Affichage de 65–80 sur 113 résultats

  • Le pays de la liberté (Ken Follet)

    Entre le jeune Mack, condamné à un quasi-esclavage dans les mines de charbon des Jamisson, et l’anti- conformiste Lizzie, épouse déçue d’un des fils du maître, il n’a fallu que quelques regards et rencontres furtives pour faire naître l’attirance des cours.Mais dans la société anglaise du XVIIIe siècle, encore féodale malgré les idées neuves de ses philosophes, l’un et l’autre n’ont de choix qu’entre la soumission et la révolte. Rebelle, fugitif, repris et condamné, Mack ne reverra Lizzie que dans la plantation de Virginie où on l’a déporté pour le travail forcé. Alors seulement ils comprendront que le bonheur se gagne en forçant le destin. Des crassiers de l’Ecosse aux docks de la Tamise, de l’Amérique esclavagiste aux premières incursions vers l’Ouest encore vierge, l’auteur des Piliers de la Terre nous entraîne ici dans une superbe épopée où la passion amoureuse se confond avec l’aspiration de toute une époque à la liberté et à la justice.

  • Le pays du nuage blanc (Sarah Lark)

    Londres, 1852. Hélène, préceptrice, décide de répondre à cette annonce et de tenter l’aventure. Sur le bateau qui la mène au Pays du nuage blanc, elle fait la connaissance de Gyneira, une aristocrate désargentée promise à l’héritier d’un magnat de la laine. Ni l’une ni l’autre ne connaissent leur futur époux. Une nouvelle vie – pleine d’imprévus – commence pour les deux jeunes femmes, qu’une amitié indéfectible lie désormais…Cette saga portée par un puissant souffle romanesque révèle le talent d’un nouvel auteur, dans la grande tradition de Colleen McCullough et de Tamara McKinley.

  • Le péché des anges (Charlotte Link)

    Max et Mario, frères à la beauté angélique, sont absolument identiques – seule Janet, leur mère, parvient à les distinguer. Quand l’un des deux, atteint de troubles psychiatriques, doit être interné, Janet prend une terrible décision afin de protéger sa famille… Des années plus tard, lorsque Mario annonce qu’il part en vacances seul dans le sud de la France, Maximilian panique et décide de s’échapper de l’hôpital… Pourquoi cette soudaine décision ? Qu’arrivera-t-il une fois les deux frères réunis ?

  • Le portrait de mariage (Maggie O’Farrel)

    Après Hamnet, Maggie O’Farrell nous entraîne dans la Renaissance italienne pour redonner vie à une femme libre, rebelle, incomprise. Portée par une écriture d’une beauté inouïe, une œuvre lumineuse et poignante.

    C’est un grand jour à Ferrare. On y célèbre les noces du duc Alfonso et de Lucrèce de Médicis. La fête est extravagante et la foule n’a d’yeux que pour le couple.

    La mariée a quinze ans.

    Rien ne l’avait préparée à ce rôle. Elle n’était que la troisième fille du grand duc de Toscane, la discrète, la sensible, celle dont ses parents ne savaient que faire. Mais le décès soudain de sœur aînée a changé son histoire.

    La fête est finie, Lucrèce est seule dans un palais immense et froid. Seule face aux intrigues de la cour. Seule face à cet homme aussi charismatique que terrifiant qu’est son mari.

    Et tandis que Lucrèce pose pour le portrait de mariage qui figera son image pour l’éternité, elle voit se dessiner ce que l’on attend d’elle : donner vie à un héritier. Son propre destin en dépend…

  • Le sceau du secret (Charlotte Link)

    Trois couples et leurs enfants se retrouvent comme chaque
    année à Stanbury, petit village du Yorkshire. Parmi eux,
    Jessica et Alexander, qui viennent tout juste de se marier. Hors
    du temps, dans un cadre paisible, ils offrent le tableau
    idyllique de gens heureux. Mais en ce matin d’avril, de retour
    de sa promenade quotidienne, Jessica découvre avec horreur
    que la maison qu’ils occupaient tous ensemble s’est
    transformée en un véritable bain de sang. Qui a commis ces
    crimes? Certains de ses amis cachaient-ils de sombres secrets
    ? Jessica décide de mener sa propre enquête.

  • Le silence et la colère (Pierre Lemaître)

    Un ogre de béton, une vilaine chute dans l’escalier, le Salon des arts ménagers, une grossesse problématique, la miraculée du Charleville-Paris, la propreté des Françaises, « Savons du  Levant, Savons des Gagnants », les lapins du laboratoire Delaveau, vingt mille francs de la main à la main, une affaire judiciaire relancée, la mort d’un village, le mystérieux professeur Keller, un boxeur amoureux, les nécessités du progrès, le chat Joseph, l’inexorable montée des eaux, une vendeuse aux yeux gris, la confession de l’ingénieur Destouches, un accident de voiture. Et trois histoires d’amour.

  • Le soleil des Scorta (Laurent Gaudé)

    La lignée des Scorta est née d’un viol et du péché. Maudite, méprisée, cette famille est guettée par la folie et la pauvreté. A Montepuccio, dans le sud de l’Italie, seul l’éclat de l’argent peut éclipser l’indignité d’une telle naissance. C’est en accédant à l’aisance matérielle que les Scorta pensent éloigner d’eux l’opprobre. Mais si le jugement des hommes finit par ne plus les atteindre, le destin, lui, peut encore les rattraper.

  • Le temps des étoiles (Catibou et Oliver Dupin)

    Claude a 8 ans en 1938 et vit dans le sud de la France. Durant l’été, une famille juive descend de Paris pour les vacances. Claude sympathise avec Elisheva, qui partage sa passion pour les livres et lui fait découvrir sa culture. Seulement, la guerre passe par là. Tel est le point de départ du roman historique « Le temps des étoiles ».

  • Les abeilles grises (Andreï Kurkov)

    Dans un petit village abandonné de la «zone grise», coincé entre armée ukrainienne et séparatistes prorusses, vivent deux laissés-pour-compte: Sergueïtch et Pachka. Désormais seuls habitants de ce no man’s land, ces ennemis d’enfance sont obligés de coopérer pour ne pas sombrer, et cela malgré des points de vue divergents vis-à-vis du conflit. Aux conditions de vie rudimentaires s’ajoute la monotonie des journées d’hiver, animées, pour Sergueïtch, de rêves visionnaires et de souvenirs. Apiculteur dévoué, il croit au pouvoir bénéfique de ses abeilles qui autrefois attirait des clients venus de loin pour dormir sur ses ruches lors de séances d’«apithe¿rapie». Le printemps venu, Sergueïtch décide de leur chercher un endroit plus calme. Ayant chargé ses six ruches sur la remorque de sa vieille Tchetviorka, le voilà qui part a¿ l’aventure. Mais même au milieu des douces prairies fleuries de l’Ukraine de l’ouest et du silence des montagnes de Crimée, l’œil de Moscou reste grand ouvert…

  • Les armes de la lumière (Ken Follet)

    En cette fin de XVIIIe siècle, l’Angleterre est dirigée par un
    gouvernement conservateur qui réprime toute tentative de
    révolte. De l’autre côté de la Manche, Napoléon Bonaparte
    accroît inexorablement son pouvoir.

    Alors que la guerre est aux portes de l’Europe, la vie des habitants
    de Kingsbridge est sur le point de basculer. Sal, fi leuse téméraire,
    est témoin d’un accident tragique qui va bouleverser sa vie.
    Le courageux Amos, drapier, qui a hérité prématurément du
    négoce de son père, va devoir aff ronter le terrible Hornbeam pour
    rembourser ses dettes. Il sera aidé de Spade, tisserand novateur,
    et encouragé par la douce Elsie qui se bat pour fi nancer une école
    où les enfants pauvres pourront apprendre à lire et à écrire.

    Entre destins contrariés, jalousies meurtrières, justice arbitraire,
    guerre sanglante et révolution industrielle, Ken Follett dépeint avec
    une virtuosité inégalée une génération qui incarne la lutte pour un
    avenir libre de toute oppression.

  • Les choses humaines (Karine Tuil)

    Les Farel forment un couple de pouvoir. Jean est un célèbre journaliste politique français ; son épouse Claire est connue pour ses engagements féministes. Ensemble, ils ont un fils, étudiant dans une prestigieuse université américaine. Tout semble leur réussir. Mais une accusation de viol va faire vaciller cette parfaite construction sociale.

    Le sexe et la tentation du saccage, le sexe et son impulsion sauvage sont au cœur de ce roman puissant dans lequel Karine Tuil interroge le monde contemporain, démonte la mécanique impitoyable de la machine judiciaire et nous confronte à nos propres peurs. Car qui est à l’abri de se retrouver un jour pris dans cet engrenage ?

  • Les enfants d’Elisabeth (Hélène Legrais)

    De 1939 à 1944, à la maternité d’Elne, dans les Pyrénées-Orientales, le combat exceptionnel d’une jeune bénévole suisse pour sauver des enfants d’une mort certaine…

    A partir de 1939, des réfugiées espagnoles, juives et tziganes sont parquées dans des camps d’internement où les conditions de vie sont effroyables.

    Pour celles qui sont enceintes, l’angoisse de perdre leur enfant est un pas de plus vers l’horreur. Volontaire du Secours suisse aux enfants, Elisabeth Eidenbenz arpente inlassablement ces  » prisons à ciel ouvert  » pour accueillir les femmes épuisées à Elne, dans une maternité de fortune qu’elle a créée.

    Là, loin du chaos ambiant, ses protégées peuvent accoucher décemment. Arrive Teresa, rebelle espagnole meurtrie par l’exode. Entre la future mère et la jeune Suissesse se noue une amitié profonde.

    Comment quelques femmes, toutes dévouées à l’action d’Elisabeth, vont-elles cinq années durant faire de cet endroit un havre de paix et de résistance malgré la menace nazie ?

    Un roman poignant et généreux, fondé sur une histoire vraie, qui éveille les consciences quand solidarité et engagement sont plus que jamais des mots d’actualité.

  • Les impatientes (Djaili Amadou)

    Trois femmes, trois histoires, trois destins liés.
    Ce roman polyphonique retrace le destin de la jeune Ramla, arrachée à son amour pour être mariée à l’époux de Safira, tandis que Hindou, sa sœur, est contrainte d’épouser son cousin. Patience !
    C’est le seul et unique conseil qui leur est donné par leur entourage, puisqu’il est impensable d’aller contre la volonté d’Allah. Comme le dit le proverbe peul : « Au bout de la patience
    il y a le ciel. » Mais le ciel peut devenir un enfer. Comment ces trois femmes impatientes parviendront-elles à se libérer ?
    Mariage forcé, viol conjugal, consensus et polygamie : ce roman de Djaïli Amadou Amal brise les tabous en dénonçant la condition féminine au Sahel et nous livre un roman bouleversant sur la question universelle des violences faites aux femmes.
    Née en 1975 dans l’extrême nord du Cameroun, Djaïli Amadou Amal est peule et musulmane. Mariée à 17 ans, elle a connu tout ce qui fait la difficulté de la vie des femmes au Sahel. C’est une conteuse hors pair.

  • Les incosolés ( Minh Tran Huy)

    Rétive aux renoncements de l’âge adulte, Lise s’est jetée tout entière dans la gueule de ses propres rêves d’enfance. Elle se repasse le film du grand amour qui l’a unie, puis désunie, à Louis – portrait craché de prince charmant ébréché par les contingences du réel. Entre thriller romantique et conte de fées cruel, l’auteur de La Double vie d’Anna Song nous livre aux vénéneux et impitoyables tentacules du malentendu.

  • Les lions de Sicile (Stéfania Auci)

    1799. Paolo et Ignazio Florio quittent leur Calabre natale pour s’installer à Palerme. Passionnés, ambitieux mais pauvres et de modeste origine, les deux frères et leur famille n’aspirent qu’à une chose : se hisser parmi les puissants de la ville. C’est sans compter le mépris des palermitains qui voient d’un mauvais œil ces étrangers dont « le sang pue la sueur ». À force d’obstination et de volonté, les Florio, en se lançant dans le commerce d’épices, se frayent un chemin qui, un jour peut-être, leur donnera un empire. Mais leur réussite ne les protège pas de drames plus intimes, car Paolo et Ignazio, pourtant unis comme les cinq doigts de la main, aiment la même femme…

  • Les roches rouges (Olivier Adam)

    Il y a des vies comme des pièges. Des vies qui merdent.
    Un peu fragile, un peu bizarre, Antoine ne fait pas grand-chose de la sienne.
    Leila, jeune maman, vit sous la coupe d’un compagnon violent.
    Un instant échappé, ces deux-là se sont rencontrés au Pôle emploi – passage obligé de leur banlieue grisâtre. Est-ce de l’amour, qui naît entre les deux jeunes gens? Fuyant la brutalité de leur quotidien, les voilà sur les routes, direction le Sud, les calanques – ces roches rouges qui sont l’enfance d’Antoine, la possibilité d’un refuge, d’un bonheur possible, caché… Jusqu’à quand ? Peut-on si facilement échapper au passé ?