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  • Les porteurs d'eau (Atiq Rahimi)

    Les porteurs d’eau (Atiq Rahimi)

    11 mars 2001 : les Talibans détruisent les deux Bouddhas de Bâmiyân, en Afghanistan. Le même jour basculent la vie d’un porteur d’eau à Kaboul et la vie d’un exilé afghan entre Paris et Amsterdam.

  • Les quatre saisons de l'été (Georges Delacourt)

    Les quatre saisons de l’été (Georges Delacourt)

    Cet été-là, Cabrel chantait Hors saison et tout le monde chantait Cabrel.
    Cet été-là, sur la plage du Touquet, les corps se dévoilaient, les cœurs s’emballaient.
    Cet été-là, sur les dunes immenses, se jouaient les destinées amoureuses de quatre couples, à l’âge des quatre saisons d’une vie.
    L’été est-il toujours fatal aux histoires d’amour ?

  • Les rêves de nos mères (Carine  Pitocchi)

    Les rêves de nos mères (Carine Pitocchi)

    Angleterre 1912, dans la tourmente qui s’annonce. Lady Julia Ashford, comtesse du prestigieux domaine de Longfield Park, vient de perdre son mari quand elle découvre qu’elle est enceinte de lui. Alors qu’elle tente de refaire surface, tenir son rang et survivre au deuil, la jeune veuve voit resurgir Will Murphy, son amour d’enfance, devenu un des chefs de la pègres londonienne. Une histoire que Julia ne peut pas se permettre de mêler à la sienne. Pas plus que celle d’Edna, son ancienne domestique qui ploie sous les coups de son mari violent. Et encore moins celle de sa cousine Emily revendiquant haut et fort son statut de femme libre pour qu’avance la cause suffragiste. La grande Histoire, celle qui précipite tout, va pourtant en décider autrement.

     » Tout nous fait vibrer dans ce roman ! L’ambiance à la Downton Abbey, les personnages attachants et le romantisme effréné.  » Maxi

  • Les rêveurs (Isabelle Carré)

    Les rêveurs (Isabelle Carré)

    «  On devrait trouver des moyens pour empêcher qu’un parfum s’épuise, demander un engagement au vendeur – certifiez-moi qu’il sera sur les rayons pour cinquante ou soixante ans, sinon retirez-le tout de suite. Faites-le pour moi et pour tous ceux qui, grâce à un flacon acheté dans un grand magasin, retrouvent l’odeur de leur mère, d’une maison, d’une époque bénie de leur vie, d’un premier amour ou, plus précieuse encore, quasi inaccessible, l’odeur de leur enfance…  »
    I. C.

    Quand l’enfance a pour décor les années 70, tout semble possible. Mais pour cette famille de rêveurs un peu déglinguée, formidablement touchante, le chemin de la liberté est périlleux. Isabelle Carré dit les couleurs acidulées de l’époque, la découverte du monde compliqué des adultes, leurs douloureuses métamorphoses, la force et la fragilité d’une jeune fille que le théâtre va révéler à elle-même. Une rare grâce d’écriture.

  • Les roches rouges (Olivier Adam)

    Les roches rouges (Olivier Adam)

    Il y a des vies comme des pièges. Des vies qui merdent.
    Un peu fragile, un peu bizarre, Antoine ne fait pas grand-chose de la sienne.
    Leila, jeune maman, vit sous la coupe d’un compagnon violent.
    Un instant échappé, ces deux-là se sont rencontrés au Pôle emploi – passage obligé de leur banlieue grisâtre. Est-ce de l’amour, qui naît entre les deux jeunes gens? Fuyant la brutalité de leur quotidien, les voilà sur les routes, direction le Sud, les calanques – ces roches rouges qui sont l’enfance d’Antoine, la possibilité d’un refuge, d’un bonheur possible, caché… Jusqu’à quand ? Peut-on si facilement échapper au passé ?

  • Les sacrifiés ( Sylvie Le Bihan)

    Les sacrifiés ( Sylvie Le Bihan)

    Un hommage passionné à une Espagne légendaire, entre histoire d’amour et vengeance.

    À l’âge de quinze ans, alors que la famine sévit dans son Andalousie natale, Juan Ortega quitte sa famille pour devenir le cuisinier d’Ignacio, un célèbre torero. Dans son sillage, à Madrid, New York et Paris, Juan se laisse happer par l’effervescence des années folles. Il croise la route du poète solaire Federico García Lorca et se consume d’amour pour Encarnación, danseuse de flamenco et amante d’Ignacio. Mais déjà la guerre gronde et apporte son cortège de tragédies.

    Les Sacrifiés est un roman d’apprentissage chatoyant qui dépeint la fabrique d’un héros et le prix de la gloire.

    « Magnifique. » ELLE

  • Les semeuses (Diane Wilson)

    Les semeuses (Diane Wilson)

    Minnesota, années 1970. Rosalie Iron Wing grandit dans les bois avec son père, qui lui raconte des histoires de plantes et d’étoiles issues de leurs origines dakhóta. Mais un jour, il ne rentre pas à la maison. Âgée de douze ans, Rosalie est confiée à une famille d’accueil blanche.

    Bien des années plus tard, Rosalie retourne sur les lieux de son enfance et renoue avec un passé enfoui et des traditions oubliées. Au fil des pages, son destin s’entremêle à celui de trois autres femmes dakhóta : Gaby, son amie d’adolescence ; Darlene Kills Deer, sa grand-tante ; et Mary Blackbird, chassée de ses terres dans les années 1860. Descendantes de lignées brisées par le colonialisme, ces quatre femmes à l’âme d’acier se révèlent liées par la culture des graines – un savoir-faire transmis de génération en génération. Car ces graines sont autant de promesses d’espoir et de vie renouvelées, malgré la misère, l’injustice et les deuils.

    Diane Wilson puise dans la mémoire blessée de ses ancêtres pour livrer le portrait sensible de personnages puissants et d’un peuple qui n’a jamais cessé de résister.

  • Les soleils ardents (Ninemon Failli)

    Les soleils ardents (Ninemon Failli)

    Iro a quitté son village pour poursuivre ses études à Abidjan. Ses amis, Thierry, Malick, Yeo et lui forment une bande joyeuse, ambitieuse, multipliant les petits boulots dans les rues d’Abjamé et les couloirs de la cité universitaire. De tous, Iro est le plus déterminé. Mais son père meurt au village et tout est bouleversé. Il doit faire face aux souvenirs de cet homme dont il ignore presque tout. Quelle vie a eu son père, quels rêves étaient les siens, à quoi a-t-il renoncé ? Ses certitudes s’effondrent, et des vérités nouvelles, plus complexes, apparaissent qui permettront à Iro et ses amis de tracer leur chemin et de trouver pour eux et leur famille une forme de réconciliation et de paix.
    Un roman magnifique qui vient questionner l’héritage des pères, l’ambition des fils, ces lignes de tension, de trahison et d’amour qui traversent les générations et relient les hommes. Un roman magnifique qui vient questionner l’héritage des pères, l’ambition des fils, la fracture entre les villages et leurs lois face aux libertés et aux solitudes des villes. Il est question de devoir, de transmission, de révolte et de retrouvailles, d’un jeune homme qui s’élève, s’émancipe, et dans le même temps se retrouve.

  • Les terres animales (Laurent Petitmangin)

    Les terres animales (Laurent Petitmangin)

    Il y avait là de petites villes avec leurs églises, quelques commerces, des champs, et au loin, la centrale. C’était un coin paisible entouré de montagnes et de forêts. Jusqu’à l’accident. Il a fallu évacuer, condamner la zone, fuir les radiations. Certains ont choisi de rester malgré tout. Trop de souvenirs les attachaient à ces lieux, ils n’auraient pas vraiment trouvé leur place ailleurs. Marc, Alessandro, Lorna, Sarah et Fred sont de ceux-là. Leur amitié leur permet de tenir bon, de se faire les témoins inutiles de ce désert humain à l’herbe grasse et à la terre empoisonnée. Rien ne devait les faire fléchir, les séparer. Il suffit pourtant d’une étincelle pour que renaisse la soif d’un avenir différent : un enfant bientôt sera parmi eux. Laurent Petitmangin, toujours aussi bouleversant d’humanité, nous raconte les souvenirs indélébiles, les instincts irrépressibles et la vie qui toujours impose sa loi au coeur de ces terres rendues au règne animal.

  • Les vertueux (Yasmina Khadra)

    Les vertueux (Yasmina Khadra)

    J’ai vécu ce que j’avais à vivre et aimé du mieux que j’ai pu. Si je n’ai pas eu de chance ou si je l’ai ratée d’un cheveu, si j’ai fauté quelque part sans faire exprès, si j’ai perdu toutes mes batailles, mes défaites ont du mérite – elles sont la preuve que je me suis battu.Algérie, 1914. Yacine Chéraga n’avait jamais quitté son douar lorsqu’il est envoyé en France se battre contre les « Boches ». De retour au pays après la guerre, d’autres aventures incroyables l’attendent. Traqué, malmené par le sort, il n’aura, pour faire face à l’adversité, que la pureté de son amour et son indéfectible humanité.Les Vertueux est un roman majeur, la plus impressionnante des oeuvres de Yasmina Khadra.

  • Les vivants ( Ambre Chalumeau)

    Les vivants ( Ambre Chalumeau)

    « Elle demande de répéter.
    On demande toujours de répéter, alors qu’en fait on a très bien entendu.
    Quelque part dans notre crâne, un globule blanc se lève et pète du coude la vitre à ne casser qu’en cas d’urgence, celle qu’on pensait ne jamais avoir à briser : on sait qu’on devrait déclencher un protocole spécial pour accueillir la nouvelle, sauf que personne n’a été briefé, les stagiaires sont incapables, en plus on est samedi soir les bureaux sont déserts, y’a bien les anciens qui sauraient quoi faire, les vieux neurones du fond là, paniqués en permanence, ils nous ont dit qu’un jour ça pouvait arriver mais on les écoute plus ils radotent tellement, et maintenant qu’on a besoin d’eux putain ils sont où ?
    Et aussi simplement que ça, une nuit comme les autres devient un Début. »

    Histoire du passage à l’âge adulte, histoire d’émotions contraires, Les Vivants est un premier roman à la sincérité désarmante où le drame et la comédie nous illuminent à chaque page.

  • Les yeux de Mona (Thomas Schlesser)

    Les yeux de Mona (Thomas Schlesser)

    C’est le temps que s’est donné son grand-père, un homme érudit et fantasque, pour l’initier, chaque mercredi après l’école, à une oeuvre d’art, avant qu’elle ne perde, peut-être pour toujours, l’usage de ses yeux.

    Ensemble, ils vont sillonner le Louvre, Orsay et Beaubourg.

    Ensemble, ils vont s’émerveiller, s’émouvoir, s’interroger, happés par le spectacle d’un tableau ou d’une sculpture. Empruntant les regards de Botticelli, Vermeer, Goya, Courbet, Claudel, Kahlo ou Basquiat, Mona découvre le pouvoir de l’art et apprend le don, le doute, la mélancolie ou la révolte, un précieux trésor que son grand-père souhaite inscrire en elle

  • Lettre d'une inconnue (Stefan zweig)

    Lettre d’une inconnue (Stefan zweig)

    Un écrivain viennois apprend en lisant son courrier qu’une femme l’aime en secret d’un amour absolu depuis des années… Une nuit, un voyageur rencontre dans un bar un homme autrefois dominateur, aujourd’hui humilié par une fille à matelots… Ces deux nouvelles publiées en 1922 témoignent de l’art de Stefan Zweig pour dépeindre les tourments de l’amour non partagé, la passion qui brûle les cœurs et détruit les vies…
  • Leurs enfants malgré eux (Nicolas Mathieu )

    Leurs enfants malgré eux (Nicolas Mathieu )

    Août 1992. Une vallée perdue quelque part dans l’Est, des hauts-fourneaux qui ne brûlent plus, un lac, un après-midi de canicule. Anthony a quatorze ans, et avec son cousin, pour tuer l’ennui, il décide de voler un canoë et d’aller voir ce qui se passe de l’autre côté, sur la fameuse plage des culs-nus. Au bout, ce sera pour Anthony le premier amour, le premier été, celui qui décide de toute la suite. Ce sera le drame de la vie qui commence. Avec ce livre, Nicolas Mathieu écrit le roman d’une vallée, d’une époque, de l’adolescence, le récit politique d’une jeunesse qui doit trouver sa voie dans un monde qui meurt. Quatre étés, quatre moments, de Smells Like Teen Spirit à la Coupe du monde 98, pour raconter des vies à toute vitesse dans cette France de l’entre-deux, des villes moyennes et des zones pavillonnaires, de la cambrousse et des ZAC bétonnées. La France du Picon et de Johnny Hallyday, des fêtes foraines et d’Intervilles, des hommes usés au travail et des amoureuses fanées à vingt ans. Un pays loin des comptoirs de la mondialisation, pris entre la nostalgie et le déclin, la décence et la rage.

  • Liberata (Gaël Reitano)

    Liberata (Gaël Reitano)

    New Jersey, pendant la Grande dépression. Une jeune immigrée italienne lutte pour son autonomie et sa liberté.New Jersey, Grande Dépression. À la mort de sa mère, immigrée italienne, Marie Genovese se retrouve à la tête d’un magasin au bord de la faillite. Impossible de compter sur ses frères, qui se laissent embrigader par ceux qui prêtent allégeance, depuis l’Amérique, à Mussolini. Alors, pour arrondir les fins de mois, elle s’improvise pâtissière et voit ses gâteaux connaître un succès grandissant.
    Car Marie ne veut dépendre de personne. N’aimer qu’à son gré, même hors mariage et hors de sa condition… Insoumise, amoureuse, elle tient bon. Dans cette société où le poids des traditions pèse encore lourd, le chemin sera long pour parvenir à l’émancipation…

  • Libre d'aimer (Olivier Merle)

    Libre d’aimer (Olivier Merle)

    Juillet 1942. Elle s’appelle Esther, elle a vingt ans, elle est juive.
    Ses parents ont été arrêtés, elle erre dans les rues de Paris, perdue et terrifiée. Alors qu’elle se repose sur un banc, son regard croise celui d’une femme élégante, plus âgée, qui fume de longues cigarettes à la terrasse d’un café.
    Esther ne le sait pas encore mais sa rencontre avec Thérèse Dorval, l’épouse d’un homme cynique et violent qui collabore avec les Allemands, va bouleverser sa vie.
    Naissance d’un désir irrésistible et interdit, en pleine tragédie, entre deux femmes emportées par le feu de la passion.
    À Dinard, où elles se réfugient, elles devront décider de leur destin : se séparer pour tenter de survivre ou accepter de mourir par amour.

     » Un superbe roman sur l’amour interdit entre deux femmes sous l’Occupation. Poignant.  » Femme actuelle