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  • Un miracle (Victoria Mas)

    Une prophétie. Une île du Finistère Nord. Les visions d’un adolescent fragile. Et, au-delà de tout, jusqu’à la folie, le désir de croire en l’invisible.

    Soeur Anne, religieuse chez les Filles de la Charité, reçoit d’une de ses condisciples une prophétie : la Vierge va lui apparaître en Bretagne. Envoyée en mission sur une île du Finistère Nord balayée par les vents, elle y apprend qu’un adolescent prétend avoir eu une vision.

    Mais lorsqu’il dit « je vois », les autres entendent : « J’ai vu la Vierge. » Face à cet événement que nul ne peut prouver, c’est toute une région qui s’en trouve bouleversée. Les relations entre les êtres sont modifiées et chacun est contraint de revoir profondément son rapport au monde, tandis que sur l’île, les tempêtes, les marées, la végétation brûlée par le sel et le soleil semblent annoncer un drame inévitable.

  • Un monde à portée de main (Maylis de Kerangal)

    “Paula s’avance lentement vers les plaques de marbre, pose sa paume à plat sur La paroi, mais au lieu du froid glacial de la pierre, c’est le grain de la peinture qu’elle éprouve. Elle s’approche tout près, regarde : c’est bien une image. Etonnée, elle se tourne vers les boiseries et recommence, recule puis avance, touche, comme si elle jouait à faire disparaître puis à faire revenir l’illusion initiale, progresse le long du mur, de plus en plus troublée tandis qu’elle passe les colonnes de pierre, les arches sculptées, les chapiteaux et les moulures, les stucs, atteint la fenêtre, prête à se pencher au-dehors, certaine qu’un autre monde se tient là, juste derrière, à portée de main, et partout son tâtonnement lui renvoie de la peinture. Une fois parvenue devant la mésange arrêtée sur sa branche, elle s’immobilise, allonge le bras dans l’aube rose, glisse ses doigts entre les plumes de l’oiseau, et tend l’oreille dans le feuillage.”

  • Un paquebot dans les arbres (Valentine Gobi)

    Au milieu des années 1950, Mathilde sort à peine de l’enfance quand la tuberculose envoie son père et, plus tard, sa mère au sanatorium d’Aincourt. Cafetiers de La Roche-Guyon, ils ont été le coeur battant de ce village situé à une cinquantaine de kilomètres de Paris. Doué pour le bonheur mais totalement imprévoyant, le couple aimant est ruiné par les soins tandis que le placement des enfants fait voler la famille en éclats. En ce début des Trente Glorieuses au nom parfois trompeur, la Sécurité sociale protège presque exclusivement les salariés, et les antibiotiques ne font pas toujours de miracle. Du haut de son jeune âge, Mathilde lutte sans relâche pour réunir cette famille en détresse et préserver la dignité de ses parents, retirés dans le sanatorium – grand paquebot blanc niché au milieu des arbres. A travers un roman solaire, porté par le regard d’une adolescente rebelle heurtée de plein fouet par le réel, Valentine Coby poursuit son travail sur le corps dans l’Histoire, le rôle des femmes face à l’adversité, leur soif de liberté.

  • Un paradis trompeur (Henning Mankell)

    Hanna a connu le froid avant la chaleur. La misère avant l’opulence. La Suède avant l’Afrique. Deux fois mariée, deux fois veuve, elle échoue au Mozambique où elle se retrouve à la tête d’un bordel. Au milieu des prostituées, sa couleur de peau dérange. Ce pays où la peur de l’autre habite les Blancs comme les Noirs est-il un paradis ou un enfer ?

  • Un peu, beaucoup, à la folie (Liane Moriarty)

    Trois couples épanouis. De charmants enfants. Une amitié solide. Et un barbecue improvisé entre voisins par un beau dimanche ensoleillé : tous les ingrédients sont réunis pour passer un bon moment. Alors pourquoi, deux mois plus tard, les invités en gardent-ils un souvenir épouvantable et ne cessent-ils de se répéter : « si seulement nous n’y étions pas allés » ?
    Après le succès du Secret du mari, traduit dans 55 pays, et de Petits secrets, grands mensonges, adapté par HBO, Liane Moriarty continue de dévoiler la noirceur qui rôde sous les vies ordinaires et nous plonge au cœur des redoutables petits mensonges et des inavouables secrets de l’âme humaine… Fin, décapant, et jubilatoire.

  • Un profond sommeil (Tiffany Quay Tyson)

    Un roman sombre, envoûtant, inoubliable. White Forest, Mississippi. Cachée au milieu de la forêt, la carrière fascine autant qu’elle inquiète. On murmure que des esprits malveillants se dissimulent dans ses eaux profondes. Par une chaude journée d’été, Roberta et Willet bravent toutes les superstitions pour aller s’y baigner avec leur petite soeur, Pansy. En quête…

  • Un si long après-midi (Inga Vesper)

    Dans sa cuisine baignée de soleil californien, Joyce rêve à sa fenêtre. Elle est blanche, elle est riche. Son horizon de femme au foyer, pourtant, s’arrête aux haies bien taillées de son jardin. Ruby, elle, travaille comme femme de ménage chez Joyce et rêve de changer de vie. Mais en 1959, la société américaine n’a rien à offrir à une jeune fille noire et pauvre. Quand Joyce disparaît, le vernis des faux-semblants du rêve américain se craquelle. La lutte pour l’égalité des femmes et des afro-américains n’en est qu’à ses débuts, mais ces deux héroïnes bouleversantes font déjà entendre leur cri. Celui d’un espoir brûlant de liberté.

  • Un soir d’été (Philippe Besson)

    ” Nous étions six – cinq garçons et une fille – insouciants, frivoles, joyeux, dans un été de tous les possibles. Pourquoi a-t-il fallu que l’un d’entre nous disparaisse ? ”
    S’inspirant d’une histoire vécue, Philippe Besson retrace un drame de sa jeunesse, survenu dans l’île de Ré, un soir de juillet, au milieu des années 80.

  • Une bête au paradis ( Cécile Coulon)

    Dans sa ferme isolée au bout d’un chemin de terre, appelée le Paradis, Emilienne élève seule ses deux petits-enfants, Blanche et Gabriel. Devenue adolescente, Blanche rencontre Alexandre, son premier amour. Mais, arrivé à l’âge adulte, le couple se déchire lorsqu’Alexandre, dévoré par l’ambition, exprime son désir de rejoindre la ville tandis que Blanche demeure attachée à son coin de terre.

  • Une déchirure dans le ciel (Jeanine Commins)

    Le récit bouleversant d’une famille face à l’horreur du meurtre de deux jeunes étudiantes, le combat pour ne pas succomber à la haine et au désir de vengeance aveugle Un soir d’avril 1991, à la faible lueur de leurs briquets, deux sœurs, Julie et Robin Kerry, font découvrir à leur cousin Tom Cummins les poèmes…

  • Une éducation (Tara Westover)

    Enfant, Tara Westover n’a jamais fréquenté l’école, ni vu de médecins, ni même été déclarée à l’administration parce que son père, mormon, ne croyait ni en la Médecine officielle ni en l’école publique, orchestrée par le diable. Il attendait la Fin des temps. Alors que son père s’enferme dans ses convictions survivalistes et radicales et qu’un de ses frères cède à la violence, Tara décide à seize ans de prendre son destin en main et de s’éduquer toute seule. Sa détermination l’éloignera de ceux qu’elle aime et l’emmènera au-delà des océans, d’Harvard à Cambridge sans qu’elle ne cesse de s’interroger. Quel est le prix à payer quand la loyauté envers sa famille entre en conflit avec la loyauté envers soi-même ?

    Une éducation est le récit d’une construction de soi et d’une rupture douloureuse. Forte de la lucidité propre aux grands auteurs, Tara Westover nous raconte comment elle est devenue adulte grâce à une éducation qui lui a appris à penser, à douter, tout en restant fidèle à elle-même.

  • Une époque en or (Titiou Lecoq)

    Les aventures extraordinaires d’une famille ordinaire
    Chloé Berthoul habite la ville moyenne de Gabarny avec son compagnon, sa belle-fille et son fils. Seule petite folie dans son quotidien, le lundi elle se défoule au BMA, le club des Belles-Mères anonymes. La lassitude la guette, entre deux crises d’angoisse sur le réchauffement climatique. Comment reprendre sa vie en main quand le seul espace de liberté est de changer de fournisseur d’électricité ?
    Soudain tout bascule avec la révélation d’un secret de famille. Chloé va devoir jongler entre un trésor perdu, des masculinistes hargneux, un plan pour la fin du monde, une grand-mère machiavélique et un lave-vaisselle qui ne se vide pas tout seul.
    Une époque en or est l’histoire d’une famille ordinaire tout à fait géniale. Un roman qui déborde de vie, d’adrénaline et de paniers de linge sale.

  • Une évidence (Agnès Martin-Lugand)

    Reine mène une vie heureuse qu’elle partage entre son fils de dix-sept ans et un métier passionnant.
    Une vie parfaite si elle n’était construite sur un mensonge qui, révélé, pourrait bien faire voler son bonheur en éclats…
    Faut-il se délivrer du passé pour écrire l’avenir ?

  • Une façon d’aimer (Dominique Barberis)

    “Il n’était pas très grand ; des cheveux bruns, peignés en arrière et crantés, le front haut, une chemisette avec des pattes sur l’épaule. Il sourit en fumant. Puis tendit la main à Madeleine : Vous dansez ? Elle s’excusa : Non, je danse très peu, je ne danse pas bien. Mais il insista et il la tira vers la piste.” Quand Madeleine, beauté discrète et mélancolique des années cinquante, quitte sa Bretagne natale pour suivre son mari au Cameroun, elle se trouve plongée dans un monde étranger, violent et magnifique. À Douala, lors d’un bal à la Délégation, elle s’éprend d’Yves Prigent, mi-administrateur, mi-aventurier. Mais la décolonisation est en marche et annonce la fin de partie… Tendu entre la province d’après-guerre et une Afrique rêvée, Une façon d’aimer évoque la force de nos désirs secrets et la grâce de certaines rencontres. Par petites touches d’une infinie délicatesse, c’est toute l’épaisseur d’une vie de femme qui se dévoile.

  • Une façon d’aimer (Dominique Barbéris)

    “Il n’était pas très grand ; des cheveux bruns, peignés en arrière et crantés, le front haut, une chemisette avec des pattes sur l’épaule. Il sourit en fumant. Puis tendit la main à Madeleine : Vous dansez ? Elle s’excusa : Non, je danse très peu, je ne danse pas bien. Mais il insista et il la tira vers la piste.” Quand Madeleine, beauté discrète et mélancolique des années cinquante, quitte sa Bretagne natale pour suivre son mari au Cameroun, elle se trouve plongée dans un monde étranger, violent et magnifique. À Douala, lors d’un bal à la Délégation, elle s’éprend d’Yves Prigent, mi-administrateur, mi-aventurier. Mais la décolonisation est en marche et annonce la fin de partie… Tendu entre la province d’après-guerre et une Afrique rêvée, Une façon d’aimer évoque la force de nos désirs secrets et la grâce de certaines rencontres. Par petites touches d’une infinie délicatesse, c’est toute l’épaisseur d’une vie de femme qui se dévoile.

  • Une famille presque normale (Mathias T. Edvardsson)

    Une famille suédoise tout ce qu’il y a de normal, ces Sandell…
    Le père, pasteur. La mère, avocate. Une fille de 19 ans, bosseuse, qui rêve de voyages au long cours.
    Le samedi, on file au cinéma. Le dimanche, en forêt. Ils trient leurs déchets, n’oublient jamais leur clignotant, rendent toujours à temps leurs livres à la bibliothèque.
    Normale en apparence, du moins, comme toutes les familles qu’un meurtre sordide s’apprête à faire basculer dans l’horreur…