Roman & Fiction

  • La pouponnière d'Himmler ( Caroline de Mulder)

    La pouponnière d’Himmler ( Caroline de Mulder)

    Heim Hochland, en Bavière, 1944. Dans la première maternité nazie, les rumeurs de la guerre arrivent à peine ; tout est fait pour offrir aux nouveau-nés de l’ordre SS et à leurs mères « de sang pur » un cadre harmonieux. La jeune Renée, une Française abandonnée des siens après s’être éprise d’un soldat allemand, trouve là un refuge dans l’attente d’une naissance non désirée. Helga, infirmière modèle chargée de veiller sur les femmes enceintes et les nourrissons, voit défiler des pensionnaires aux destins parfois tragiques et des enfants évincés lorsqu’ils ne correspondent pas aux critères exigés : face à cette cruauté, ses certitudes quelquefois vacillent. Alors que les Alliés se rapprochent, l’organisation bien réglée des foyers Lebensborn se détraque, et l’abri devient piège. Que deviendront-ils lorsque les soldats américains arriveront jusqu’à eux ? Et quel choix leur restera-t-il ? Reconstituant dans sa réalité historique ce gynécée inquiétant, ce roman propose une immersion dans un des Lebensborn patronnés par Himmler, visant à développer la race aryenne et à fabriquer les futurs seigneurs de guerre. Une plongée saisissante dans l’Allemagne nazie envisagée du point de vue des femmes.

  • La princesse et lepangolin (Marc Lambron)

    La princesse et lepangolin (Marc Lambron)

    En plein désert, un géologue rencontre la princesse Greta. D’un ton farouche, elle lui ordonne : « Dessine-moi une chauve-souris ! » La princesse Greta vit sur une minuscule planète, intégralement bio. Mais des insectes menacent ses plants de quinoa et seule une chauve-souris peut les chasser avec une délicatesse écoresponsable. Avant de débarquer sur Terre, Greta a fait escale sur différents astéroïdes : l’astéroïde Charlie (Chaplin), l’astéroïde Ernesto (Guevara), l’astéroïde Frank (Sinatra), l’astéroïde, Karl (Lagerfeld), l’astéroïde Nelson (Mandela), l’astéroïde Janis (Joplin), l’astéroïde Albert (Einstein). À chaque fois, s’établit un échange drôle et piquant sur l’esprit d’enfance, le capitalisme, la révolution, la violence, le rock, la méchan­ceté des hommes, la nature. Jusqu’au jour où la princesse rencontre un pangolin, animal d’une sagesse antique, menacé par la race humaine, qui lui enseigne le langage du coeur et de l’amour…

  • La prochaine fois que tu mordras la poussière ( Panayotis Pascot)

    La prochaine fois que tu mordras la poussière ( Panayotis Pascot)

    « Ce livre me fait peur. Le processus a été douloureux. Mon père nous a annoncé qu’il n’allait pas tarder à mourir et je me suis mis à écrire. Trois années au peigne fin, mes relations, mes pensées paranoïaques, mon rapport étrange à lui, crachés sur le papier. Je me suis donné pour but de le tuer avant qu’il ne meure. C’est l’histoire de quelqu’un qui cherche à tuer. Soi, ou le père, finalement ça revient au même. »

    Panayotis Pascot s’attaque d’une plume tranchante et moderne à trois thématiques qu’il tisse pour composer un récit autofictionnel aussi acide qu’ultralucide. La relation au père, l’acceptation de son homosexualité et la dépression s’enchevêtrent ici dans un violent passage à l’âge adulte. Mais la lumière en sort toujours, d’un regard, d’une façon d’observer le quotidien avec autant de tendresse et d’humour que de clairvoyance.

  • La promesse de l'aube (Romain Gary)

    La promesse de l’aube (Romain Gary)

    «- Tu seras un héros, tu seras général, Gabriele D’Annunzio, Ambassadeur de France – tous ces voyous ne savent pas qui tu es !Je crois que jamais un fils n’a haï sa mère autant que moi, à ce moment-là. Mais, alors que j’essayais de lui expliquer dans un murmure rageur qu’elle me compromettait irrémédiablement aux yeux de l’Armée de l’Air, et que je faisais un nouvel effort pour la pousser derrière le taxi, son visage prit une expression désemparée, ses lèvres se mirent à trembler, et j’entendis une fois de plus la formule intolérable, devenue depuis longtemps classique dans nos rapports : – Alors, tu as honte de ta vieille mère ?»

  • La psy (Freida MacFadden)

    La psy (Freida MacFadden)

    Jeunes mariés, Tricia et Ethan recherchent la maison de leurs rêves. Alors qu’ils visitent le manoir isolé de la docteure Adrienne Hale, une psychiatre disparue trois ans plus tôt, ils se retrouvent piégés par une violente tempête de neige. Au grand effroi de Tricia, qui est persuadée que quelque chose de terrible s’est produit dans cette demeure. Et puis, il y a ces empreintes de pas récentes sur le parquet, comme si quelqu’un vivait encore là… Par hasard, Tricia découvre une pièce secrète qui renferme les enregistrements audio de chaque patient de la docteure Hale. Le voile de mystère qui recouvre la disparition de la psy se lève lentement. Mais déterrer des secrets enfouis est un jeu dangereux…

  • La reine du silence (Marie Nimier)

    La reine du silence (Marie Nimier)

    Mon père a trouvé la mort un vendredi soir. Son Aston Martin s’est écrasée contre le parapet d’un pont. Je n’étais pas dans la voiture. J’avais 5 ans. De lui, il me reste peu de souvenirs, et quelques trésors : une montre qui sonne les heures, un stylo dont la plume penche à droite et cette carte postale, où il me demandait en lettres capitales : que dit la reine du silence ? Cette phrase posait une énigme impossible à résoudre pour la petite fille que j’étais, énigme cruelle et envoûtante qui résume toute la difficulté du métier d’enfant. Enigme qui, à l’époque, se formulait ainsi : Que pourrait bien dire la Reine du silence sans y perdre son titre, et l’affection de son papa ? Ou encore : comment, à la fois, parler, et ne pas parler ? J’étais coincée. Prise au piège de l’intelligence paternelle. M. N. Marie Nimier ose avec ce nouveau livre s’attacher à la figure de son père, Roger Nimier. Elle explore l’amas de tôles froissées, interrogeant avec gravité le destin de cet écrivain que ses amis décrivent tour à tour, et parfois simultanément, comme un être désinvolte, sérieux, menteur, loyal, tendre, indifférent et malhabile de ses sentiments comme on est maladroit de ses mains.

  • La reine du silence (Marie Nimier)

    La reine du silence (Marie Nimier)

    Mon père a trouvé la mort un vendredi soir. Son Aston Martin s’est écrasée contre le parapet d’un pont. Je n’étais pas dans la voiture. J’avais 5 ans. De lui, il me reste peu de souvenirs, et quelques trésors : une montre qui sonne les heures, un stylo dont la plume penche à droite et cette carte postale, où il me demandait en lettres capitales : que dit la reine du silence ? Cette phrase posait une énigme impossible à résoudre pour la petite fille que j’étais, énigme cruelle et envoûtante qui résume toute la difficulté du métier d’enfant. Enigme qui, à l’époque, se formulait ainsi : Que pourrait bien dire la Reine du silence sans y perdre son titre, et l’affection de son papa ? Ou encore : comment, à la fois, parler, et ne pas parler ? J’étais coincée. Prise au piège de l’intelligence paternelle. M. N. Marie Nimier ose avec ce nouveau livre s’attacher à la figure de son père, Roger Nimier. Elle explore l’amas de tôles froissées, interrogeant avec gravité le destin de cet écrivain que ses amis décrivent tour à tour, et parfois simultanément, comme un être désinvolte, sérieux, menteur, loyal, tendre, indifférent et malhabile de ses sentiments comme on est maladroit de ses mains.

  • La reine du silence (Marie Nimier)

    La reine du silence (Marie Nimier)

    « Mon père a trouvé la mort un vendredi soir. Son Aston Martin s’est écrasée contre le parapet d’un pont. Je n’étais pas dans la voiture. J’avais 5 ans. De lui, il me reste peu de souvenirs, et quelques trésors : une montre qui sonne les heures, un stylo dont la plume penche à droite et cette carte postale, où il me demandait en lettres capitales : QUE DIT LA REINE DU SILENCE ? Cette phrase posait une énigme impossible à résoudre pour la petite fille que j’étais, énigme cruelle et envoûtante qui résume toute la difficulté du métier d’enfant. Énigme qui, à l’époque, se formulait ainsi : Que pourrait bien dire la Reine du silence sans y perdre son titre, et l’affection de son papa ? Ou encore : comment, à la fois, parler, et ne pas parler ? J’étais coincée. Prise au piège de l’intelligence paternelle. » Marie Nimier ose avec ce nouveau livre s’attacher à la figure de son père, Roger Nimier. Elle explore l’amas de tôles froissées, interrogeant avec gravité le destin de cet écrivain que ses amis décrivent tour à tour, et parfois simultanément, comme un être désinvolte, sérieux, menteur, loyal, tendre, indifférent et malhabile de ses sentiments comme on est maladroit de ses mains.

  • La renverse (Olivier Adam)

    La renverse (Olivier Adam)

    « Ce n’est qu’au moment d’entrer dans le bar-tabac que la nouvelle m’a vraiment heurté, qu’elle a commencé à filer le tissu du drap que je tendais depuis des années sur cette partie de ma vie. J’ai demandé deux paquets de cigarettes, salué les habitués du plat du jour. Au-dessus des tables, un téléviseur s’allumait sur une chaîne d’information en continu. A l’instant où j’y ai posé les yeux, le visage éminemment télégénique de Jean-François Laborde s’est figé sur l’écran. J’ai demandé qu’on augmente le volume. On annonçait son décès dans un accident de voiture. Suivait un rappel succinct de sa biographie. Fugacement, la pensée, absurde étant donné le temps accordé à l’information, qu’il n’avait pas été fait mention de ma mère m’a traversé l’esprit.  » Dans La renverse, Olivier Adam retrace l’itinéraire d’Antoine, dont la vie s’est jusqu’à présent écrite à l’ombre du scandale public qui a éclaboussé sa famille quand il était encore adolescent. Et ce faisant, il nous livre un grand roman sur l’impunité et l’humiliation, explorées au sein de la famille comme dans l’univers politique.

  • La rivale ( Eric Emmanuel- Schmidt)

    La rivale ( Eric Emmanuel- Schmidt)

    « La Callas ? Vous verrez : bientôt plus personne ne se souviendra d’elle… »

    Qui parle ? Une certaine Carlotta Berlumi. Le nom de cette mystérieuse vieille dame n’évoque rien à personne, pourtant elle soutient mordicus qu’elle connut son heure de gloire à la Scala et fut la plus grande rivale de Maria Callas. À l’entendre, la cantatrice grecque parvint, à force de manoeuvres et de combines, à la jeter aux oubliettes, mais elle lui rendit la monnaie de sa pièce en précipitant sa chute.

    Carlotta prend-elle ses désirs pour des réalités ? A-t-elle trouvé en Callas le bouc émissaire de ses échecs, l’explication magique de ses déboires et de ses frustrations ?

    A travers ce cocasse et inoubliable personnage, Éric-Emmanuel Schmitt brosse, avec un humour et une malice incomparables, le portrait en creux d’une Maria Callas méconnue. Et nous convie, en expert de la musique et des méandres de l’âme, dans les coulisses clandestines de l’opéra et du coeur humain.

  • La serpe (Philippe Jaenada)

    La serpe (Philippe Jaenada)

    Un matin d’octobre 1941, dans un château sinistre au fin fond du Périgord, Henri Girard appelle au secours : dans la nuit, son père, sa tante et la bonne ont été massacrés à coups de serpe. Il est le seul survivant. Toutes les portes étaient fermées, aucune effraction n’est constatée. Dépensier, arrogant, violent, le jeune homme est l’unique héritier des victimes. Deux jours plus tôt, il a emprunté l’arme du crime aux voisins. Pourtant, au terme d’un procès retentissant (et trouble par certains aspects), il est acquitté et l’enquête abandonnée. Alors que l’opinion publique reste convaincue de sa culpabilité, Henri s’exile au Venezuela. Il rentre en France en 1950 avec le manuscrit du Salaire de la peur, écrit sous le pseudonyme de Georges Arnaud.
    Jamais le mystère du triple assassinat du château d’Escoire ne sera élucidé, laissant planer autour d’Henri Girard, jusqu’à la fin de sa vie (qui fut complexe, bouillonnante, exemplaire à bien des égards), un halo noir et sulfureux. Jamais, jusqu’à ce qu’un écrivain têtu et minutieux s’en mêle…
    Un fait divers aussi diabolique, un personnage aussi ambigu qu’Henri Girard ne pouvaient laisser Philippe Jaenada indifférent. Enfilant le costume de l’inspecteur amateur (complètement loufoque, mais plus sagace qu’il n’y paraît), il s’est plongé dans les archives, a reconstitué l’enquête et déniché les indices les plus ténus pour nous livrer ce récit haletant dont l’issue pourrait bien résoudre une énigme vieille de soixante-quinze ans.

  • La servante écarlate (Margaret Atwood)

    La servante écarlate (Margaret Atwood)

    Devant la chute drastique de la fécondité, la république de Gilead, récemment fondée par des fanatiques religieux, a réduit au rang d’esclaves sexuelles les quelques femmes encore fertiles. Vêtue de rouge, Defred, « servante écarlate » parmi d’autres, à qui l’on a ôté jusqu’à son nom, met donc son corps au service de son Commandant et de son épouse. Le soir, en regagnant sa chambre à l’austérité monacale, elle songe au temps où les femmes avaient le droit de lire, de travailler… En rejoignant un réseau secret, elle va tout tenter pour recouvrer sa liberté.

    Paru pour la première fois en 1985, La Servante écarlate s’est vendu à des millions d’exemplaires à travers le monde. Devenu un classique de la littérature anglophone, ce roman, qui n’est pas sans évoquer le 1984 de George Orwell, décrit un quotidien glaçant qui n’a jamais semblé aussi proche, nous rappelant combien fragiles sont nos libertés. La série adaptée de ce chef-d’oeuvre de Margaret Atwood, avec Elisabeth Moss dans le rôle principal, a été unanimement saluée par la critique.

  • La sonate oubliée (Christina Moreau)

    La sonate oubliée (Christina Moreau)

    À 17 ans, Lionella, d’origine italienne, ne vit que pour le violoncelle, ce qui la distingue des autres adolescents de Seraing, la ville où elle habite en Belgique. Elle peine toutefois à trouver le morceau qui la démarquerait au prochain grand concours Arpèges. Jusqu’au jour où son meilleur ami lui apporte un coffret en métal, déniché dans une brocante. Lionella y découvre un journal intime, une médaille coupée et… une partition pour violoncelle qui ressemble étrangement à une sonate de Vivaldi. Elle plonge alors dans le destin d’Ada, jeune orpheline du XVIIIe siècle, pensionnaire de l’Ospedale della Pietà, à Venise, dans lequel « le prêtre roux », Antonio Vivaldi, enseignait la musique à des âmes dévouées.

    Entremêlant les époques avec brio, ce premier roman vibrant nous fait voyager à travers la Sérénissime, rencontrer l’un des plus grands compositeurs de musique baroque, et rend un hommage poignant à ces orphelines musiciennes, virtuoses et très réputées au XVIIIe siècle, enfermées pour toujours dans l’anonymat.

  • La soupe à la grenade (Marsha Mehran)

    La soupe à la grenade (Marsha Mehran)

    Trois jeunes sœurs ayant fui l’Iran au moment de la révolution trouvent refuge dans un petit village d’Irlande pluvieux et replié sur lui-même. Elles y ouvrent le Babylon Café et bientôt les effluves ensorcelants de la cardamome et de la nigelle, des amandes grillées et du miel chaud bouleversent la tranquillité de Ballinacroagh. Les habitants ne les accueillent pas à bras ouverts, loin s’en faut. Mais la cuisine persane des trois sœurs, délicate et parfumée, fait germer d’étranges graines chez ceux qui la goûtent. Les délicieux rouleaux de dolmas à l’aneth et les baklavas fondant sur la langue, arrosés d’un thé doré infusant dans son samovar en cuivre, font fleurir leurs rêves et leur donnent envie de transformer leur vie.
    Marsha Mehran s’est inspirée de sa propre histoire familiale pour composer ce roman chaleureux et sensuel où la cuisine joue le plus beau rôle. S’y mêlent le garm et le sard, le chaud et le froid, tristesse et gaieté, en une alchimie à l’arôme envoûtant d’eau de rose et de cannelle.
    Et pour que chacun puisse expérimenter la magie de la cuisine persane, une recette accompagne chaque chapitre du livre.

  • La très catastrophique visite du zoo (Joël Dicker)

    La très catastrophique visite du zoo (Joël Dicker)

    LE livre à mettre entre toutes les mains

    « Pendant des années, dans la petite ville où j’ai grandi, les esprits restèrent marqués par les évènements qui se produisirent au zoo local un vendredi de décembre, à quelques jours de Noël.
    Et pendant toutes ces années, personne ne sut la vérité sur ce qui s’était réellement passé là-bas. Jusqu’à ce livre. »

    À la veille de Noël, une visite scolaire dans un zoo tourne à la catastrophe.
    Que s’est-il passé exactement ? Les parents de Joséphine, qui participait à cette sortie et qui semble être l’une des protagonistes de cette affaire, sont bien déterminés à le découvrir.
    Dans cette quête de vérité, on comprend peu à peu qu’une catastrophe n’arrive jamais seule. Les apparences sont trompeuses et le récit des évènements va prendre une tournure que personne n’était près d’imaginer.

    La Très Catastrophique Visite du Zoo est une enquête qui nous tient en haleine jusqu’au bout, mais aussi un roman drôle et touchant, parsemé de clins d’œil sur nos modes sociétales (démocratie, éducation inclusive, rapports parents-enseignants). Et c’est justement le tour de force de ce livre, mêlant plusieurs niveaux de compréhension, qui émerveillera lecteurs de tous âges et tous horizons. Un livre pour lire et faire lire. À mettre entre toutes les mains !

  • La vallée (Bernard Minier)

    La vallée (Bernard Minier)

     » Je crois que quelqu’un est en train d’agir comme s’il se prenait pour Dieu…  »

    Un appel au secours au milieu de la nuit
    Une vallée coupée du monde
    Une abbaye pleine de secrets
    Une forêt mystérieuse
    Une série de meurtres épouvantables
    Une population terrifiée qui veut se faire justice
    Un corbeau qui accuse
    Une communauté au bord du chaos
    Une nouvelle enquête de Martin Servaz

     » Avec La Vallée, Martin Servaz, le flic emblématique de Bernard Minier, fait un retour tonitruant !  »
    Bernard Lehut, RTL

     » D’une efficacité redoutable. Addictif ! »
    François Busnel, La Grande Librairie

     » Un suspense et un style parfaitement maîtrisés, des personnages touchants, et une fois encore une « putain d’histoire ».  »
    Fabrice Drouzy, Libération

     » Tout en menant de main de maître son histoire, Minier poursuit une réflexion sur le mal qui nous concerne tous.  »
    Bruno Corty, Le Figaro littéraire

     » un roman brillant !  »
    Olivier Bureau, Le Parisien