• Des fleurs et des épines (Valérie Gans)

    Des fleurs et des épines (Valérie Gans)

    Après un an passé en Afrique pour échapper à un compagnon violent, Julie rentre à Paris et retrouve avec bonheur sa sœur Lorraine, fleuriste, ses enfants et ses parents qui vivent en Dordogne.
    Devenue une sage-femme expérimentée, elle trouve très vite sa place dans la clinique du docteur Victor Le Crétois, qui la prend sous sa protection. Sa rencontre avec Sophie, une amie de son neveu Bastien, mère porteuse pour financer ses études, va troubler son fragile équilibre. L’amour de Victor, de vingt-cinq ans son aîné, suffira-t-il à lui redonner confiance ? Pourra-t-elle aider Sophie dans le dilemme de la gestation pour autrui ?
    Dans ce roman très actuel, Valérie Gans met en scène avec tendresse des hommes et des femmes d’aujourd’hui en route pour ce qu’ils croient être le bonheur.

  • Des gens sensibles (Eric Fottorino)

    Des gens sensibles (Eric Fottorino)

    « J’avais vingt ans et j’avais écrit le plus beau roman du monde. C’est Clara qui le disait. Je croyais tout ce que disait Clara. » Au début des années 1990 à Paris, Jean Foscolani, dit Fosco, s’apprête à publier son premier roman, Des gens sensibles. Saisie par la force de son texte, l’attachée de presse de la maison d’édition, Clara, remue ciel et terre pour que le talent du jeune auteur soit reconnu. Grâce à elle, Fosco rencontre Saïd, un écrivain algérien adulé dans son pays, qui dénonce les atrocités commises par les fanatiques religieux. La vie de Saïd est en permanence menacée. Pendant quelques mois, avec Clara, ils vont former un trio inséparable uni par un farouche désir de liberté, par l’amour et l’amitié, et surtout par la conviction que la littérature est plus grande que la vie. À travers ce roman bouleversant, Éric Fottorino offre une plongée incomparable dans l’univers littéraire de la fin du XXᵉ siècle, sur fond de drame algérien et de foi immense dans le pouvoir des mots.

  • Des lendemains qui chantent (Alexia Stresi)

    Des lendemains qui chantent (Alexia Stresi)

    Paris, 1935. Lors de la première du Rigoletto de Verdi à l’Opéra-Comique, un jeune ténor défraie la chronique en volant la vedette au rôle-titre. Né en Italie à l’orée de la Première Guerre mondiale, orphelin parmi tant d’autres, Elio Leone a une voix en or, comme il en existe peut-être trois ou quatre par siècle. Une belle histoire, mais l’homme a des failles. Rêvait-il vraiment de succès ?
    Des personnages inoubliables dans ce récit vibrant et romanesque qui nous embarque dès les premières pages et nous raconte que ce sont les rencontres et la manière dont on les honore qui font que nos lendemains chantent.

  • Des vies en mieux (Anna Gavalda)

    Des vies en mieux (Anna Gavalda)

    Cet ouvrage réunit les livres Billie et La vie en mieux parus aux éditions Le Dilettante.
    Billie a 13 ans. Elle n’a connu que les coups et la misère. Un matin, en classe, elle découvre On ne badine pas avec l’amour d’Alfred de Musset et l’amitié. Sa vie va changer.

    Mathilde a 24 ans. Un jour, elle oublie son sac à main dans un café. Un homme le lui rend la semaine suivante et, à cause de cet homme justement, elle décide de changer de vie.

    Yann a 26 ans. Un soir, il rend service à son voisin de palier qui l’invite à dîner pour le remercier. Au cours de cette soirée, il réalise que sa vie n’a aucun intérêt et qu’il doit tout recommencer.

    Trois prénoms. Trois histoires. Trois jeunes gens d’aujourd’hui, déterminés et courageux, qui préfèrent encore se tromper de vie plutôt que de n’en vivre aucune.

  • Désenchantées (Marie Vareille)

    Désenchantées (Marie Vareille)

    La disparition de Sarah Leroy, quinze ans, a bouleversé la petite bourgade de Bouville-sur-Mer et ému la France entière. Dans chaque foyer, chaque bistrot, on élaborait des hypothèses, mais ce qui est vraiment arrivé, personne ne l’a jamais su. Vingt ans plus tard, Fanny revient sur les lieux de ce drame qui a marqué sa jeunesse. Et c’est tout un passé qui resurgit… Car l’histoire de Sarah Leroy, c’est aussi un peu la sienne, et celle d’une bande de filles. Une histoire qui a l’odeur des premières cigarettes et du chlore de la piscine municipale, des serments d’amitié et, surtout, des plus lourds secrets.

    Avec finesse et un vrai sens du suspense, Marie Vareille met à nu les rouages de l’amitié féminine dans un roman d’apprentissage captivant et rempli d’émotion.

    Ce récit est brillant, intelligent, épatant, percutant. Pascale, de @entredeuxpages.

    Un livre fort, qui vient nous chercher. Il faut le découvrir, le lire, le savourer. Louise, de @livresse_delire_delivre.

    Une enquête très bien menée, surprenante, et maîtrisée du début à la fin. Clélia, de @cherlecteurvirgule.

  • Désolée, je suis attendue ( Agnès Martin-Lugand )

    Désolée, je suis attendue ( Agnès Martin-Lugand )

    Yaël ne vit que pour son travail. Brillante interprète pour une agence de renom, elle enchaîne les réunions et les dîners d’affaires sans jamais se laisser le temps de respirer. Les vacances, très peu pour elle, l’adrénaline est son moteur. Juchée sur ses éternels escarpins, elle est crainte de ses collègues, et ne voit quasiment jamais sa famille et ses amis qui s’inquiètent de son attitude. Peu lui importe les reproches qu’on lui adresse, elle a simplement l’impression d’avoir fait un autre choix, animée d’une volonté farouche de réussir.

    Mais le monde qu’elle s’est créé pourrait vaciller face aux fantômes du passé.

  • Texte indicatif

    Désorientale (Négan Djavadi)

    La nuit, Kimiâ mixe du rock alternatif dans des concerts. Le jour, elle suit un protocole d’insémination artificielle pour avoir un enfant avec son amie Anna. Née à Téhéran en 1971, exilée en France dix ans plus tard, elle a toujours tenu à distance sa culture d’origine pour vivre libre. Mais dans la salle d’attente de l’unité de PMA de l’hôpital Cochin, d’un rendez-vous médical à l’autre, les djinns échappés du passé la rattrapent. Au fil de souvenirs entremêlés, dans une longue apostrophe au lecteur, elle déroule toute l’histoire de la famille Sadr. De ses pétulants ancêtres originaires du nord de la Perse jusqu’à ses parents, Darius et Sara, éternels opposants au régime en place ; celui du Shah jusqu’en 1979, puis celui de Khomeiny. Ce dernier épisode va les obliger à quitter définitivement l’Iran. La France vécue en exilés n’a rien à voir avec le pays mythifié par la bourgeoisie iranienne… Alors, jouant du flash-back ou du travelling avant, Kimîa convoque trois générations et une déesse du rock and roll au chevet de sa  » désorientalisation « . On y croise, entre autres, Siouxie, Woody Allen, Michel Foucault, des punks bruxellois et des persans aux yeux bleus, six oncles et un harem.

  • Deux soeurs ( Madeleine Chapsal)

    Deux soeurs ( Madeleine Chapsal)

    Sara voue à sa sœur aînée une jalousie terrifiante qui la pousse à la calomnie et à la violence. « Pourtant nous nous aimions tant quand nous étions enfant… », s’afflige Emma qui ne comprend pas pourquoi sa petite sœur, devenue sa pire ennemie, s’acharne à la détruire. Longtemps elle va espérer la désarmer par un excès de patience et de générosité, mais rien n’y fait : plus elle lui cède plus sa sœur s’enflamme…
    C’est au décès de leur mère puis de leur père que Sara achève d’exploser : au mépris de la loi et même du bon sens, elle commet l’impensable pour arriver à dépouiller sa sœur, quitte à en pâtir elle-même…

        Bien des familles se déchirent ainsi au moment des héritages, par jalousie fraternelle plus encore que par appât du gain : elles ne peuvent que se reconnaître dans ce nouveau roman de Madeleine Chapsal, si juste qu’il en paraît vrai.

  • Deux soeurs (David Foenkinos)

    Deux soeurs (David Foenkinos)

    Du jour au lendemain, Etienne décide de quitter Mathilde, et l’univers de la jeune femme s’effondre. Comment ne pas sombrer devant ce vide aussi soudain qu’inacceptable ? Quel avenir composer avec le fantôme d’un amour disparu ? Dévastée, Mathilde est recueillie par sa soeur Agathe dans le petit appartement qu’elle occupe avec son mari Frédéric et leur fille Lili. De nouveaux liens se tissent progressivement au sein de ce huis clos familial, où chacun peine de plus en plus à trouver un équilibre. Il suffira d’un rien pour que tout bascule…

  • Développement personnel (Olivier Bourdeaut)

    Développement personnel (Olivier Bourdeaut)

    Avec une franchise pleine d’autodérision, Olivier Bourdeaut revient sur son enfance compliquée, sa courte et chaotique scolarité et le périlleux apprentissage du métier d’écrivain.

    L’auteur d’« En attendant Bojangles » se dévoile, et sa vulnérabilité nous touche.

  • Dieu n'habite pas la Havane (Yasmina Khadra)

    Dieu n’habite pas la Havane (Yasmina Khadra)

    Juan del Monte Jonava ne vit que pour chanter. Au Buena Vista Café, en plein cœur de Cuba, sa voix solaire lui a valu le surnom de  » Don Fuego « , la gloire de la rumba. Or, à presque 60 ans, son étoile s’est ternie. Le régime castriste, lui aussi, a vieilli. Il s’ouvre au monde, à l’argent, à la modernité. Le Buena Vista a changé de propriétaire. Et Don Fuego en est réduit à courir le cachet. Sa rencontre avec Mayensi, rousse incendiaire et mystérieuse de 40 ans sa cadette, fera rejaillir le feu de la passion dans les veines du sexagénaire… Au point de le consumer ?

     » C’est un hommage romanesque aux chanteurs de rue, qui évite la nostalgie pour mieux composer une histoire de musique et d’amour.  » LiRE

  • Dîner à Montréal (Philippe Besson)

    Dîner à Montréal (Philippe Besson)

    Ils se sont aimés, à l’âge des possibles, puis quittés, sans réelle explication. Dix-huit ans plus tard, ils se croisent, presque par hasard, à Montréal. Qui sont-ils devenus ? Qu’ont-ils fait de leur jeunesse et de leurs promesses ? Sont-ils heureux, aujourd’hui, avec la personne qui partage désormais leur vie ?
    Le temps d’un dîner de retrouvailles – à quatre – chaque mot, chaque regard, chaque geste est scruté, pesé, interprété. Tout remonte à la surface : les non-dits, les regrets, la course du temps, mais aussi l’espérance et les fantômes du désir.
    À leurs risques et périls.

  • Dix sept ans ( Eric Fottorino)

    Dix sept ans ( Eric Fottorino)

    « Lina n’était jamais vraiment là. Tout se passait dans son regard. J’en connaissais les nuances, les reflets, les défaites. Une ombre passait dans ses yeux, une ombre dure qui fanait son visage. Elle était là mais elle était loin. Je ne comprenais pas ces sautes d’humeur, ces sautes d’amour ». Un dimanche de décembre, une femme livre à ses trois fils le secret qui l’étouffe. En révélant une souffrance insoupçonnée, cette mère niée par les siens depuis l’adolescence se révèle dans toute son humanité et son obstination à vivre libre, bien qu’à jamais blessée. Une trentaine d’années après Rochelle, Eric Fottorino apporte la pièce manquante de sa quête identitaire. A travers le portrait solaire et douloureux d’une mère inconnue, l’auteur de Korsakov et de L’homme qui m’aimait tout bas donne ici le plus personnel de ses romans.

  • Dix sept ans (Eric Fottorino)

    Dix sept ans (Eric Fottorino)

    « Lina n’était jamais vraiment là. Tout se passait dans son regard. J’en connaissais les nuances, les reflets, les défaites. Une ombre passait dans ses yeux, une ombre dure qui fanait son visage. Elle était là mais elle était loin. Je ne comprenais pas ces sautes d’humeur, ces sautes d’amour ». Un dimanche de décembre, une femme livre à ses trois fils le secret qui l’étouffe. En révélant une souffrance insoupçonnée, cette mère niée par les siens depuis l’adolescence se révèle dans toute son humanité et son obstination à vivre libre, bien qu’à jamais blessée. Une trentaine d’années après Rochelle, Eric Fottorino apporte la pièce manquante de sa quête identitaire. A travers le portrait solaire et douloureux d’une mère inconnue, l’auteur de Korsakov et de L’homme qui m’aimait tout bas donne ici le plus personnel de ses romans.

  • Douleur (Zeruya Shalev)

    Douleur (Zeruya Shalev)

    Dix ans après avoir été blessée dans un attentat, Iris semble avoir surmonté le traumatisme. Malgré des douleurs persistantes, des problèmes avec ses enfants et un mariage de plus en plus fragile, la directrice d’école ambitieuse et la mère de famille engagée qu’elle est s’efforce de prouver qu’elle contrôle la situation. Tout bascule cependant le jour où elle reconnaît, sous les traits d’un médecin qu’elle consulte, Ethan, son premier amour, qui l’avait brutalement quittée lorsqu’elle avait dix-sept ans. Dans un vertige sensuel et existentiel, Iris éprouve alors la tentation de faire revivre cette passion qu’elle croyait éteinte : et si une seconde chance se présentait à elle ? Ce roman aussi puissant que subtil dévoile les séquelles que le passé peut laisser sur les corps et les esprits, tout en interrogeant notre capacité à faire des choix, au moment même où la vie nous renvoie à l’essentiel.

  • Eclipses japonaises (Eric Faye)

    Eclipses japonaises (Eric Faye)

    En 1966, un GI américain s’évapore lors d’une patrouille dans la zone démilitarisée, entre les deux Corées.

    À la fin des années 1970, sur les côtes japonaises, des hommes et des femmes, de tous âges et de tous milieux, se volatilisent. Parmi eux, une collégienne qui rentrait de son cours de badminton, un archéologue qui s’apprêtait à poster sa thèse, une future infirmière qui voulait s’acheter une glace.  » Cachés par les dieux « , ainsi qualifie-t-on en japonais ces disparus qui ne laissent aucune trace, pas un indice, et qui mettent en échec les enquêteurs.

    En 1987, le vol 858 de la Korean Air explose en plein vol. Une des terroristes, descendue de l’avion lors d’une escale, est arrêtée. Elle s’exprime dans un japonais parfait. Pourtant, la police finit par identifier une espionne venue tout droit de Corée du Nord.

    Longtemps plus tard, le lien entre ces affaires remontera à la surface, les résolvant du même coup. Par la grâce de la fiction, Éric Faye saisit l’imaginaire et la vie secrète de ces destins dévorés par un pays impénétrable et un régime ultra autoritaire.