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  • L’aile des vierges (Laurence Peyrin)

    Angleterre, avril 1946. La jeune femme qui remonte l’allée de Sheperd House, majestueux manoir du Kent, a le cœur lourd. Car aujourd’hui, Maggie Fuller, jeune veuve au fort caractère, petite-fille d’une des premières suffragettes, fille d’une sage-femme féministe, entre au service des très riches Lyon-Thorpe. Elle qui rêvait de partir en Amérique et de devenir médecin va s’installer dans une chambre de bonne. Difficile d’intégrer la petite armée de domestiques pour la jeune femme cultivée et émancipée. Mais elle va découvrir qu’elle n’est pas la seule à se sentir prise au piège à Sheperd House et qu’elle est au début d’un long chemin passionnel vers la liberté.
    La vie de Maggie est un mélange de Out of Africa, Raison et sentiments et Downton Abbey. Béatrice Leroux, Librairie Gibert

  • L’amour sans le faire ( Serge Joncour)

    On ne refait pas sa vie, c’est juste l’ancienne sur laquelle on insiste », pense Franck en arrivant aux Bertranges, chez ses parents qu’il n’a pas vus depuis dix ans. Louise est là, pour passer quelques jours de vacances avec son fils dont elle a confié la garde aux parents de Franck.

    Le temps a passé, la ferme familiale a vieilli, mais ces retrouvailles inattendues vont bouleverser le cours des choses. Franck et Louise sont deux êtres abîmés par la vie, ils se parlent peu mais semblent se comprendre. Dans le silence de cet été chaud et ensoleillé, autour de cet enfant de cinq ans, « insister » finit par ressembler, tout simplement, à la vie réinventée.

  • L’ange blanc ( Louis Mercadié)

    À l’aube de la première guerre mondiale, la vie du village est bouleversée : alors que les hommes partent pour le Front et que les restrictions s’imposent, la meilleure amie de Pauline est retrouvée morte. Elle décide de fuir sa peine et de partir en ville où elle commence à travailler dans une fabrique de munitions, lieu où elle se lie d’amitié avec ses nouvelles compagnes et notamment Solange.

     

    C’est alors qu’elle fait la connaissance de Félix, cousin de Solange, avec qui elle vit une histoire d’amour courte mais passionnée. En 1918, c’est l’heure de la reconstruction : de retour dans son village, Pauline va devoir faire la lumière sur la mort de son amie d’enfance, innocenter un accusé et trouver le vrai coupable.

  • L’atelier des souvenirs (Anne Idoux- Thivet)

    Lorsqu’elle hérite de la maison de sa grand-mère dans la Meuse, Alice décide de quitter sa vie de thésarde parisienne qui ne mène nulle part et de s’installer à la campagne. Elle se lance alors dans l’animation d’ateliers d’écriture dans deux maisons de retraite. Suzanne, Germaine, Jeanne, Élisabeth, Georges, Lucien… les anciens dont elle croise la route sont tous plus attachants les uns que les autres.
    Au fil des séances d’écriture, les retraités dévoilent des bribes de leur passé et s’attachent à la jeune femme, dont ils devinent la solitude. Bien décidée à lui redonner le sourire, la joyeuse bande de seniors se donne pour mission de l’aider à trouver l’amour !

  • L’entre-temps (René Guitton)

    Alexandre Landais, le petit garçon né en 1943 dans un camp d’internement perdu au fond du Maroc, est devenu un homme. Un homme plus vieux que ne l’a jamais été son père, commandant de Marine qui l’a façonné et tant fasciné. Il lui a appris les bateaux, les avions, l’a initié à la contemplation du fameux rayon vert des couchers de soleil, lui a transmis le respect, l’ouverture aux autres, et la loyauté qui toujours doit gouverner la vie d’un homme.

    C’est d’ailleurs par loyauté envers sa mère et son père qu’Alex revient en terre natale : depuis trop longtemps séparés, ses parents doivent être enfin réunis, en France.

    Mais exhumer la mémoire, c’est creuser le passé d’une vie révolue truffée de sensations olfactives intactes, de souvenirs gauchis par l’affection, d’images jaunies et de visages d’un autre temps.

    Celui de Rose, sa mère, une jeune modiste italienne, sauvage et envoûtante, ceux des grands-parents maternels, Vincenza et Girolamo, des êtres épris de liberté, mais aussi de Yemna la juive, de Mina la musulmane, de la tante d’Amérique ou des cousins d’Afrique.

  • L’instant précis où les destins s’entremêlent (Angélique Barberat)

    Kyle a cinq ans lorsqu’il découvre sa mère morte sous les coups de son mari. Recueilli par sa soeur, le petit garçon se réfugie dans la musique. Vingt ans plus tard, il est devenu une rockstar adulée par le monde entier. Mais rien n’efface la colère qui l’habite. Coryn épouse Jack Branningan alors qu’elle a dix-sept ans. Sous ses aspects d’homme parfait, Jack s’avère vite être un mari possessif, jaloux et violent. Un jour, alors que Coryn se promène avec ses deux enfants, l’un d’eux échappe à sa vigilance et se fait renverser par une voiture. A cet instant précis, les destins de Kyle et Coryn s’entremêlent. Mais comment ces deux êtres que tout semble séparer auraient-ils la moindre chance de s’aimer ?

  • L’instant présent ( Guillaume Musso)

     » Souviens-toi que l’on a deux vies. La seconde commence le jour où on se rend compte que l’on n’en a qu’une.  » Pour payer ses études d’art dramatique, Lisa travaille dans un bar de Manhattan. Elle y fait la connaissance d’Arthur Costello, un jeune médecin urgentiste. En apparence, il a tout pour plaire. Mais Arthur n’est pas un homme comme les autres. Deux ans plus tôt, il a hérité de la résidence de son grand-père : un vieux phare isolé dans lequel une pièce a été condamnée. Malgré sa promesse, il a choisi d’ouvrir la porte, découvrant une vérité bouleversante qui lui interdit de mener une vie normale. Sa rencontre avec Lisa va tout changer et lui redonner une raison d’espérer. Dès lors, Arthur et Lisa n’ont qu’une obsession, déjouer les pièges que leur impose le plus impitoyable des ennemis : le temps. Un suspense psychologique vertigineux au final stupéfiant.  » Guillaume Musso persiste et signe. Il est bien le maître du suspense.  » Le Figaro la couverture peut différer

  • La ballade de l’enfant gris (Baptiste Beaulieu)

    C’est l’histoire de Jo’, jeune interne en pédiatrie à la personnalité fantasque, à qui tout sourit.
    C’est l’histoire de No’, un petit garçon de sept ans attachant et joueur, qui est atteint d’un mal incurable et ne comprend pas pourquoi sa maman ne vient pas plus souvent le voir à l’hôpital.
    C’est l’histoire de Maria, une mère secrète, qui disparaît à l’autre bout du monde au lieu de rester au chevet de son fils.
    Un matin, dans la chambre de l’enfant, survient un drame qui lie à jamais le destin de ces trois êtres.
    Jo’ devra tout quitter pour partir sur les traces de Maria et percer ses mystères.

    Inspiré par le choc ressenti lors de la disparition de l’un de ses jeunes patients, l’auteur livre une quête initiatique et poétique, semée de recoins obscurs qui s’illuminent. Un magnifique troisième roman, porté par des personnages profondément humains.

  • La chaleur ( Victor Jestin)

    « Oscar est mort parce que je l’ai regardé mourir, sans bouger. Il est mort étranglé par les cordes d’une balançoire. »Ainsi se déroule la dernière journée que passe Léonard, 17 ans, dans un camping des Landes écrasé de soleil. Cet acte irréparable, il ne se l’explique pas lui-même. Rester immobile, est-ce pareil que tuer ? Dans la panique, il enterre le corps sur la plage. Le lendemain, errant dans les allées bondées, il redoute à chaque instant d’être découvert. Et c’est alors qu’il rencontre une fille.L’histoire, courte et intense, d’un adolescent étranger au monde qui l’entoure et qui s’oppose, passivement mais de toutes ses forces, à cette injonction au bonheur que déversent les haut-parleurs du camping.
  • La confession (John Grisham)

    Un innocent va être exécuté, seul un assassin peut le sauver…

    Donté Drumm, jeune Afro-Américain de vingt-sept ans, n’a plus que quelques jours à vivre. Après huit années passées dans le couloir de la mort, il va être exécuté pour un crime qu’il n’a pas commis. Ce n’est pas lui qui a enlevé, violé et tué une pom-pom girl de son lycée de Sloan, au Texas : des aveux lui ont été extorqùés par des policiers racistes et son procès a été une pure mascarade.

    Tandis que son avocat multiplie les appels pour tenter de le sauver, un pasteur de Topeka, à six cents kilomètres de là, reçoit la visite d’un certain Travis Boyette qui revendique avoir perpétré ce meurtre odieux. Multirécidiviste, atteint d’une tumeur cérébrale, il dit vouloir épargner un innocent. Les avocats, les juges, le gouverneur se laisseront-ils convaincre ? Donté Drumm sera-t-il sauvé ? La route est longue pour rétablir la vérité surtout quand ils sont nombreux à refuser de l’entendre.

  • La dernière fois que j’ai vu Adèle (Astrid Eliard)

    La fille ne regardait pas l’objectif, d’ailleurs elle ne regardait rien, à part peut-être une pensée, un regret, un projet? à l’intérieur d’elle-même. Elle ne souriait pas. Elle était tout simplement absente. En quelques jours, une foule innombrable de gens croisa ce visage. Et tous se dirent qu’elle avait l’air de poser pour son propre avis de recherche.
    Lorsqu’elle constate la disparition de sa fille Adèle, seize ans, Marion panique. Fugue? accident? Elle prévient son ex-mari, la police… Au fil des heures, l’angoisse croît. Adèle reste introuvable. Quelques jours plus tard, un attentat perpétré par Daech au Forum des Halles tue vingt-cinq personnes. Et si Adèle faisait partie des victimes ? Sans relâche Marion appelle les numéros verts, les ministères, scrute la presse, les réseaux sociaux, traque les moindres indices… Jusqu’au jour où, sur une image saisie par une caméra de surveillance, elle reconnaît Adèle, dissimulée sous un hidjab… Sidération, incompréhension, culpabilité. L’inexorable quête d’une mère pour retrouver sa fille commence.

  • La fabuleuse libraire de Libby Queen (Freya Kennedy)

    Et si ouvrir une librairie n’était pas un rêve irréalisable ? Libby Quinn en a assez d’être raisonnable. Après avoir passé des années à se démener pour rien dans une boîte de relations publiques irlandaise, elle se retrouve licenciée. Libby décide alors de consacrer toutes ses économies à la réalisation de son rêve : rénover une boutique délabrée pour ouvrir une librairie. Elle espère que l’ouverture de « Once Upon A Book » sur Ivy Lane sera le parfait hommage à son grand-père bien-aimé qui lui a inculqué l’amour de la lecture et des livres dès son plus jeune âge. Mais quand sa vie amoureuse et ses amitiés deviendront encore plus compliquées, Libby aura-t-elle le courage de poursuivre ses rêves ?
  • La femme qui ne vieillissait pas ( Grégoire Delacourt)

    « À quarante-sept ans, je n’avais toujours aucune ride du lion, du front, aucune patte d’oie ni ride du sillon nasogénien, d’amertume ou du décolleté ; aucun cheveu blanc, aucun cerne ; j’avais trente ans, désespérément. »

    Il y a celle qui ne vieillira pas, car elle a été emportée trop tôt. Celle qui prend de l’âge sans s’en soucier, parce qu’elle a d’autres problèmes. Celle qui cherche à paraître plus jeune pour garder son mari, et qui finit par tout perdre. Et il y a Betty. Ce qui est arrivé à Betty est le rêve de toutes les femmes. Et pourtant.

    Un conte qui pourfend joliment la dictature de l’apparence. Véronique Cassarin-Grand, L’Obs.

    Un roman trouble, fascinant avec quelque chose d’étrange qui touche au fantastique. On a rarement vu un écrivain s’attaquer avec autant de singularité au mystère de la beauté éternelle. Du grand Grégoire Delacourt. Mohammed Aïssaoui, Le Figaro littéraire.

  • La ligne bleue (Ingrid Betancourt)

    Buenos Aires, années 70. Julia a hérité de sa grand-mère Josefina un don précieux et encombrant : parfois des scènes de l’avenir lui apparaissent, vues à travers le regard de l’autre. À charge pour elle d’interpréter sa vision. Dès l’âge de cinq ans, elle doit intervenir pour empêcher le déroulement d’événements malheureux. L’histoire de Julia va basculer lors du retour de Perón en Argentine. Sympathisants du mouvement des Montoneros, elle et son compagnon vont connaître le destin de cette jeunesse idéaliste et révolutionnaire d’Amérique latine, fascinée tout autant par la figure du Christ que par celle de Che Guevara et confrontée à la réalité de la dictature militaire. Capturés par des escadrons de la mort, ils réussiront à s’évader… On retrouve ici certains des thèmes qui traversaient Même le silence a une fin, le grand récit d’Ingrid Betancourt relatant ses années de captivité dans la jungle : la privation de liberté et ses conséquences, le courage individuel et la servilité collective, l’espoir en l’avenir de l’humanité considéré comme un acte de foi. Mais de ce dilemme entre le choix de la vengeance et celui de la vie, elle a d’abord fait la matière d’un vrai roman d’aventures.

  • La métallo (Catherine Ecole-Boivin)

    Si Yvonnick a un prénom et des bras d’homme, c’est grâce à sa mère qui lui a appris à se défendre des coups. Et ces bras d’homme, Yvonnick en a bien besoin depuis que son mari, qui travaillait à J.J. Carnaud et forges de Basse-Indre, l’ancêtre d’Usinor puis d’Arcelor, n’est plus là. En acceptant de prendre sa relève à la forge, la jeune veuve et mère d’un enfant fragile, élevée dans le marais salant breton, devient métallo. Une vie ouvrière de lutte qui ne l’empêche pas de se faire respecter des hommes ni de gagner son indépendance, et surtout, d’être fière de son travail à l’usine et de sa communauté solidaire. Mais cette fierté, menacée dès 1968, se rompt au fil du temps, les notions de rentabilité, de courbes et de tableaux de chiffres chassant l’idée d’un combat pour une vie meilleure.
    Inspiré d’un authentique témoignage, le destin d’Yvonnick fait revivre un monde aujourd’hui disparu. De l’apogée de l’industrie française dans les années 50 à son déclin en 1980, Catherine Ecole-Boivin trace, dans ce roman d’une vie peuplée d’étincelles, le portrait empreint d’humanité du monde ouvrier.

  • Là oùle bonheur se respire (Sophie Tal Men)

    Pour Lily, apprentie parfumeuse, les parfums subliment la vie : ils nous construisent, nous éveillent et nous guident. Aussi, quand sa petite sœur Clarisse est hospitalisée à la suite d’une grave chute de cheval, Lily fait tout pour stimuler ses sens et lui redonner le goût de vivre. Son plan : retourner sur l’île d’Ouessant, berceau de leur enfance, à la recherche des odeurs chères à Clarisse. À l’hôpital, seul Evann, externe en médecine, soutient son projet fou, achevant de nouer entre eux un lien qui commençait déjà à se tisser. Au fil du temps, les deux complices comprendront que c’est leurs âmes blessées qu’ils cherchent à soigner, car prendre soin des autres, c’est aussi prendre soin de soi.

    Dans ce nouveau roman, inspiré de son quotidien à l’hôpital comme dans Les Yeux couleur de pluie ou Va où le vent te berce, Sophie Tal Men explore avec passion l’univers des parfums et nous fait prendre le large avec une bouleversante histoire d’amour et de résilience qui nous fait du bien.