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  • Le temps est assassin (Michel Bussi)

    Été 1989. La Corse, presqu’île de la Revellata, entre mer et montagne. Sur cette route de corniche, au-dessus d’un ravin de vingt mètres, une voiture roule trop vite et bascule dans le vide. Une seule survivante : Clotilde, quinze ans. Ses parents et son frère n’ont pas eu la même chance.
    Été 2016. Clotilde revient pour la première fois sur les lieux du drame, accompagnée de son mari et de sa fille adolescente. Elle veut profiter de ces vacances pour exorciser le passé. C’est au camping dans lequel elle a vécu son dernier été avec ses parents que l’attend une lettre… de sa mère. Vivante ?

  • Le train des enfants (Viola Ardone)

    Naples, 1946. Amerigo quitte son quartier pour monter dans un train. Avec des milliers d’autres enfants du Sud, il traversera toute la péninsule et passera quelques mois dans une famille du Nord : une initiative du parti communiste vouée à arracher les plus jeunes à la misère après le dernier conflit mondial. Loin de ses…

  • Le vieux qui aimait les romans d’amour ( Luis Sepulveda)

    Antonio José Bolivar connaît les profondeurs de la forêt amazonienne et ses habitants, le noble peuple des Shuars. Lorsque les villageois d’El Idilio les accusent à tort du meurtre d’un chasseur blanc, le vieil homme se révolte. Obligé de quitter ses romans d’amour – seule échappatoire à la barbarie des hommes – pour chasser le vrai coupable, une panthère majestueuse, il replonge dans le charme hypnotique de la forêt.

  • Le vieux qui déjeunait seul (Léa Wiazemsky)

    Tous les lundis à midi et demi, elle le voit s’installer à la table 10 et commander son bœuf-carottes, derrière ses verres fumés. Qui est donc ce vieil homme pour lequel Clara, la serveuse, sent d’emblée une tendresse infinie ? Leurs deux solitudes, silencieuses et meurtries, se sont déjà reconnues. Elle, étouffée par une histoire qui la hante, lui, prisonnier d’un passé qui l’isole, s’échangeront les mots qu’il faut, les pardons qu’ils attendent, le plaisir de l’instant – une amitié pour la vie et le bonheur en héritage…

  • Le voile de Téhéran (Parinoush Sanice)

    Massoumeh a 16 ans, et un rêve : poursuivre ses études. Sur le chemin du lycée, elle rencontre Saiid, avec lequel elle partagera un amour innocent… mais ses frères les découvrent. Battue par sa famille, elle est mariée de force à Hamid, de 14 ans son aîné. Par chance, il la respecte et l’encourage à se libérer de la tyrannie et de la tradition. Mais entre la chute du shah, la montée de l’intégrisme religieux et la guerre, le couple est rattrapé par l’histoire mouvementée de son pays.

  • Le vol des aigrettes (Sue Monk Kidd)

    A une époque de ma vie où j’étais avant tout l’épouse de Hugh et la mère de Dee, l’une de ces femmes pas ambiguës pour deux sous, n’ayant aucune envie de troubler l’ordre du monde, je suis tombée amoureuse d’un moine bénédictin… Ainsi commence l’histoire de Jessie, qui voit sa vie bouleversée à quarante-deux ans, en retournant sur l’île de son enfance, au large de la Caroline du Sud. Après Le Secret des abeilles, son incroyable best-seller qui s’est vendu à plus de cinq millions d’exemplaires aux États-Unis, Sue Monk Kidd décrit dans ce beau roman les désirs d’une femme qui doute, nous révélant ainsi le véritable sens de l’amour, la tentation du risque, et le pouvoir du pardon.

  • Les 7 mariages d’Edgar et de Ludmila (Jean-Christophe Rufin)

    « Sept fois ils se sont dit oui. Dans des consulats obscurs, des mairies de quartier, des grandes cathédrales ou des chapelles du bout du monde. Tantôt pieds nus, tantôt en grand équipage. Il leur est même arrivé d’oublier les alliances. Sept fois, ils se sont engagés. Et six fois, l’éloignement, la séparation, le divorce…

    Edgar et Ludmilla… Le mariage sans fin d’un aventurier charmeur, un brin escroc, et d’une exilée un peu « perchée », devenue une sublime cantatrice acclamée sur toutes les scènes d’opéra du monde. Pour eux, c’était en somme : « ni avec toi, ni sans toi ». À cause de cette impossibilité, ils ont inventé une autre manière de s’aimer. Pour tenter de percer leur mystère, je les ai suivis partout, de Russie jusqu’en Amérique, du Maroc à l’Afrique du Sud. J’ai consulté les archives et reconstitué les étapes de leur vie pendant un demi-siècle palpitant, de l’après-guerre jusqu’aux années 2000. Surtout, je suis le seul à avoir recueilli leurs confidences, au point de savoir à peu près tout sur eux. Parfois, je me demande même s’ils existeraient sans moi. »

    Jean-Christophe Rufin

  • Les abeilles grises (AndreÏ Kourkov)

    Dans un petit village abandonné de la «zone grise», coincé entre armée ukrainienne et séparatistes prorusses, vivent deux laissés-pour-compte: Sergueïtch et Pachka. Désormais seuls habitants de ce no man’s land, ces ennemis d’enfance sont obligés de coopérer pour ne pas sombrer, et cela malgré des points de vue divergents vis-à-vis du conflit. Aux conditions de vie rudimentaires s’ajoute la monotonie des journées d’hiver, animées, pour Sergueïtch, de rêves visionnaires et de souvenirs. Apiculteur dévoué, il croit au pouvoir bénéfique de ses abeilles qui autrefois attirait des clients venus de loin pour dormir sur ses ruches lors de séances d’«apithe¿rapie». Le printemps venu, Sergueïtch décide de leur chercher un endroit plus calme. Ayant chargé ses six ruches sur la remorque de sa vieille Tchetviorka, le voilà qui part a¿ l’aventure. Mais même au milieu des douces prairies fleuries de l’Ukraine de l’ouest et du silence des montagnes de Crimée, l’œil de Moscou reste grand ouvert…

  • Les abeilles grises (Andreï Kurkov)

    Dans un petit village abandonné de la «zone grise», coincé entre armée ukrainienne et séparatistes prorusses, vivent deux laissés-pour-compte: Sergueïtch et Pachka. Désormais seuls habitants de ce no man’s land, ces ennemis d’enfance sont obligés de coopérer pour ne pas sombrer, et cela malgré des points de vue divergents vis-à-vis du conflit. Aux conditions de vie rudimentaires s’ajoute la monotonie des journées d’hiver, animées, pour Sergueïtch, de rêves visionnaires et de souvenirs. Apiculteur dévoué, il croit au pouvoir bénéfique de ses abeilles qui autrefois attirait des clients venus de loin pour dormir sur ses ruches lors de séances d’«apithe¿rapie». Le printemps venu, Sergueïtch décide de leur chercher un endroit plus calme. Ayant chargé ses six ruches sur la remorque de sa vieille Tchetviorka, le voilà qui part a¿ l’aventure. Mais même au milieu des douces prairies fleuries de l’Ukraine de l’ouest et du silence des montagnes de Crimée, l’œil de Moscou reste grand ouvert…

  • Les aérostats (Amélie Nothomb

    Dans ce nouveau livre, la romancière se raconte à travers le personnage d’une étudiante bruxelloise. Les aérostats sont des aéronefs dont la sustentation est due à un gaz plus léger que l’air. Elle nous emmène pour la première fois dans son pays natal. Ange, 19 ans « mène une vie assez banale » et étudie la philologie. Après avoir répondu à une petite annonce, elle donne des cours de littérature à Pi, un lycéen de 16 ans dyslexique. La romancière souhaitait avec cette rencontre explorer comment deux « très jeunes gens, qui sont chacun à leur manière, très emprisonnés » peuvent s’aider à avancer. « Ange c’est moi à 19 ans » avoue Amélie Nothomb, qui confie avoir également été, au même âge, « terriblement sérieuse » comme son héroïne. « Elle a beaucoup de points communs avec moi » insiste-t-elle, en pointant notamment les études et les difficultés de la jeune femme à rencontrer des amis. Son dernier roman, Soif 9782226443885 , « le roman de sa vie » comme elle le qualifie elle-même, publié l’an dernier, avait été finaliste du Goncourt. Ce fut aussi l’une des meilleures ventes de sa carrière avec 280000 exemplaires écoulés, soit l’un des livres les plus vendus de la dernière rentrée littéraire. Amélie Nothomb est notamment lauréate du Grand prix du roman de l’Académie française en 1999 pour Stupeur et Tremblements et du Prix de Flore en 2007 pour Ni d’Eve, ni d’Adam

  • Les ailes collées ( Sophie de Baere)

    « Sa poésie à Paul, c’était Joseph. Et Joseph n’était plus là. »

    Suis-je passé à côté de ma vie ? C’est la question qui frappe Paul lorsque, le jour de son mariage, il retrouve Joseph, un ami perdu de vue depuis vingt ans. Et c’est l’été 1983 qui ressurgit soudain. Celui des débuts flamboyants et des premiers renoncements. Avant que la violence des autres fonde sur lui et bouleverse à jamais son existence et celle des siens.

    Roman incandescent sur la complexité et la force des liens filiaux et amoureux, Les Ailes collées explore, avec une sensibilité rare, ce qui aurait pu être et ce qui pourrait renaître.

  • Les amants de Casablanca (Tahar Ben Jelloun)

    « Ils avaient regardé ensemble Scènes de la vie conjugale d’Ingmar Bergman. Ils étaient jeunes et amoureux. Très amoureux. Ils avaient trouvé ce film fort et désespéré. Ils venaient juste de se marier et, leurs études terminées, chacun entrait dans la vie active. Lui comme médecin pédiatre, elle, pharmacienne. Ce fut son père qui lui acheta la pharmacie Derb Ghellef dans un des quartiers les plus vivants du centre-ville, dans la médina de Casablanca. Lui reprit le cabinet de son oncle qui avait une clientèle fidèle. La vie était facile, le ciel d’un bleu limpide et la paix régnait sur leur monde.Ils avaient ri à la fin du film, convaincus que cela ne leur arriverait jamais. »Casablanca, 2016. Nabile et Lamia forment un couple solide depuis plus de dix ans. Jusqu’au jour où elle s’éprend de Daniel, un homme à la réputation sulfureuse. Six mois plus tard, elle demande le divorce…Quel avenir pour une femme ambitieuse dans un monde patriarcal où la liberté se paie au prix fort ? Entre fresque sociale et roman psychologique, Les amants de Casablanca, magnifique histoire d’amour, explore la grande aventure du mariage, les oscillations du désir, les petits arrangements avec la religion et la capacité de l’être humain à embrasser ses contradictions.

  • Les âmes féroces ( Marie Vingtras)

    « Ici, la nuit est belle. (…) Leo avance de tache de lumière en tache de lumière et entre les deux, elle disparaît presque entièrement. Elle est alors exactement ce qu’elle paraît être : la fille qui glisse le long des murs, calme, discrète. La fille qui s’efface, la fille qu’on oublie. »

     

    Leo n’est pas rentrée et le printemps s’entête dans sa douceur. Leo ne reviendra pas. La shérif Lauren Hobler découvre son corps au milieu des iris sauvages. Autour de la mort soudaine d’une jeune fille, Les Âmes féroces tisse plusieurs destinées. Pour élucider un mystère, mais lequel ? Celui de Leo, peut-être, et de ses silences. Celui de Lauren, coincée dans une petite ville qui ne la prend pas au sérieux. Il y a aussi Benjamin, Seth et les autres… Les gens de Mercy, qui pensent tous se connaître et en savent si peu sur eux-mêmes.

     

    Envoûtant, surprenant et d’une grande ampleur romanesque, Les Âmes féroces traque la part d’ombre de chacun.

  • Les bleus étaient verts (Alain Jaspard)

    Max ne suivra pas son père six cents mètres sous terre. La mine, très peu pour lui. À vingt ans, Max rêve d’ailleurs. Alors en 1961, quand il embarque pour l’Algérie, il se dit qu’au moins, là-bas, il y aura le soleil et la mer. Il ne sera pas déçu.
    Pour l’aspirant au 11è bataillon de chasseurs alpins, le poste frontière algéro-tunisien relèverait presque de la sinécure. D’autant qu’il rencontre Leïla, une jeune infirmière Berbère dont il tombe fou amoureux. Tant pis pour sa fiancée sténo à Saint-Étienne.
    Mais à l’approche du cessez-le-feu, les tensions s’exacerbent, l’ennemi d’hier devient le nouvel allié et Max essaie de garder la face dans ce merdier. Saleté de guerre…

  • Les bourgeois (Alice Ferney)

    Ils sont Bourgeois de père en fils parce que c’est (aussi) leur patronyme. De la Première Guerre mondiale à nos jours, Alice Ferney explore les destinées des enfants de cette famille conservatrice, leurs aspirations et leurs engagements. Ils partagent des valeurs, le sens du devoir, ont fait carrière dans l’armée ou dans la marine, se sont voués aux affaires, à la médecine, au barreau… – acteurs de l’histoire nationale et de la légende de leur lignée. Par leur entremise, Alice Ferney revisite les grandes ou déshonorantes heures de notre passé : tout un siècle français passé au tamis du roman familial.

  • Les cerfs- volants de Kaboul (Khaled Hossini)

    Kaboul, dans les années 70. Bien que frères de lait et élevés au sein de la même propriété, Amir et Hassan ont grandi dans des mondes différents : le premier est le fils d’un riche commerçant, membre de l’élite pachtoune du pays, le second est fils de leur serviteur, issu de la minorité ethnique des Hazaras, méprisée de tous. Inséparables, liés par une même passion pour les cerfs-volants, les deux enfants se vouent une amitié indéfectible. Mais l’été de ses treize ans, alors qu’il désespère de gagner l’affection d’un père qu’il vénère et redoute à la fois, Amir commet la pire des trahisons : lors du combat de cerfs-volants organisé comme chaque hiver dans leur quartier, Amir abandonne Hassan à un sort tragique. Lorsque les Soviétiques envahissent le pays et qu’il fuit en Californie avec son père, Amir pense qu’une nouvelle vie s’ouvre à lui. Mais le souvenir d’Hassan le poursuit partout. Été 2001. Réfugié depuis plusieurs années aux États-Unis, Amir reçoit un appel du Pakistan. Il existe un moyen de te racheter, lui annonce la voix au bout du fil. Mais ce moyen passe par une plongée au cœur de l’Afghanistan des talibans… et de son propre passé.