Les matins bleus (Jean – Marie Laclavetine)
Un matin de mai, salle des pas perdus. Depuis sa nacelle suspendue à l’armature de l’immense verrière qui surplombe la gare, un peintre observe l’humanité en marche. Il y a là beaucoup d’histoires qui attendaient d’être racontées, de drames grands et petits, de bonheurs fugitifs, de cœurs qui battent, beaucoup de vies qu’un hasard espiègle va entrechoquer… Attention au départ !
audebrand –
Dans ce passage de gare, on y découvre des personnages, des vies par milliers…