Le vieux qui déjeunait seul (Léa Wiazemsky)
Tous les lundis à midi et demi, elle le voit s’installer à la table 10 et commander son bœuf-carottes, derrière ses verres fumés. Qui est donc ce vieil homme pour lequel Clara, la serveuse, sent d’emblée une tendresse infinie ? Leurs deux solitudes, silencieuses et meurtries, se sont déjà reconnues. Elle, étouffée par une histoire qui la hante, lui, prisonnier d’un passé qui l’isole, s’échangeront les mots qu’il faut, les pardons qu’ils attendent, le plaisir de l’instant – une amitié pour la vie et le bonheur en héritage…
Béat –
Belle lecture, écriture simple et efficace.
C’est une belle histoire de deux solitudes qui se rencontrent et d’amitié à trois voix.
MONIQUE BIROT –
un livre plein de tendresse!
On en sort presque heureux!