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  • Les lions de Sicile (Stéfania Auci)

    1799. Paolo et Ignazio Florio quittent leur Calabre natale pour s’installer à Palerme. Passionnés, ambitieux mais pauvres et de modeste origine, les deux frères et leur famille n’aspirent qu’à une chose : se hisser parmi les puissants de la ville. C’est sans compter le mépris des palermitains qui voient d’un mauvais œil ces étrangers dont « le sang pue la sueur ». À force d’obstination et de volonté, les Florio, en se lançant dans le commerce d’épices, se frayent un chemin qui, un jour peut-être, leur donnera un empire. Mais leur réussite ne les protège pas de drames plus intimes, car Paolo et Ignazio, pourtant unis comme les cinq doigts de la main, aiment la même femme…

  • Les loyautés (Delphine de Vigan)

    «  Chacun de nous abrite-t-il quelque chose d’innommable susceptible de se révéler un jour, comme une encre sale, antipathique, se révelerait sous la chaleur de la flamme ? Chacun de nous dissimule-t-il en lui-même ce démon silencieux capable de mener, pendant des années, une existence de dupe ? »

  • Les matins bleus (Jean – Marie Laclavetine)

    Un matin de mai, salle des pas perdus. Depuis sa nacelle suspendue à l’armature de l’immense verrière qui surplombe la gare, un peintre observe l’humanité en marche. Il y a là beaucoup d’histoires qui attendaient d’être racontées, de drames grands et petits, de bonheurs fugitifs, de cœurs qui battent, beaucoup de vies qu’un hasard espiègle va entrechoquer… Attention au départ !

  • Les merveilles ( Viola Ardone)

    Elba porte le nom d’un fleuve : c’est sa mère qui l’a choisi. Seuls les fleuves circulent librement, lui disait-elle, avant de disparaître mystérieusement. Depuis, Elba grandit seule dans cet endroit qu’elle nomme le monde-à-moitié : un asile psychiatrique, à Naples.

    C’est là qu’elle pose son regard d’enfant, sur le quotidien de cette « maison des fêlés, avec dedans plein de gens qui ressemblent à des félins », nourrissant de ses observations son Journal des maladies du mental. Jusqu’au jour où le jeune docteur Fausto Meraviglia décide de libérer les patients, comme le prévoit une loi votée quelques années plus tôt en 1978, et de prendre Elba sous son aile. Lui qui n’a jamais été un bon père apprend le poids et la force de la paternité.

    Après le succès du Train des enfants et du Choix, Viola Ardone poursuit son exploration de l’Italie du xxe siècle. Une ode aux mots qui rendent libre et au pouvoir des femmes, par l’une des grandes voix de la littérature italienne d’aujourd’hui.

  • Les mots nus (Rouda)

    «Je m’appelle Ben. Une seule syllabe qui en appelle d’autres. Tous mes potes m’appellent Benji. Ma mère m’appelle chéri. Mon père m’appelle rarement. J’ai 14 ans et le quotidien monotone d’un collégien de banlieue. Les cours, quelques galères, et beaucoup d’ennui. Rien d’exceptionnel. Je suis plutôt petit pour mon âge, je n’ai d’envergure que dans mes rêves. Mon corps menu devient celui d’un géant lorsqu’il se pose dans l’Odysseus aux côtés d’Ulysse 31. Rien ne me destine à devenir le leader de la révolution qui va demain embraser la France.»

     

    Entre Belleville et la Brousse, Ben cherche sa place. Il traverse les années 90, les bouleversements du monde et les luttes sociales qui secouent le pays. Un roman combatif et mordant sur les clivages et les failles de notre société, tendre et poétique sur les amitiés indéfectibles et l’amour pour toujours.

  • Les orageuses (Marcia Burnier)

    Après le succès de l’édition grand format (près de 4000 exemplaires vendus), parution en poche du premier roman de la collection Sorcières, véritable ode à la sororité d’un groupe de filles ayant toutes subi un viol, qui se regroupent pour se faire justice elles-mêmes. Salvateur et libérateur.

  • Les os des filles ( Line Papin)

    « Tu avais dix-sept ans alors, à peine, et tu as pris l’avion, seule, pour retourner à Hanoï. Tu vois, j’en ai vingt-trois aujourd’hui, et je retourne, seule, une nouvelle fois, sur les lieux de ton enfance. Tu es revenue et je reviens encore, chaque fois derrière toi. Je reviendrai peut-être toujours te trouver, trouver celle qui naissait, celle qui mourait, celle qui se cherchait, celle qui écrivait, celle qui revenait. Je reviendrai peut-être toujours vers celle qui revenait, vers les différents coffrets d’os, vers les couches de passé qui passent toutes ici. »

  • Texte indicatif

    Les oubliés du dimanche (Valérie Perrin)

  • Les oubliés du dimanche (Valérie Perrin)

    Justine, vingt et un ans, vit chez ses grands-parents avec son cousin Jules depuis la mort de leurs parents respectifs dans un accident. Justine est aide-soignante aux Hortensias, une maison de retraite, et aime par-dessus tout les personnes âgées. Notamment Hélène, centenaire, qui a toujours rêvé d’apprendre à lire. Les deux femmes se lient d’amitié, s’écoutent, se révèlent l’une à l’autre. Grâce à la résidente, Justine va peu à peu affronter les secrets de sa propre histoire. Un jour, un mystérieux « corbeau » sème le trouble dans la maison de retraite et fait une terrible révélation.
    À la fois drôle et mélancolique,  un roman d’amours passées, présentes, inavouées… éblouissantes.

  • Les passants de Lisbonne (Philippe Besson)

     » On ne renonce jamais vraiment, on a besoin de croire que tout n’est pas perdu, on se rattache à un fil, même le plus ténu, même le plus fragile. On se répète que l’autre va finir par revenir. On l’attend. On se déteste d’attendre mais c’est moins pénible que l’abandon, que la résignation totale. Voilà : on attend quelqu’un qui ne reviendra probablement pas.  »
    Hélène a vu en direct à la télévision les images d’un tremblement de terre dévastateur dans une ville lointaine ; son mari séjournait là-bas, à ce moment précis.
    Mathieu, quant à lui, a trouvé un jour dans un appartement vide une lettre de rupture.
    Ces deux-là, qui ne se connaissent pas, vont se rencontrer par hasard à Lisbonne. Et se parler.
    Une seule question les taraude : comment affronter la disparition de l’être aimé ? Et le manque ?
    Au fil de leurs déambulations dans cette ville mélancolique, dont la fameuse saudade imprègne chacune des ruelles tortueuses, ne cherchent-ils pas à panser leurs blessures et à s’intéresser, de nouveau, aux vivants ?

  • Les porteurs d’eau (Atiq Rahimi)

    11 mars 2001 : les Talibans détruisent les deux Bouddhas de Bâmiyân, en Afghanistan. Le même jour basculent la vie d’un porteur d’eau à Kaboul et la vie d’un exilé afghan entre Paris et Amsterdam.

  • Les quatre saisons de l’été (Georges Delacourt)

    Cet été-là, Cabrel chantait Hors saison et tout le monde chantait Cabrel.
    Cet été-là, sur la plage du Touquet, les corps se dévoilaient, les cœurs s’emballaient.
    Cet été-là, sur les dunes immenses, se jouaient les destinées amoureuses de quatre couples, à l’âge des quatre saisons d’une vie.
    L’été est-il toujours fatal aux histoires d’amour ?

  • Les rêves de nos mères (Carine Pitocchi)

    Angleterre 1912, dans la tourmente qui s’annonce. Lady Julia Ashford, comtesse du prestigieux domaine de Longfield Park, vient de perdre son mari quand elle découvre qu’elle est enceinte de lui. Alors qu’elle tente de refaire surface, tenir son rang et survivre au deuil, la jeune veuve voit resurgir Will Murphy, son amour d’enfance, devenu un des chefs de la pègres londonienne. Une histoire que Julia ne peut pas se permettre de mêler à la sienne. Pas plus que celle d’Edna, son ancienne domestique qui ploie sous les coups de son mari violent. Et encore moins celle de sa cousine Emily revendiquant haut et fort son statut de femme libre pour qu’avance la cause suffragiste. La grande Histoire, celle qui précipite tout, va pourtant en décider autrement.

     » Tout nous fait vibrer dans ce roman ! L’ambiance à la Downton Abbey, les personnages attachants et le romantisme effréné.  » Maxi

  • Les rêveurs (Isabelle Carré)

    «  On devrait trouver des moyens pour empêcher qu’un parfum s’épuise, demander un engagement au vendeur – certifiez-moi qu’il sera sur les rayons pour cinquante ou soixante ans, sinon retirez-le tout de suite. Faites-le pour moi et pour tous ceux qui, grâce à un flacon acheté dans un grand magasin, retrouvent l’odeur de leur mère, d’une maison, d’une époque bénie de leur vie, d’un premier amour ou, plus précieuse encore, quasi inaccessible, l’odeur de leur enfance…  »
    I. C.

    Quand l’enfance a pour décor les années 70, tout semble possible. Mais pour cette famille de rêveurs un peu déglinguée, formidablement touchante, le chemin de la liberté est périlleux. Isabelle Carré dit les couleurs acidulées de l’époque, la découverte du monde compliqué des adultes, leurs douloureuses métamorphoses, la force et la fragilité d’une jeune fille que le théâtre va révéler à elle-même. Une rare grâce d’écriture.

  • Les roches rouges (Olivier Adam)

    Il y a des vies comme des pièges. Des vies qui merdent.
    Un peu fragile, un peu bizarre, Antoine ne fait pas grand-chose de la sienne.
    Leila, jeune maman, vit sous la coupe d’un compagnon violent.
    Un instant échappé, ces deux-là se sont rencontrés au Pôle emploi – passage obligé de leur banlieue grisâtre. Est-ce de l’amour, qui naît entre les deux jeunes gens? Fuyant la brutalité de leur quotidien, les voilà sur les routes, direction le Sud, les calanques – ces roches rouges qui sont l’enfance d’Antoine, la possibilité d’un refuge, d’un bonheur possible, caché… Jusqu’à quand ? Peut-on si facilement échapper au passé ?

  • Les sacrifiés ( Sylvie Le Bihan)

    Un hommage passionné à une Espagne légendaire, entre histoire d’amour et vengeance.

    À l’âge de quinze ans, alors que la famine sévit dans son Andalousie natale, Juan Ortega quitte sa famille pour devenir le cuisinier d’Ignacio, un célèbre torero. Dans son sillage, à Madrid, New York et Paris, Juan se laisse happer par l’effervescence des années folles. Il croise la route du poète solaire Federico García Lorca et se consume d’amour pour Encarnación, danseuse de flamenco et amante d’Ignacio. Mais déjà la guerre gronde et apporte son cortège de tragédies.

    Les Sacrifiés est un roman d’apprentissage chatoyant qui dépeint la fabrique d’un héros et le prix de la gloire.

    « Magnifique. » ELLE