pousse le fauteuil, voilà tout. Elle doit pourtant réfléchir et se demander ce qu’elle va faire de ce légume. Moi aussi d’ailleurs.