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Le récit bouleversant d’une famille face à l’horreur du meurtre de deux jeunes étudiantes, le combat pour ne pas succomber à la haine et au désir de vengeance aveugle Un soir d’avril 1991, à la faible lueur de leurs briquets, deux sœurs, Julie et Robin Kerry, font découvrir à leur cousin Tom Cummins les poèmes…
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Enfant, Tara Westover n’a jamais fréquenté l’école, ni vu de médecins, ni même été déclarée à l’administration parce que son père, mormon, ne croyait ni en la Médecine officielle ni en l’école publique, orchestrée par le diable. Il attendait la Fin des temps. Alors que son père s’enferme dans ses convictions survivalistes et radicales et qu’un de ses frères cède à la violence, Tara décide à seize ans de prendre son destin en main et de s’éduquer toute seule. Sa détermination l’éloignera de ceux qu’elle aime et l’emmènera au-delà des océans, d’Harvard à Cambridge sans qu’elle ne cesse de s’interroger. Quel est le prix à payer quand la loyauté envers sa famille entre en conflit avec la loyauté envers soi-même ?
Une éducation est le récit d’une construction de soi et d’une rupture douloureuse. Forte de la lucidité propre aux grands auteurs, Tara Westover nous raconte comment elle est devenue adulte grâce à une éducation qui lui a appris à penser, à douter, tout en restant fidèle à elle-même.
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Les aventures extraordinaires d’une famille ordinaire
Chloé Berthoul habite la ville moyenne de Gabarny avec son compagnon, sa belle-fille et son fils. Seule petite folie dans son quotidien, le lundi elle se défoule au BMA, le club des Belles-Mères anonymes. La lassitude la guette, entre deux crises d’angoisse sur le réchauffement climatique. Comment reprendre sa vie en main quand le seul espace de liberté est de changer de fournisseur d’électricité ?
Soudain tout bascule avec la révélation d’un secret de famille. Chloé va devoir jongler entre un trésor perdu, des masculinistes hargneux, un plan pour la fin du monde, une grand-mère machiavélique et un lave-vaisselle qui ne se vide pas tout seul.
Une époque en or est l’histoire d’une famille ordinaire tout à fait géniale. Un roman qui déborde de vie, d’adrénaline et de paniers de linge sale.
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Reine mène une vie heureuse qu’elle partage entre son fils de dix-sept ans et un métier passionnant.
Une vie parfaite si elle n’était construite sur un mensonge qui, révélé, pourrait bien faire voler son bonheur en éclats…
Faut-il se délivrer du passé pour écrire l’avenir ?
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« Il n’était pas très grand ; des cheveux bruns, peignés en arrière et crantés, le front haut, une chemisette avec des pattes sur l’épaule. Il sourit en fumant. Puis tendit la main à Madeleine : Vous dansez ? Elle s’excusa : Non, je danse très peu, je ne danse pas bien. Mais il insista et il la tira vers la piste. » Quand Madeleine, beauté discrète et mélancolique des années cinquante, quitte sa Bretagne natale pour suivre son mari au Cameroun, elle se trouve plongée dans un monde étranger, violent et magnifique. À Douala, lors d’un bal à la Délégation, elle s’éprend d’Yves Prigent, mi-administrateur, mi-aventurier. Mais la décolonisation est en marche et annonce la fin de partie… Tendu entre la province d’après-guerre et une Afrique rêvée, Une façon d’aimer évoque la force de nos désirs secrets et la grâce de certaines rencontres. Par petites touches d’une infinie délicatesse, c’est toute l’épaisseur d’une vie de femme qui se dévoile.
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« Il n’était pas très grand ; des cheveux bruns, peignés en arrière et crantés, le front haut, une chemisette avec des pattes sur l’épaule. Il sourit en fumant. Puis tendit la main à Madeleine : Vous dansez ? Elle s’excusa : Non, je danse très peu, je ne danse pas bien. Mais il insista et il la tira vers la piste. » Quand Madeleine, beauté discrète et mélancolique des années cinquante, quitte sa Bretagne natale pour suivre son mari au Cameroun, elle se trouve plongée dans un monde étranger, violent et magnifique. À Douala, lors d’un bal à la Délégation, elle s’éprend d’Yves Prigent, mi-administrateur, mi-aventurier. Mais la décolonisation est en marche et annonce la fin de partie… Tendu entre la province d’après-guerre et une Afrique rêvée, Une façon d’aimer évoque la force de nos désirs secrets et la grâce de certaines rencontres. Par petites touches d’une infinie délicatesse, c’est toute l’épaisseur d’une vie de femme qui se dévoile.
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Une famille suédoise tout ce qu’il y a de normal, ces Sandell…
Le père, pasteur. La mère, avocate. Une fille de 19 ans, bosseuse, qui rêve de voyages au long cours.
Le samedi, on file au cinéma. Le dimanche, en forêt. Ils trient leurs déchets, n’oublient jamais leur clignotant, rendent toujours à temps leurs livres à la bibliothèque.
Normale en apparence, du moins, comme toutes les familles qu’un meurtre sordide s’apprête à faire basculer dans l’horreur…
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Pour la première fois, un livre nous révèle la vie extraordinaire de Camille Claudel. A la fin du siècle dernier, une jeune fille de dix-sept ans qui veut être sculpteur, c’est inconcevable, voire scandaleux. Or Camille se lance dans l’aventure à corps perdu. Jusqu’au jour de 1883 où elle rencontre Auguste Rodin. Le Maître accepte de la prendre comme élève ; bientôt il deviendra son amant. Suivent quinze années d’une liaison passionnée et orageuse d’où Camille sortira épuisée, vaincue… Elle mourra en 1943 à l’asile de Montdevergues, après un terrible internement qui aura duré trente ans, laissant au jugement de la postérité une oeuvre considérable, d’une rare puissance et d’une originalité visionnaire.
« Une femme » a obtenu le Grand Prix 1983 des lectrices de Elle.
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Sur le point de terminer son service militaire, le jeune Ofer accepte une dangereuse mission de vingt-huit jours en territoire palestinien. Comme pour conjurer le sort, sa mère décide de s’absenter durant cette période. Fuyant la nouvelle tant redoutée de sa mort, elle entreprend un long voyage en compagnie de son ami Avram. Tant qu’elle continuera à raconter à son ami la vie d’Ofer, tant que les messagers de l’armée ne parviendront pas jusqu’à eux, son fils sera sauf.
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En regardant la neige se poser sur les pierres d’un torrent, le jeune Haru Ueno pressent que sa vie va s’inscrire sous le signe de l’harmonie : rechercher, capter, servir et honorer la beauté des formes. Il quitte ses montagnes natales de Takayama, se passionne pour l’art, s’impose comme un marchand renommé. Aussi chaleureux qu’indépendant, toujours entouré d’amitié, Haru s’adonne pleinement au bonheur des rencontres, des fêtes au lendemain desquelles il est de retour dans sa maison dont le cœur abrite un érable et qu’entourent temples et jardins de Kyōto. De ce lieu rare, il a fait un havre. Il veut y passer une vie lumineuse, ignore combien elle sera empreinte de drames où, à la douleur du Japon, se mêle sa quête fervente des métamorphoses de la beauté. Haru a une trentaine d’années quand son destin lui en offre la plus belle manifestation – et à jamais l’en prive. Car quelque part en France, fruit d’une liaison éphémère, une petite fille est venue au monde. Elle s’appelle Rose. Il lui est interdit de l’approcher, bien qu’elle incarne désormais le secret, la vérité et probablement toute l’âme de son existence.
Depuis son premier roman, Muriel Barbery se confronte aux nuances de l’altérité. Aucun endroit, aucun paysage, aucun personnage ne pouvait lui offrir un tel territoire d’imaginaires et de sensibilités.
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Sur mon carnet bleu, j’ai écrit : « C’est l’histoire de trois femmes. Elles se sont aventurées au plus loin. Jusqu’au plus obscur, au plus dangereux, au plus dément. Ensemble, elles ont détruit le pavillon des cancéreuses pour élever une joyeuse citadelle. »
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« C’est l’histoire d’un fils qui part et d’une mère qui attend. C’est un amour maternel infini, aux portes de la folie. C’est l’attente du retour, d’un partage, et le rêve d’une fête insensée. C’est un couple qui se blesse et qui s’aime. C’est en Bretagne, entre la Seconde Guerre mondiale et les années soixante, et ce pourrait être ailleurs, partout où des femmes attendent ceux qui partent, partout où des mères s’inquiètent. » Une femme perd son mari, pêcheur, en mer, elle se remarie avec le pharmacien du village. Son fils, issu de sa première union, a du mal à s’intégrer dans cette nouvelle famille et finit par lui aussi prendre la mer. Commence alors pour la narratrice une longue attente qu’elle tentera, tant bien que mal, de combler par l’imagination du grand banquet qu’elle préparera pour son fils à son retour. Encore une fois, par son écriture sensible et sans faille, Gaëlle Josse nous entraîne dans les méandres de l’amour.
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Londres, 1982. Dans un monde qui ressemble à s’y méprendre au nôtre, quelques détails dissonent : les Beatles sont toujours au complet, les Anglais ont perdu la guerre des Malouines et le chercheur Alan Turing est encore en vie. Grâce à lui, les prouesses technologiques sont inouïes et les avancées scientifiques en matière d’intelligence artificielle fulgurantes. C’est ainsi que Charlie fait l’acquisition d’un « Adam » , un androïde doté de l’intelligence artificielle la plus perfectionnée qui soit. Adam ressemble beaucoup à un humain, sait faire la conversation, écrit des poèmes et proclame son amour pour Miranda, la compagne de Charlie. En dépit de la jalousie que cette déconcertante situation induit, le trio vit en bonne entente, insensible aux catastrophes économiques et sociales qui bouleversent l’Angleterre après l’assassinat du Premier ministre et la possibilité d’une sortie de l’Union européenne. Mais Adam et ses semblables ont été conçus pour respecter les règles et ne parviennent pas à accepter les imperfections du monde – notamment le mensonge. La situation va alors se compliquer au sein de cet inquiétant ménage à trois. Dans ce roman subtil et subversif, à l’humour noir et à la pertinence redoutable, Ian McEwan explore le danger de créer ce que l’on ne peut contrôler, et pose une question mélancolique : Si nous construisions une machine qui puisse lire dans nos coeurs, pourrions-nous vraiment espérer qu’elle aime ce qu’elle y trouve ?
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Les montagnes des Catskills, au nord de New York. Dans la douceur de l’été indien, un jeune homme se promène sur un pont lorsqu’une voiture se dirige droit sur lui et le percute.
Une maison cossue de la région nantaise. Au milieu de la nuit, Catherine reçoit l’appel d’un inconnu. Il lui apprend que son fils Alexis, vingt-huit ans, est dans le coma. Il a déjà pris deux billets pour New York et propose de venir la chercher. Qui est cet homme ? Que lui cache-t-il ?
Catherine et lui ne se connaissent pas mais ils n’ont plus le choix. Ils doivent se faire confiance. Le début d’un long voyage sur le chemin de la vérité. Au bout d’une nuit qui semble ne jamais vouloir finir.
» En phase avec son époque, Benoit d’Halluin impose son rythme et nous tient en joue de son intrigue. Une révélation. «
Pierre Vavasseur, Le Parisien
Avec Une nuit sans aube,Benoit d’Halluin livre un premier roman puissant sur les secrets de famille, l’acceptation de la différence et la difficulté d’aimer. Entre suspense et passion, une écriture d’une grande justesse qui raconte les désirs et les incertitudes d’aujourd’hui.
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Alors qu’elle a traversé la planète pour rejoindre le Japon, une femme franchit la cloison de verre de l’altérité et entre peu à peu dans l’agencement esthétique et spirituel des jardins et des temples de Kyôto. Jour après jour, guidée par celui qui fut l’assistant de son père disparu, ces promenades sont en elle autant de motifs à résonances, chambres d’échos, révélations minuscules puis essentielles de sa personnalité.
Ce roman des origines est un voyage, une géographie secrète, en même temps qu’une transposition poétique de l’énigme du sentiment amoureux.
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