Avec le corps qu’elle a (Christine Orban)
Elle a vingt ans, et son premier roman vient d’être accepté par un éditeur.
Ce jour d’été, au bord de la mer, aurait dû être le plus heureux de sa vie, si Beau-Père ne l’avait pas réduite à un corps dont la beauté serait le seul atout. Debout, au-dessus d’elle, il lui avait lancé devant tous les invités : « Avec le corps qu’elle a, ça va être facile pour elle… » Ces mots vont fracasser son existence pendant des années et la mener au bord du gouffre.
Dans ce roman, Christine Orban explore, avec une grande sensibilité et des accents fitzgéraldiens, les « blessures invisibles » d’une jeune femme, et sa difficulté d’être elle-même dans un monde où triomphent les apparences et la domination masculine.
audebrand –
L’influence d’une remarque assassine sur des années, voire une vie…
La place des femmes, le machisme…