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  • Premier sang (Amélie Nothomb)

    « Il ne faut pas sous-estimer la rage de survivre. »  Amélie Nothomb

    Amélie Nothomb est au meilleur d’elle même :  cruelle, tendre, drôle. Télérama

    Un livre qu’aucun lecteur d’Amélie Nothomb n’a jamais lu. Le livre que tous les lecteurs d’Amélie Nothomb attendaient. Le livre clé. François Busnel – La Grande Librairie

    C’est éblouissant. Frédéric Beigbeder, Le masque et la plume.

    Un livre fascinant. Olivia de Lamberterie, Le masque et la plume.

  • SamouraÏ (Fabrice Caro)

    « TU VEUX PAS ÉCRIRE UN ROMAN SÉRIEUX ? » a conseillé Lisa à Alan, avant de le quitter pour un universitaire spécialiste de Ronsard. Depuis, Alan cherche un sujet de « roman sérieux ». Il veut profiter de l’été qui commence pour se plonger avec la discipline d’un guerrier samouraï dans l’écriture d’un livre profond et poignant. Ça et aussi s’occuper de la piscine des voisins partis en vacances. Or bientôt l’eau du bassin se met à verdir, de drôles d’insectes appelés notonectes se multiplient à la surface…Il y a chez Fabrice Caro une grâce douce-amère, une façon unique et désopilante de raconter l’absurde de nos vies.

  • Ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n’en as qu’une (Raphaëlle Giordano)

    – Vous souffrez probablement d’une forme de routinite aiguë. – Une quoi ? – Une routinite aiguë. C’est une affection de l’âme qui touche de plus en plus de gens dans le monde, surtout en Occident. Les symptômes sont presque toujours les mêmes : baisse de motivation, morosité chronique, perte de repères et de sens, difficulté à être heureux malgré une opulence de biens matériels, désenchantement, lassitude… – Mais… Comment vous savez tout ça ? – Je suis routinologue. – Routino-quoi ? Camille, trente-huit ans et quart, a tout, semble-t-il, pour être heureuse. Alors pourquoi a-t-elle l’impression que le bonheur lui a glissé entre les doigts ? Tout ce qu’elle veut, c’est retrouver le chemin de la joie et de l’épanouissement. Quand Claude, routinologue, lui propose un accompagnement original pour l’y aider, elle n’hésite pas longtemps : elle fonce. À travers des expériences étonnantes, créatives et riches de sens, elle va, pas à pas, transformer sa vie et repartir à la conquête de ses rêves…

  • Un mariage anglais (Claire Fuller)

    Ingrid a 20 ans et des projets plein la tête quand elle rencontre Gil Coleman, professeur de littérature à l’université. Faisant fi de son âge et de sa réputation de don Juan, elle l’épouse et s’installe dans sa maison en bord de mer.
    Quinze ans et deux enfants plus tard, Ingrid doit faire face aux absences répétées de Gil, devenu écrivain à succès. Un soir, elle décide d’écrire ce qu’elle n’arrive plus à lui dire, puis cache sa lettre dans un livre. Ainsi commence une correspondance à sens unique où elle dévoile la vérité sur leur mariage, jusqu’à cette dernière lettre rédigée quelques heures à peine avant qu’elle ne disparaisse sans laisser de trace.

  • Un miracle (Victoria Mas)

    Une prophétie. Une île du Finistère Nord. Les visions d’un adolescent fragile. Et, au-delà de tout, jusqu’à la folie, le désir de croire en l’invisible.

    Soeur Anne, religieuse chez les Filles de la Charité, reçoit d’une de ses condisciples une prophétie : la Vierge va lui apparaître en Bretagne. Envoyée en mission sur une île du Finistère Nord balayée par les vents, elle y apprend qu’un adolescent prétend avoir eu une vision.

    Mais lorsqu’il dit « je vois », les autres entendent : « J’ai vu la Vierge. » Face à cet événement que nul ne peut prouver, c’est toute une région qui s’en trouve bouleversée. Les relations entre les êtres sont modifiées et chacun est contraint de revoir profondément son rapport au monde, tandis que sur l’île, les tempêtes, les marées, la végétation brûlée par le sel et le soleil semblent annoncer un drame inévitable.

  • Une bête au paradis ( Cécile Coulon)

    Dans sa ferme isolée au bout d’un chemin de terre, appelée le Paradis, Emilienne élève seule ses deux petits-enfants, Blanche et Gabriel. Devenue adolescente, Blanche rencontre Alexandre, son premier amour. Mais, arrivé à l’âge adulte, le couple se déchire lorsqu’Alexandre, dévoré par l’ambition, exprime son désir de rejoindre la ville tandis que Blanche demeure attachée à son coin de terre.

  • Une femme en contre-jour (Gaëlle Josse)

    « « Raconter Vivian Maier, c’est raconter la vie d’une invisible, d’une effacée. Une nurse, une bonne d’enfants. Une photographe de génie qui n’a pas vu la plupart de ses propres photos. Une Américaine d’origine française, arpenteuse inlassable des rues de New York et de Chicago, nostalgique de ses années d’enfance heureuse dans la verte vallée des Hautes-Alpes où elle a rêvé de s’ancrer et de trouver une famille. Son œuvre, pleine d’humanité et d’attention envers les démunis, les perdants du rêve américain, a été retrouvée par hasard – une histoire digne des meilleurs romans – dans des cartons oubliés au fond d’un garde-meubles de la banlieue de Chicago. Vivian Maier venait alors de décéder, à quatre-vingt-trois ans, dans le plus grand anonymat. Elle n’aura pas connu la célébrité, ni l’engouement planétaire qui accompagne aujourd’hui son travail d’artiste. Une vie de solitude, de pauvreté, de lourds secrets familiaux et d’épreuves ; une personnalité complexe et parfois déroutante, un destin qui s’écrit entre la France et l’Amérique. L’histoire d’une femme libre, d’une perdante magnifique, qui a choisi de vivre les yeux grands ouverts. Je vais vous dire cette vie-là, et aussi tout ce qui me relie à elle, dans une troublante correspondance ressentie avec mon travail d’écrivain. » G.J. »

  • Une joie féroce (Sorj Chalandon)

    Sur mon carnet bleu, j’ai écrit : « C’est l’histoire de trois femmes. Elles se sont aventurées au plus loin. Jusqu’au plus obscur, au plus dangereux, au plus dément. Ensemble, elles ont détruit le pavillon des cancéreuses pour élever une joyeuse citadelle. »

  • Une longue impatience (Gaëlle Josse)

    « C’est l’histoire d’un fils qui part et d’une mère qui attend. C’est un amour maternel infini, aux portes de la folie. C’est l’attente du retour, d’un partage, et le rêve d’une fête insensée. C’est un couple qui se blesse et qui s’aime. C’est en Bretagne, entre la Seconde Guerre mondiale et les années soixante, et ce pourrait être ailleurs, partout où des femmes attendent ceux qui partent, partout où des mères s’inquiètent. » Une femme perd son mari, pêcheur, en mer, elle se remarie avec le pharmacien du village. Son fils, issu de sa première union, a du mal à s’intégrer dans cette nouvelle famille et finit par lui aussi prendre la mer. Commence alors pour la narratrice une longue attente qu’elle tentera, tant bien que mal, de combler par l’imagination du grand banquet qu’elle préparera pour son fils à son retour. Encore une fois, par son écriture sensible et sans faille, Gaëlle Josse nous entraîne dans les méandres de l’amour.

  • Veiller sur elle ( Jean- Baptiste Andrea)

    Au grand jeu du destin, Mimo a tiré les mauvaises cartes. Né pauvre, il est confié en apprentissage à un sculpteur de pierre sans envergure. Mais il a du génie entre les mains. Toutes les fées ou presque se sont penchées sur Viola Orsini. Héritière d’une famille prestigieuse, elle a passé son enfance à l’ombre d’un palais génois. Mais elle a trop d’ambition pour se résigner à la place qu’on lui assigne.
    Ces deux-là n’auraient jamais dû se rencontrer. Au premier regard, ils se reconnaissent et se jurent de ne jamais se quitte

  • Vers la beauté (David Foenkinos)

    Antoine Duris est professeur aux Beaux-Arts de Lyon. Du jour au lendemain, il décide de tout quitter pour devenir gardien de salle au musée d’Orsay. Personne ne connaît les raisons de cette reconversion ni le traumatisme qu’il vient d’éprouver. Pour survivre, cet homme n’a trouvé qu’un remède, se tourner vers la beauté. Derrière son secret, on comprendra qu’il y a un autre destin, celui d’une jeune femme, Camille, hantée par un drame.