« Ma mère, cette inconnue » (Philippe Labro)
« Netka, il y a du slave dans ce nom qui sonne clair. Elle a cinquante pour cent de sang polonais dans ses veines. Il me faudra beaucoup de temps pour identifier la Pologne, chercher la trace du père inconnu, éclaircir les mystères, imaginer l’enfant-valise, la petite fille abandonnée. Elle est, elle était ma mère », Philippe Labro.
audebrand –
Un très beau livre !
Une question: « Aimons-nous assez les gens que aimons ? »